Name: Vénerie du Brabant et du Consistoire de la Trompe. XIIIe siècle-1796 - Jachtrecht van Brabant en Consistorie van de Hoorn. XIIIde eeuw-1796
Period: XIIIe siècle - 1796
Inventoried scope: 21 linear meters
Archive repository: State archives in Brussels (Forest)
Heading : Regional administrations (Ancien régime): States, high officers at court and regional councils
Authors: E. Sabbe — M. Van Haegedoren
Year of publication: 2001
Code of the inventory: I 34
Dans son livre sur le droit de chasse en Brabant, M. A. Smit assigne à la réglementation de la chasse des ducs une origine domaniale (1). Les premiers ducs de Brabant avaient certainement dans leurs propriétés allodiales des fonctionnaires chargés de l'organisation et de l'administration de la chasse. Cette administration primitivement domaniale s'étendit à l'ensemble du territoire brabançon à l'époque même où l'autorité territoriale du duc engloba tout le duché.
La réglementation de la chasse entraîna la répression des délits de chasse ; de là deux institutions très solidaires la Vénerie de Brabant ou l'administration de la chasse et le Consistoire de la Trompe ou la juridiction compétente en matière de chasse.
L'ancien régime n'avait pas tracé une délimitation très nette entre les fonctions administratives et judiciaires. L'organisation et l'histoire de la Vénerie de Brabant et du Consistoire de la Trompe le prouvent une fois de plus. Les mêmes officiers ducaux se rencontrent dans les deux institutions : le grand veneur (opperjager, meesterjager) et le gruier (warantmeester). Leurs fonctions respectives sont difficiles à démêler tant en matière administrative que judiciaire. Le grand veneur (venator) est déjà signalé dans un acte du 1er décembre 1294 (2). Il y figure en qualité de président des homines de cornu doinini ducis siégeant à Boitsfort. Il est l'administrateur de la maison de chasse à Boitsfort (3). Avant tout, haut fonctionnaire du palais, il a droit de juridiction sur ses subordonnés (4). Le gruier primitivement " waranthoeder " apparaît pour la première fois en 1356 (5). C'est le subordonné du grand veneur. Il semble y avoir eu un " waranthoeder " partout où le duc possédait une chasse ou " vrije warande " . Le gruier est le gardien de la chasse, fonction qu'il conservera jusqu'à la fin de l'Ancien Régime et qui fut le point de départ de ses attributions judiciaires (6). Le gruier de la " vrije warande " de la forêt de Soignes acquit petit à petit une compétence qui devait porter ombrage à celle du grand veneur (7). Il préside dès 1361 le tribunal des hommes de fief à Boitsfort (8). Sous Philippe le Bon il devient le gruier de Brabant (warantmeester van Brabant) (9). De nouvelles attributions viennent s'ajouter à celle de gardien de la chasse : dès le XIVe siècle il a la protection des couvents (10), il cumule à partir de 1457 la charge de gruier avec celle de " watergraaf " et de " pluimgraaf " de Brabant (11).
La centralisation bourguignonne s'appliqua à l'administration de la chasse comme à de nombreuses autres administrations. Le gruier de la franche forêt de Soignes devient gruier de Brabant et sa compétence s'étend à tout le duché (12). Il choisit dans chaque ville de Brabant trois hommes pour juger les délits de chasse (13). Cette innovation de nature plutôt administrative fut complétée par Charles-Quint au point de vue judiciaire. Une première ordonnance du 3 juillet 1518 (14) créa une juridiction compétente en matière de chasse : " le Consistoire des hommes de fief de la Trompe " siégeant à Boitsfort. Le Consistoire vint s'établir à la Maison du Roi à Bruxelles lors des troubles de la seconde moitié du XVIe siècle. Ce tribunal se composait de sept hommes de fief du duc nommés à vie et d'un greffier. à la mort d'un des membres le grand veneur était chargé de pourvoir à son remplacement. Le gruier était tenu de procéder et de citer les délinquants en matière de chasse devant le Consistoire. Le Conseil de Brabant jugeait en qualité de tribunal d'appel (15). Une deuxième ordonnance, du 16 juin 1536 (16), défend au gruier de choisir désormais ses juges dans les quatre chefs-villes du pays ; il prendra trois hommes de fief du duc dans chaque quartier où il aura à rendre justice.
