Name: Famille (de) Cazier
Period: 1364 - 1894
Inventoried scope: 3 linear meters
Archive repository: State archives in Tournai
Heading : Families and Persons
Authors: Mariage, Florian
Year of publication: 2012
Code of the inventory: Y1/03
Cazier (famille de).
Philippe-Albert et son frère Jean-Baptiste Cazier ont été anoblis par lettres patentes du 3 mai 1729 contenant l'autorisation, pour eux et leurs descendants, de faire précéder leur nom de la particule " de " ; ce que nous avons appliqué dans le présent inventaire. Cette concession est cependant tardive et comme l'essentiel du fonds porte sur le XVIIe siècle, il a été jugé plus correct de signaler ce fonds d'archives comme étant celui de la famille (de) Cazier.
Il est à noter que les derniers représentants de la famille, Philippe-Albert (1670-1730), son fils René-François (1709-1786) et son petit-fils René-Albert-Joseph (1753-1833), se sont également fait appeler " Cazier du Breucq ", du nom du fief à Briffœil dont ils étaient les détenteurs.
La famille Cazier est originaire du nord de la France ; l'aïeul François Cazier, veuf en 1560, vivait à Fleurbaix (France, dép. Pas-de-Calais). Ses enfants et presque toute sa descendance se fixèrent cependant à Tournai dans la seconde moitié du XVIe siècle et y acquirent rapidement la bourgeoisie. La famille eut de nombreux représentants parmi le magistrat communal, depuis Pierre Cazier (1548-1635), nommé greffier de l'échevinage en 1604, jusqu'à René-François de Cazier (1709-1786), actif comme échevin entre 1736 et 1749. Elle s'implanta durablement dans la cité en contractant plusieurs alliances avec des familles tournaisiennes anciennes, tels les Dennetières et du Chambge.
La fortune familiale doit beaucoup à Pierre Cazier (1548-1635), qui s'employa, outre son activité de greffier, à acquérir plusieurs seigneuries dans le Tournaisis et ailleurs (Camphain, à Mourcourt, Hautighem à Celles et Tour Baudry à Pottes) et à se doter d'un important patrimoine foncier et rentier à Tournai et dans le nord-ouest du comté de Hainaut, à Orroir et Pont-à-Rhosnes, Amougies et Russeignies, Escanaffles et Guermignies (dép. Pottes). Le livret de partage qu'il dressa en 1624 à l'attention de ses enfants Pierre et Nicolas Cazier et de sa petite-fille Françoise de Male en témoigne (inv. n° 24). Pierre Cazier est à l'origine du " récran " Cazier, un hospice créé en 1594 et qui accueillait à sa fondation six ménages dans le besoin. Le bâtiment, reconstruit en 1757, existe encore au n° 1 de la rue Barre-Saint-Brice à Tournai ; on y voit, en bas-relief sur une pierre insérée dans le pignon de la façade, les armes de Pierre Cazier et de ses épouses, Françoise Robert et Jeanne Dennetières.
Détail de la façade du " Récran Cazier ", au n°1 de la rue Barre-Saint-Brice à Tournai. (c) Archives de l'État.
L'accession à la noblesse se fit plus tard, à partir de la fin du XVIIe siècle. Jacques-Philippe Cazier (1636-1702) fut anobli par l'achat en 1681 d'une charge de conseiller secrétaire du roi Louis XIV, en sa chancellerie établie près le Parlement de Tournai. Son frère Adrien Cazier (1638-1712), receveur de cette même chancellerie, fit également enregistrer ses armoiries à l'Armorial général de France. Au début du XVIIIe siècle, certains membres s'élevèrent à des fonctions supérieures, tel Jean-Baptiste de Cazier (1685-1747), conseiller pensionnaire des États de Tournai-Tournaisis puis auditeur à la Chambre des Comptes, conseiller au Conseil des Finances et au Conseil suprême des Pays-Bas à Vienne, anobli et élevé en même temps que son frère Philippe-Albert à la dignité de chevalier héréditaire du Saint-Empire en 1729, puis fait baron de Cazier en 1743 ; son fils Denis-Benoît-Joseph, baron de Cazier (1718-1792) suivit le même parcours que son père au Conseil des Finances à Bruxelles, puis au Conseil suprême des Pays-Bas à Vienne, avant de revenir à Bruxelles comme président de la Chambre des Comptes et finalement trésorier général des finances.
