Name: Echevinage et communauté de Saintes
Period: 1300-1795
Inventoried scope: 8,6 linear meters
Archive repository: State archives in Louvain-la-Neuve
Heading : Local administrations (Ancien régime): Lordships, courts of aldermen, feudal and manorial courts, city and municipal administrations, guilds and crafts, civil welfare organisationes, etc.
Authors: Van Eeckenrode, Marie
Year of publication: 2010
Code of the inventory: D061
Le village de Saintes, en néerlandais Sint-Renelde, se situe aujourd'hui dans la province du Brabant wallon, au sein de la commune de Tubize (1), le long de la frontière linguistique. Mais, sous l'Ancien Régime, Saintes fait partie du comté de Hainaut et dépend de la châtellenie de Braine-le-Comte (2).
Selon la tradition, c'est sainte Renelde (3), issue d'une importante famille mérovingienne et sœur de sainte Gudule, qui aurait offert les terres qu'elle possédait entre autres à Saintes, à l'abbaye bénédictine Saint-Pierre à Lobbes, dans le courant du VIIe siècle (4). Le village, autrefois baptisé Sanctis, Santen ou encore Sinternelle (5), est quoi qu'il en soit bien mentionné dans le polyptyque de l'abbaye en 868-869 (6). Mais, comme on le constate souvent, les avoués laïcs locaux, gérant les affaires séculières et défendant les intérêts des bénédictins de Lobbes, usurpent progressivement les droits que l'abbaye a à Saintes, s'imposant petit à petit comme les seigneurs du lieu. Un important règlement d'avouerie est d'ailleurs signé en 1173 et détaille les droits de chacune des deux parties (7). Cet accord est modifié en 1465, par un acte signé par l'abbé de Lobbes et Louis d'Enghien-Ramerut, seigneur de Saintes (8).
Sous l'Ancien Régime, le territoire actuel de Saintes est fortement morcelé entre un nombre conséquent de seigneuries, dans lesquelles les différents niveaux de pouvoir juridictionnel se superposent (9) :
- La seigneurie hautaine de Saintes, à clocher, est entre les mains des seigneurs de Saintes, descendants des anciens avoués, et englobe la ferme de Froyes et celle du Tiembecq. Ce fief-lige est tenu de la pairie et baronnie de Lens (10). La justice est rendue à la ferme du Laubecq. Cependant, tout le territoire de cette seigneurie n'appartient pas en propre au seigneur de Saintes. Celui-ci se divise en effet en deux seigneuries foncières distinctes : l'une de 600 bonniers que l'abbaye de Lobbes parvient à conserver et l'autre, plus petite, appartenant bien celle-là au seigneur de Saintes. Ce dernier exerce la haute justice tant sur ses propriétés que sur la seigneurie foncière de l'abbaye de Lobbes, ainsi que sur celle de Ramelot. Il a également quelques droits seigneuriaux sur la seigneurie du Pont-à-Wisbecq.
- La petite seigneurie foncière de Ramelot, autour de la ferme du même nom, dite aussi ferme de Landas, relève du fief de la Neuve-Rue à Nivelles et s'étend sur une vingtaine de bonniers.
- L'abbaye de Ninove possède également une exploitation à Saintes (11) : la seigneurie foncière d'Herbecq, autour de la ferme du même nom (12). C'est le seigneur d'Enghien qui en est le seigneur justicier.
- La seigneurie haute-justicière de Pont-à-Wisbecq, quant à elle, s'étend sur 24 bonniers, à la fois sur les villages de Saintes et de Bierghes (13). Cette seigneurie est pour une part allodiale et pour l'autre part relève du seigneur d'Enghien puis, à partir de 1604, de la seigneurie de Bierghes.
- La seigneurie haute-justicière de Mussain, s'étendant sur 80 bonniers, possède son propre échevinage et dépend pour moitié de la seigneurie d'Enghien et de la pairie de Lens.