Une dernière ordonnance de Charles-Quint, du 28 février 1545 (17), limite et précise définitivement les fonctions judiciaires du gruier. Pour éviter la longueur des procès devant le " Consistoire du gruier ", le gruier aura dans chacun des quatre quartiers du duché un lieutenant nommé par lui du consentement du grand veneur ou de son remplaçant. Le lieutenant gruier de chaque quartier réunira et présidera un collège de trois hommes de fief du duc qui rendra la justice. Ils prendront pour greffier le clerc de la justice locale ou un autre désigné par eux.
A la, fin du XVIe siècle la compétence du gruier déborde celle du grand veneur. Il devient à partir de Louis le Comte (1615-1651), d'accord avec le grand veneur, le suppléant de celui-ci avec le titre de " lieutenant général grand veneur " (18). Aux termes de cet accord le " lieutenant général grand veneur " ou gruier de la Vénerie de Brabant administre la maison de chasse de Boitsfort. Toutes les " calenges " faites par les officiers de la Vénerie, sont rapportées sous serment au gruier ou à son lieutenant. Les officiers de la Vénerie sont aux ordres du gruier ou lieutenant général grand veneur. Le grand veneur et le gruier " pourvoyeront alternativement à toutes les charges des respectifs consistoires ". Il sera tenu au Consistoire deux rôles aux jours de " plaid " ordinaires. Dans le premier ou rôle du grand veneur on inscrira toutes les " calenges " faites par les veneurs ou officiers de la Vénerie, dans le second ou rôle du gruier, toutes celles du gruier. Le grand veneur pourra toujours faire inscrire les " calenges " réservées au rôle du grand veneur dans celui du gruier ou vice-versa. Le grand veneur reste le supérieur hiérarchique du gruier, mais c'est ce dernier qui exerce les fonctions, tandis que le grand veneur porte simplement le titre de fonctions devenues plutôt honorifiques. à certains moments, le grand veneur fit preuve d'activité mais en général jusqu'à la fin de l'ancien régime, sauf sous le gouverneur général Charles de Lorraine, le gruier appelé aussi grand gruier exerça constamment les fonctions de " lieutenant général grand veneur " qui consistaient à remplacer dans presque toutes les circonstances le grand veneur (19). A partir du XVIIe siècle les attributions du gruier se résument comme suit.
Au point de vue administratif, il a l'administration de la chasse du souverain. Chargé de la conservation de la sauvagine de la forêt de Soignes, il commande la garde de cette forêt composée d'un lieutenant, de six hommes à cheval et de quatorze hommes à pied (20). Les troubles du XVIe siècle avaient occasionné une recrudescence de vagabondage et de braconnage. Les archiducs Albert et Isabelle remplacèrent la garde ordinaire par une nouvelle garde commandée par Guillaume de Romerée " capitaine de la nouvelle garde de la forêt de Soignes " (21). Ce capitaine qui avait dans ses attributions la surveillance de la sauvagine introduisit également des actions devant le Consistoire de la Trompe, d'où naturellement des conflits avec le gruier. Après la mort d'Isabelle, le cardinal-infant rétablit la garde ordinaire le 24 novembre 1636 (22). Le gruier administrait aussi la maison de chasse du souverain à Boitsfort, il veillait à l'entretien et à la nourriture de la meute et des chevaux, et assurait l'équipement de la garde (23). Il percevait les revenus de la sauvagine et exerçait la police sur la vente du gibier.
L'article 37 de la Joyeuse Entrée garantit la liberté de la chasse dans tout le duché excepté dans les " vrije waranden " et douaires (24). Le terme " vrije waranden " désigne les chasses réservées appartenant au duc ou à un seigneur haut justicier. Il semble y avoir eu à partir du XVe siècle une extension et une multiplication des " vrijewaranden " tant ducales que seigneuriales au détriment des chasses banales (25). Le domaine était un district autour des " vrije waranden " et soumis au même droit privatif que celles-ci (26). Le gruier, ou ses lieutenants dans les quartiers, exercent la juridiction de la chasse, excepté dans les " vrije-waranden " des seigneurs hauts justiciers (27). Un placart du 28 février 1545 ordonne à tous les seigneurs ayant le privilège de " vrije-warande " de faire homologuer leurs titres dans le terme d'un an. Passé ce délai, les privilèges de ceux qui ne se seraient pas soumis à cette formalité seraient considérés comme non-avenus et leur seigneurie serait soumise à la juridiction ordinaire de la chasse (28). Le gruier a la juridiction privative de la chasse, c'est-à-dire, à l'exception de toute autre cour de justice. Ce fut là une source de nombreux procès entre le gruier et les autres officiers ducaux, ainsi que les seigneurs de basse justice qui prétendaient juger eux-mêmes les délits de chasse commis dans leur seigneurie. Les conflits ne furent pas moins nombreux entre le gruier et les villes qui prétendaient en vertu de leurs privilèges que leurs bourgeois n'étaient justiciables que du tribunal échevinal.
En qualité de protecteur des couvents le gruier ou ses lieutenants citent les délinquants devant le Consistoire de la Trompe sauf pour des délits passibles de peine de mort que le gruier introduit au Conseil de Brabant (29). Quant aux fonctions de " pluimgraaf " et de " watergraaf ", elles étaient purement honorifiques.
La Vénerie de Brabant fut sujette sous le gouverneur Charles de Lorraine à d'importantes modifications quant à son personnel (30). Le poste de gruier resta vacant à la mort de Van Santen († 12 août 1747) jusqu'en 1758. La charge de grand veneur, toujours plutôt honorifique, était devenue héréditaire dans la famille de Rubempré par suite d'un accord intervenu en 1668. Le grand veneur déléguait à un lieutenant ses fonctions, dont il prétendait avoir la collation. Le gouverneur général s'opposa en 1757 aux prétendues prérogatives du grand veneur Maximilien de Rubempré en matière de nomination. D'où conflit. M. de Rubempré refusa de continuer ses fonctions. Charles de Lorraine rétablit le 24 juillet 1758 la charge de gruier en la personne de l'avocat de Tassillon. En réalité ce fut le gendre de de Tassillon, Louis deVaux, lieutenant grand veneur, qui assuma les fonctions.
Charles de Lorraine supprima en 1774 l'emploi de lieutenant grand veneur ou lieutenant grand fauconnier et appela à la dignité de grand veneur le comte d'Ongnies et Mastaing (4 juin 1774). La charge de gruier fut conférée le 8 juillet 1774 à Charles-Théodore de l'Escaille, investi provisoirement depuis le 16 mars 1723. Quant au lieutenant grand veneur Louis deVaux, il fut nommé le 28 juillet 1774 " commandant de la Vénerie et des chasses royales ".
Joseph II abolit la charge de grand veneur, la Vénerie ne comportait dès lors plus qu'un lieutenant grand fauconnier, le prince de Grimberghen et le gruier, de l'Escaille (31).
Les archives du Consistoire de la Trompe et de la Vénerie de Brabant n'ont jamais fait l'objet d'un classement systématique.
Dans les premiers temps elles furent conservées à la Maison de Chasse de Boitsfort, depuis la fin du XVIe siècle à la Maison du Roi et après le bombardement de 1695, pendant quelques années, dans les locaux du Grand Serment, rue d'Isabelle, pour réintégrer ensuite la Maison du Roi.