- La seigneurie (temporaire) de la Laubecq, disposant de sa propre cours féodale serait née de la dissociation des droits seigneuriaux de l'abbaye de Lobbes entre d'une part immunité de l'abbaye et d'autre part seigneurie foncière (du moins une partie de celle-ci). D'abord sorte d'apanage pour les ecclésiastiques qui en étaient les seigneurs, elle est par la suite engagée à quelques seigneurs laïcs solidement implantés dans la région (comme par exemple les Enghien-Ramerut, par ailleurs seigneurs de Saintes et du Pont). La seigneurie de la Laubecq aurait ensuite réintégré l'immunité générale de l'abbaye de Lobbes (14).
Les archives ici décrites sont celles de l'échevinage et de la communauté de Saintes (15). Il n'a malheureusement pas été possible de distinguer catégoriquement les archives des échevins de Saintes d'une part et celle de la communauté du lieu d'autre part. Les communautés d'habitants sous l'Ancien Régime, encore trop mal connues, sont moins institutionnalisées que les échevinages ou les cours de justice. Leurs archives, lorsqu'elles ont été conservées (le plus souvent en quantité assez restreinte), se sont souvent mêlées à celles de l'échevinage du lieu. Au lecteur donc d'étudier en profondeur les documents ici décrits, d'en démêler les nœuds et de redessiner le visage et les contours de la communauté de Saintes.
Les échevins de Saintes sont compétents pour le territoire de la seigneurie de Saintes, mais également pour celui de Pont-à-Wisbecq. En effet, ces deux entités ont pendant très longtemps été administrées ensemble : à partir de la fin du XIVe siècle, Saintes et " Le Pont " dépendent du même seigneur et ont un échevinage commun. Ce qui explique que bon nombre de documents décrits dans cet instrument de recherche (dénombrements de feux, courriers, comptabilités, etc.) concernent et mentionnent aussi bien Saintes que Pont-à-Wisbecq. Ce n'est qu'au début du XVIIe siècle que " le Pont-à-Wisbecq " est soustrait à la seigneurie d'Enghien et vendue à Jacques de Landas (16) et dispose par la suite d'un échevinage distinct. De même, la seigneurie de Ramelot et la seigneurie foncière de l'abbaye de Lobbes ne disposent pas d'un échevinage propre et ont recours aux services des échevins de Saintes pour faire enregistrer leurs " œuvres de loi ". Quant à la seigneurie d'Herbecq, elle possède au moins un mayeur et un échevin, mais pour compléter l'effectif, on fait appel à l'échevinage de Saintes (17).
L'échevinage de Saintes se compose d'un mayeur et de sept échevins. Le mayeur est désigné par l'abbé de Lobbes, auquel il prête serment (vœu ensuite renouvelé devant le seigneur de Saintes ou son bailli) et qui peut le démettre quand il le souhaite. Les échevins, par contre, sont choisis par le seigneur de Saintes à partir du règlement d'avouerie de 1465 (avant cette date, ils l'étaient pas l'abbé). Le seigneur de Saintes se réserve également le droit de nommer les autres " fonctionnaires communaux " : bailli, sergent(s), greffier, receveur, marguillier.
Comme c'est le cas pour tous les échevinages ruraux, les échevins de Saintes exercent des compétences de juridiction gracieuse et de juridiction contentieuse, en plus de leurs fonctions de gestion et d'administration. L'échevinage, tout comme le bailli d'ailleurs, est tout simplement chargé de garantir et de faire appliquer les droits du seigneur de Saintes (18). Le mayeur de Saintes répartit et perçoit les impôts, toujours avec l'aide et sous la surveillance des échevins. Dans ce domaine, les documents montrent clairement que le village de Saintes est considéré comme une unité fiscale cohérente : l'échevinage perçoit aides et subsides sur l'ensemble de la localité, indépendamment du morcellement en différentes seigneuries.
En mai 1940, une partie substantielle des archives hainuyères anciennes partent en fumée dans l'incendie des dépôts des Archives de l'État à Mons et à Tournai (19). Les archives déjà versées des échevins de Saintes, aujourd'hui situé en Brabant, n'étaient alors plus conservées en Hainaut (20) mais bien aux Archives générales du Royaume, à Bruxelles, et subsistent toujours. Ces documents revêtent dès lors une importance toute particulière pour l'historien hainuyer. Ils proviennent d'une part de la " Collection des greffes scabinaux de l'arrondissement de Bruxelles " (AGR) et d'autre part, en raison d'un accident de parcours, des " Archives de la fabrique Sainte-Renelde " (à Saintes).