En fait, certains greffiers gardaient une grande partie des documents dans leur maison particulière (32). Comme leurs fonctions au Consistoire n'étaient pas très absorbantes, ces greffiers cumulaient ordinairement d'autres emplois et ils n'ont pas toujours observé la distinction nécessaire entre les archives des différentes administrations.
Nous avons conservé (33) une minute de rapport de la seconde moitié du XVIIe siècle, rédigée par un notaire, chargé de classer les archives et qui signale le grand désordre de la masse des archives du Consistoire depuis plusieurs décades : il déclare expressément qu'il lui a été impossible d'y opérer aucun classement.
Nous ne pouvons que confirmer cette sévère appréciation du notaire en ce qui concerne la négligence des anciens greffiers.
Cet état de choses est particulièrement sensible pour les dossiers des procès antérieurs à 1680 qui ont été retrouvés à peu près tous démembrés. Il n'est pas impossible, au demeurant, que les ravages exercés par l'incendie de 1695 et le déménagement hâtif qui s'en est suivi y soient pour quelque chose.
Depuis l'époque de la gruierie de Madoets († 1680) on constate une certaine amélioration.
Les nécessités de l'administration et de la juridiction ont maintenu les grandes séries de pièces de procédure, notamment les Rôles (numérotés), les Informations et Sentences, encore qu'on y constate un grand nombre de lacunes.
On peut remarquer deux traces d'anciens classements : la première consiste en une simple mise en paquets de papiers les plus anciens, probablement à l'occasion du déménagement de 1695. Les premières marques, en chiffres arabes, semblent dater de la seconde moitié du XVIIe siècle.
Les secondes marques, en chiffres romains, datent du XVIIIe siècle et ne se trouvent que sur des paquets de cette époque.
Vu le caractère rudimentaire de ces deux tentatives de classement, il n'en a été tenu presque aucun compte, pour l'agencement du présent inventaire.
Comme il se conçoit, les archivistes modernes ont commencé par s'occuper des archives des grands corps de l'État sous l'ancien régime. Le classement de celles des administrations de moindre importance fut remis à plus tard. Au moment où nous avons entrepris le présent travail, nous avons pu constater qu'aux archives du Consistoire se trouvaient mêlés de nombreux documents de la Foresterie, et même des pièces provenant de la Chambre des Tonlieux, de la Drossarderie et de l'Alcadie de la Cour.
D'autre part, une quantité assez considérable d'archives de la Vénerie avaient été mêlées à celles de la Foresterie.
En l'absence complète de système de classement antérieur nous avons eu les coudées franches pour reconstituer, dans la mesure du possible, un ordre reflétant les principales attributions des dirigeants de l'organisme : l'organisation et l'administration de la Vénerie, les fonctions judiciaires du Consistoire de la Trompe.
La plus grande partie du fonds est constituée par les archives du Consistoire de la Trompe et se rapporte aux fonctions judiciaires de l'institution. Le grand veneur et le gruier doivent être considérés comme ministère public de ce tribunal.
Les archives administratives du grand veneur et du gruier ont été groupées, de même que les pièces comptables.
La correspondance à l'exception des numéros 15, 19 et 20 se trouvait absolument démembrée et mêlée à tous les autres documents. Partout où cela était possible, les lettres concernant des procès ont été restituées aux dossiers. Les autres pièces de correspondance ont formé l'objet d'un classement en six séries chronologiques suivant qu'elles sont adressées au Consistoire, au grand veneur ou au gruier ou qu'elles émanent de ces autorités. Il a été procédé de la même manière avec les pièces isolées de procédure, ne constituant pas des séries : elles ont été jointes aux dossiers des procès partout où cela a été possible, et les pièces qui n'ont pu être attribuées à un dossier avec certitude, on les a classées par ordre chronologique.