Jusqu'en 2001, les archives des institutions publiques d'Ancien Régime de la province de Brabant (échevinages, cours de justice, seigneuries, etc.) sont toutes conservées aux Archives générales du Royaume. Au XIXe et au début du XXe siècle, des " collections de greffes scabinaux " y sont constituées, une par arrondissement. Les archives de l'échevinage de Saintes font alors partie de la " Collection des greffes scabinaux de l'arrondissement de Bruxelles " (21). Suite à la scission de la province de Brabant (22), trois nouveaux dépôts d'archives sont créés : Archives de l'État à Leuven (pour la province de Brabant flamand, ouvert en 2001), à Anderlecht (pour la région bruxelloise, ouvert en 2002) et à Louvain-la-Neuve (pour la province de Brabant wallon, ouvert en 2008). Toutes les collections de greffes scabinaux, jusque là conservées aux AGR et constituées sur la base de circonscriptions administratives dont les limites avaient évoluées, sont démembrées. Les archives sont redistribuées entre les trois dépôts, en fonction de leur nouveau ressort géographique.
En 1988, au moment du départ à la retraite du curé de Saintes, l'abbé Delacroix, d'importants travaux de rénovation sont entrepris au presbytère de la paroisse Sainte-Renelde. Des documents anciens sont alors découverts, cachés dans un petit grenier. Il y a là des archives de la paroisse, mais également des archives des échevinages de Saintes, d'Herbecq et de la cour féodale de Saintes. Dans l'urgence, la fabrique décide de les transporter chez son trésorier, Marcel Culot, qui pendant plus de vingt ans leur consacrera l'une des pièces de sa maison. Avec l'aide se son épouse, celui-ci nettoie patiemment les documents et, avec la collaboration de Luc Delporte (23), aujourd'hui conservateur du Musée de la Porte à Tubize, réalise un inventaire (24). En 2009, le président de la Fabrique d'église, le Dr Xavier Depondt, contacte les Archives de l'État à Louvain-la-Neuve afin d'y déposer les archives anciennes de la fabrique et celles n'ayant plus d'utilité administrative. Les archives des échevinages et de la cour féodale les accompagnent. Ce dépôt est réalisé en avril 2010.
Suite au versement de ces nouvelles archives scabinales, il a été décidé de réunir les archives des échevins de Saintes déjà conservées aux Archives de l'État à Louvain-la-Neuve et celle provenant de la Fabrique d'église en un seul fonds. Il était non seulement indiscutable que les documents provenaient tous d'un même producteur d'archives, l'échevinage de Saintes, mais en plus de cela, que les différentes séries se complétaient parfaitement. Ce nouvel inventaire permet de pallier les manquements du vieil " inventaire " manuscrit de la " Collection des greffes scabinaux de l'arrondissement de Bruxelles " (25), mais également de décrire plus en détails les archives déjà inventoriées par M. Culot et L. Delporte, notamment en offrant plus de visibilité à de belles séries de chirographes et de documents fiscaux. Une table de concordance figure à la fin du présent instrument de recherches.
Il ne faut pas confondre les archives des échevins de Saintes avec celles de la cour féodale du lieu, présidée par le bailli du seigneur de Saintes, assisté d'hommes de fief et compétente dans les matières féodales. Ces archives sont décrites dans un autre instrument de recherches (26).
La richesse de ce fonds d'archives réside surtout dans le fait qu'il est l'un des seuls témoins subsistants de ce qu'ont été les échevinages ruraux de l'ancien comté de Hainaut. On n'en retrouve plus vraiment d'équivalent dans les " Archives locales " des Archives de l'État à Mons (27) ou aux Archives de l'État à Tournai (28).
Le plan de classement adopté (29) donne, après les généralités, les documents issus de l'exercice de la juridiction contentieuse puis gracieuse dans le chef des échevins de Saintes. Viennent ensuite les documents de la gestion administrative du village, principalement sa gestion financière.
Langues et écriture des documents
Les documents décrits dans le présent instrument de recherches sont majoritairement rédigés en moyen français et en français. Certains le sont toutefois en moyen néerlandais et en néerlandais.
Ces archives sont publiques et donc accessibles à toute personne régulièrement inscrite aux Archives générales du Royaume ou aux Archives de l'État dans les provinces et munie d'une carte de lecteur. Les documents d'Ancien Régime y sont librement consultables et peuvent être reproduits selon les conditions et tarifs en vigueur aux Archives de l'État.
Le présent inventaire remplace les instruments de recherche suivants, du moins pour les descriptions concernant les archives des échevins de Saintes :
DELPORTE, L. & CULOT, M., Inventaire des archives de la cure de Saintes, Saintes, 1995 (Dossiers du Chirel de Rebecq-Tubize, Série Inventaires, n°1).
Inventaire des archives des greffes scabinaux de l'arrondissement de Bruxelles, s.d., inventaire manuscrit ancien, disponible en salle de lecture.
Au-delà de leur intérêt local permettant de reconstituer l'histoire de ce village autrefois hainuyer, les archives de l'échevinage de Saintes permettraient de corriger certains poncifs concernant la fiscalité en Hainaut aux XVIIe et XVIIIe siècles. Les travaux de Georges Bigwood (30) qui, pour le comté de Hainaut, reprennent les propos d'Augustin François Lacroix (31), ancien conservateur des Archives de l'État à Mons, mériteraient en effet si pas d'être revus, du moins fortement nuancés. Signalons cet intéressant recensement des habitants du village de Saintes et de Pont-à-Wisbecq en 1709 (n°1029) et toutes ces demandes de modération de l'impôt introduites par le magistrat de Saintes au cours des XVIIe et XVIIIe siècles (n°1213-1217).
La belle collection de chirographes des échevins de Saintes, auxquels on ajoute les registres d'œuvres de loi et autres expéditions, pourraient donner lieu à d'intéressantes études (32). On y trouve une foule d'informations concernant le droit privé mais également niveau de vie, composition familiale, dévotion privée, taille des exploitations, prix, production agricole, etc.
Une belle série de documents, essentiellement comptables, permet également de se faire une idée des incidences des nombreux conflits armés des XVIIe et XVIIIe siècles sur une petite communauté rurale des Pays-Bas méridionaux : contributions de guerre bien sûr, mais également dégâts et dédommagements.
Un certain nombre des documents conservés jusqu'en 2010 à Saintes, chez Marcel Culot, ancien trésorier de la fabrique d'église de Saintes, ont été microfilmés. Les bobines sont déposées au Musée de la Porte à Tubize.
D'autres documents, conservés aux Archives de l'État à Louvain-la-Neuve complètent avantageusement les documents ici inventoriés :
- Les archives de la seigneurie et de la cour féodale de Saintes (33)
- Les archives de l'échevinage d'Herbecq (34)
- Les archives de la table des pauvres (35), de la paroisse et de la fabrique d'église Sainte-Renelde à Saintes (36)
Du côté des documents conservés aux Archives de l'État à Mons, citons les archives des institutions centrales hainuyères ayant réchappé à l'incendie de mai 1940. Si celles des États de Hainaut ont malheureusement disparu (37), le riche inventaire analytique qu'en avait fait Léopold Devillers (38) permet de s'en faire une bonne idée et de combler certaines lacunes. Il conviendrait également de consulter l'inventaire sur fiches des " Archives locales " disponible en salle de lecture et les archives de la famille d'Olmen de Poederlé, anciens seigneurs de Saintes (39).
Les Archives générales du Royaume à Bruxelles conservent également les Archives de la seigneurie d'Enghien (famille d'Arenberg) (40) et celles de la famille d'Overschie de Neeryssche (intéressantes pour la seigneurie de Pont-à-Wisbecq) (41).
Les nombreuses sources publiées sont également d'un grand secours pour l'historien hainuyer. Pensons ici par exemple à l'indispensable étude de M.-A. Arnould sur les dénombrements de foyers (42) qui embrasse une bonne part de l'histoire fiscale et démographique du comté.
ARNOULD, M.-A., Les dénombrements de foyers dans le comté de Hainaut (XIVe-XVIe siècles), Bruxelles, CRH. Collection in -4°, 1956, 771 p.