Le corps même du fonds - on pourra s'en rendre compte immédiatement - est formé par, les dossiers de procès : comme les rôles ils forment deux séries, les procès du grand veneur et ceux du gruier. Il restait un certain nombre de procès non datés pour lesquels il a été impossible de déterminer s'ils appartiennent au gruier ou au grand veneur. Il en a été formé un numéro spécial.
Les dossiers des pièces ont été numérotés par portefeuille. Un relevé sur fiches mentionne par année les parties intervenantes aux procès. Les procès ont été classés par ordre chronologique et lorsque plusieurs procès se rapportent à la même année par ordre alphabétique du nom du défendeur, sans tenir compte des particules, de, de la, du, van, van de, etc. Si le nom du défendeur fait défaut, on a classé d'après le nom principal figurant dans le dossier (prénom, lieu de l'habitation, fonctions). Dans chaque dossier, l'inventaire des pièces a été classé à la fin.
Le grand veneur, le gruier et le Consistoire ont soutenu des procès devant le Conseil de Brabant et le Conseil privé. Il n'est resté qu'un dossier de procès devant la Cour des Grands Chiens à Boitsfort.
De nombreuses pièces ont pu être classées comme annexes de procès ou de requêtes. Lorsque cela n'a pas été possible, les pièces ont été groupées sous certaines rubriques de nature à en faciliter la consultation. Tous ces documents sont des copies, à l'exception des numéros 346 et 347. Il en est ainsi, par exemple, des instructions, des règlements que nous aurions dû nous résigner à ignorer, si les nombreux plaideurs ainsi que les grands veneurs et gruiers n'avaient eu soin d'en produire souvent des copies qui ont été groupées sous le n° 348.
Toutes les copies ont été classées suivant l'ordre chronologique de, l'acte copié, la date de la copie faisant très souvent défaut et étant, en l'espèce, de moindre importance.
La comptabilité des fonctions judiciaires est absolument fragmentaire. Celui qui désirera l'étudier consultera avec plus de profit les comptes rendus par les grands veneurs et gruiers conservés dans les archives de la Chambre des Comptes.
Les pièces groupées dans le chapitre V (Archives du Consistoire à Louvain) doivent être considérées comme une annexe au fonds.
Étant donné leur petit nombre, leur état fragmentaire, et le degré de parenté qu'elles ont avec les archives de la Vénerie, il a paru utile de les décrire ici plutôt que d'en faire l'objet d'un inventaire spécial.
Sauf indication contraire, tous les numéros de l'inventaire constituent des liasses de documents, conservées dans des portefeuilles.
1 | Documents concernant l'organisation ancienne des archives. S.d. | ||||||||
2 | Procès-verbal de l'abornement de la "Franche Garenne". 8 juillet 1772 - 4 novembre 1778. | 1 registre | |||||||
3 | Documents concernant les limites de la Vénerie. XVIIe siècle. | ||||||||
4 | Registre des cens de la Vénerie des Grands Chiens à Boitsfort. 1454. | ||||||||
5 | Registre des cens de la Vénerie. 1700-1729. | ||||||||
6 | Extrait du registre des cens de la Vénerie. 1661. Avec annotations postérieures. | ||||||||
7 | Pièces et plans concernant les cens. 1649-1699. | ||||||||
Il y a des listes dressées au XVIIe siècle, rétrospectives pour le XVIe. | 8 | Liste du personnel. 1693-1745. | |||||||
9 | Barèmes de salaires. XVIe et XVIIe siècle. | ||||||||
10 - 11 | Minutes d'actes de nomination. 1608-1760. | ||||||||
10 | Années 1608-1698. | ||||||||
11 | Années 1702-1760. | ||||||||
12 | Actes de nominations. 1601-1766. | ||||||||
13 | Copies d'actes de nomination. 1603-1728. | ||||||||
14 | Commissions et actes divers concernant le personnel. 1613-1731. |