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BRUAND, O., Voyageurs et marchandises au temps des carolingiens : les réseaux de communication entre Loire et Meuse aux VIIIe et IXe siècles, Paris, Bibliothèque du moyen âge, n°20, 2002, p. 57-sv.
DELPORTE, L. & CULOT, M., Inventaire des archives de la cure de Saintes, Saintes, 1995 (Dossiers du Chirel de Rebecq-Tubize, Série Inventaires, n°1).
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DELPORTE, L., L'habitat seigneurial dans le Pays d'Enghien : l'exemple de Bierghes et d'Oetingen, dans Du métier des armes à la vie de la cour, de la forteresse au château de séjour : familles et demeures aux XIVe-XVIe siècles. Actes du Colloque international organisé au château fort d'Ecaussinnes-Lalaing, 22, 23 et 24 mai 2003, sous la dir. de J.-M. CAUCHIES et J. GUISSET, Turnhout, 2005, p. 119-131.
DELPORTE, L., La grande procession ou Tour Sainte-Renelde, dans La vie et le culte de sainte Renelde, des origines à nos jours, éd. L. Delporte, Tubize, 1996, p. 133-151.
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DELPORTE, L., Le char de procession de sainte Renelde, dans Le Betchard, n° 41, septembre 2009, p. 11.
DELPORTE, L., Le puits miraculeux Sainte-Renelde, dans Le Betchard, n° 40, juin 2009, p. 10.
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DELPORTE L., Saintes, 1173, dans Chartes-lois en Hainaut (XIIe-XIVe siècle), éd. J.-M. Cauchies et F. Thomas, Mons, Analectes d'histoire du Hainaut, t. 9, 2005, p. 451-457.
DELPORTE, L., Seigneuries et habitat seigneurial : éléments structurants du paysage. Quelques exemples au Pays d'Enghien, dans Actes du VIIe congrès de l'Association des Cercles Francophones d'Histoire et d'Archéologie de Belgique, Congrès d'Ottignies-Louvain-la-Neuve, 26, 27 et 28 août 2004, t. 1, p. 55-56. (résumé de la communication)
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La description de ce fonds ainsi que l'introduction de cet instrument de recherches ont été réalisées par Marie Van Eeckenrode, attachée scientifique contractuelle auprès de la Section 17 des Archives de l'État (Archives de l'État à Louvain-la-Neuve), avec les précieux conseils de Monsieur Luc Delporte, conservateur du Musée de la Porte à Tubize. Le conditionnement a été réalisé par Claire Van Eeckenrode et Fabian Desmet, que nous tenons à remercier pour leur aide. Les opérations de classement, description et conditionnement ont été effectuées entre juillet et décembre 2010.
Cet instrument de recherche s'appuie sur les recommandations émises par :
COPPENS, H., De ontsluiting van archieven. Richtlijnen en aanbevelingen voor de ordening en beschrijving van archieven in het Rijksarchief, AGR, Miscellanea Archivistica Manuale n°21, Bruxelles, 1997.
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Nous empruntons ici à L. Delporte sa chronologie en cours d'élaboration des seigneurs de Saintes (43) :
Avoués laïcs de Saint-Pierre à Lobbes
Liébert et Gislard de Saintes, mentionnés ensemble en 1092
Guy de Saintes, ca 1161-1162 et Gislard de Saintes, ca 1173-1192 ; il pourrait s'agir d'une seule et même personne
Seigneurs de Saintes
Pierre de Saintes, fin XIIe-début XIIIe siècle
Hugues de Saintes, milieu XIIIe siècle, fils du précédent
Hugues II de Saintes (?), deuxième moitié du XIIIe siècle
Hugues II ou III de Saintes, fin XIIIe-début XIVe siècle
N. de Saintes, 1ère moitié XIVe siècle, peut-être fille du précédent
Juliane dou Bos dit Le Struve, 1ère moitié XIVe siècle
N. dou Bos dit Le Struve, 1ère moitié XIVe siècle, sœur de la précédente
Josse dou Pont dit de Saintes, milieu XIVe siècle, fils de la précédente
Jehan dou Pont, milieu XIVe siècle, fils du précédent
(?)
Englebert II d'Enghien-Ramerut, fin XIVe siècle-ca 1463
Louis d'Enghien-Ramerut, 1463-fin XVe siècle, fils du précédent
Anthoine d'Enghien-Ramerut, fin XVe-début XVIe siècle, fils du précédent
Anne d'Enghien-Ramerut, 1ère moitié XVIe siècle-1551, fille du précédent
Guillaume de Bouzanton, milieu XVIe siècle, époux de la précédente
Jeanne de Bouzanton, seconde moitié de XVIe siècle, fille du précédent
Laurent de Marbais, fin XVIe siècle, fils de la précédente
Cécile de Bouzanton, fin XVIe siècle, sœur du précédent
Charles de Glymes, fin XVIe siècle-1598
Jacques de Glymes, 1598-1606, frère du précédent
Gabriel de Glymes, 1606-1612, fils du précédent
Jean de Servais, 1612-1634
Jean-Aurèle Servais, 1634-1656, fils du précédent
Hélène Robertine Van Maele dite de Malinez, 1656-1704
Catherine-Philippine Van Achelen, 1704-1719, fille de la précédente
Marie Josephe Van der Borght, 1719-1743, fille de la précédente
Catherine Ferdinande Van der Borght, 1744-1751, sœur de la précédente
Philippe Eugène Joseph d'Olmen de Poederlé, 1751-1781, cousin de la précédente
Eugène Joseph d'Olmen de Poederlé, 1781-fin de l'Ancien Régime, fils du précédent
Contenu : Les documents qui y sont décrits concernent les années 1709 à 1770. | 1 | Inventaire des documents déposés au greffe de Saintes par les maire et échevins le 10 septembre 1770. 1770. | 1 pièce | ||||||
2 - 53 | Placards. 1692-1787. | ||||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 2 | 1692. | 1 pièce | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 3 | 1693. | 1 pièce | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 4 | 1694. | 1 pièce | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 5 | 1695. | 1 pièce | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 6 | 1702. | 1 pièce | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 7 | 1703. | 1 pièce | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 8 | 1704. | 1 chemise | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 9 | 1705. | 1 pièce | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 10 | 1706. | 1 pièce | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 11 | 1708. | 1 pièce | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 12 | 1715. | 1 pièce | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 13 | 1716. | 1 pièce | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 14 | 1719. | 3 pièces | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 15 | 1722. | 1 pièce | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 16 | 1732. | 1 pièce | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 17 | 1733. | 1 pièce | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 18 | 1741. | 1 pièce | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 19 | 1742. | 1 chemise | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 20 | 1743. | 1 chemise | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 21 | 1744. | 1 chemise | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 22 | 1745. | 1 chemise | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 23 | 1746. | 1 chemise | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 24 | 1747. | 1 chemise | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 25 | 1748. | 1 chemise | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 26 | 1756. | 1 pièce | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 27 | 1757. | 3 pièces | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 28 | 1758. | 3 pièces | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 29 | 1759. | 3 pièces | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 30 | 1762. | 1 pièce | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 31 | 1763. | 1 pièce | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 32 | 1764. | 3 pièces | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 33 | 1765. | 1 chemise | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 34 | 1766. | 1 chemise | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 35 | 1767. | 1 chemise | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 36 | 1768. | 1 chemise | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 37 | 1769. | 1 chemise | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 38 | 1770. | 1 chemise | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 39 | 1771. | 1 chemise | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 40 | 1772. | 1 chemise | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 41 | 1773. | 1 chemise | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 42 | 1774. | 1 chemise | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 43 | 1775. | 1 chemise | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 44 | 1776. | 3 pièces | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 45 | 1777. | 2 pièces | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 46 | 1778. | 1 chemise | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 47 | 1779. | 1 chemise | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 48 | 1781. | 1 chemise | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 49 | 1782. | 1 chemise | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 50 | 1785. | 1 pièce | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 51 | 1786. | 1 chemise | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 52 | 1787. | 1 chemise | ||||||
Contenu : Tous ces placards étaient conservés dans le ferme des échevins de Saintes. Cependant, une partie d'entre eux a pourtant été adressée aux échevins de la seigneurie voisine de Pont-à-Wisbecq, pourtant détachée complètement de celle de Saintes au début du XVIIe siècle. | 53 | Non datés. | 1 chemise |