La branche tournaisienne s'est éteinte en 1833 avec le décès de René-Albert-Joseph de Cazier, mort sans postérité. Sa seconde et jeune épouse, Marie-Anne-Norbertine, née comtesse de Robiano en 1789, lui survécut cependant jusque 1860 et hérita de sa fortune, à l'exception du château de Rumillies que le baron de Cazier avait acquis en 1786 et qu'il légua en 1828 à son beau-frère Charles de Robiano. Le fils de ce dernier, Albert de Robiano, transmit à sa mort en 1904 la propriété à sa fille Mathilde (1868-1946), épouse Charles de Croÿ-Solre. On doit à un des petits-enfants du couple, le prince Guillaume de Croÿ, né en 1950, l'initiative du don des archives conservées jusqu'alors au château de Rumillies.
Le fonds était conservé au château de Rumillies, au plus tôt en 1786, date de l'acquisition du domaine par René-Albert-Joseph de Cazier. Il n'a pas déménagé depuis lors et s'est encore accru de documents jusqu'en 1894. Sa destinée est liée à celle du château de Rumillies et de ses propriétaires successifs jusqu'en 2008 (familles de Robiano et de Croÿ).
On ne possède aucun inventaire du fonds, même ancien. Celui-ci, lors de son versement, nous est parvenu dans un état de désordre complet.
Certains chirographes portent des cotes anciennes qui pourraient témoigner d'un classement antérieur ; cependant comme ces pièces sont en nombre limité (une cinquantaine environ) et que les cotations - car différents systèmes existent - ne sont ni continues ni systématiques, il s'agit plus vraissemblablement d'un référencement propre aux échevinages et seigneuries dont ces archives sont issues.
Le fonds a fait l'objet de tris vers le milieu du XIXe siècle. Ces campagnes - les mentions d'interventions s'étendent de 1842 à 1856 - sont sans doute la conséquence du décès de René-Albert-Joseph de Cazier en 1833 et de la volonté des de Robiano de mettre de l'ordre - éventuellement gagner de la place - dans des papiers d'Ancien Régime qui avaient perdu, pour la plupart, toute utilité administrative. Lors de leur dépôt aux Archives de l'État en 2008, certaines pièces étaient toujours réunies en liasses sommairement décrites par une note à l'encre. Des annotations de cette époque figurent encore sur plusieurs documents et témoignent du peu de cas dont les résidents du château de Rumillies, dépositaires des papiers de la famille (de) Cazier, se faisaient alors des archives en leur possession :
" Uniquement bon pour entourer des papiers qu'on désire conserver, les parchemins résistant mieux à la ficelle dont on les liera " lit-on au dos d'un acte en néerlandais de 1690 (n°330) ; ailleurs, sur un acte de 1615 (n°365): " Vu en 1842. Insignifiant à garder " ; sur un autre de 1726 (n°323) : " Vu en 1852. Sans aucun intérêt ". Une des motivations de ce(s) tri(s) a peut-être été le procès qui a opposé Marie-Anne-Norbertine, comtesse de Robiano, et divers prétendants à la succession de René-Albert-Joseph de Cazier ; on lit notamment, au dos d'un fragment de compte de la fin du XVIIe siècle (n°12) : " 1850. Pour conserver, ayant rapport à la famille Cazier et constattant (sic) de ses alliances. Notamment pour les prétentions au legs delaissé par feu René-Albert ". Une autre note, postérieure à 1856 (n°12) est de la main de la veuve: " Pièces relatives aux procès intentés par les soi-disant héritiers de feu mon cher mari et gagnés par moi, qui me furent remises par Monsieur l'avocat Dubus le 15 octobre 1856. Voir son mémoire ci-joint ".
Enfin, certains documents portent une cote récente au crayon en chiffres arabes, témoins d'une ou de plusieurs consultations du fonds.
Il faut en outre signaler que le château de Rumillies conserve une riche bibliothèque, contenant plusieurs manuscrits inédits et portant sur l'histoire de Tournai ; certains de ces ouvrages proviennent peut-être du cabinet de René-Albert-Joseph de Cazier.
Les archives de la famille (de) Cazier ont été déposées aux Archives de l'État à Tournai le 11 juin 2008, par le prince Guillaume de Croÿ, propriétaire du château de Rumillies. La convention définitive de don, signée de sa main, date du 24 juin 2008.
N° d'acquisition : 2008/05.
N° de dossier central : AÉT 572.
La pièce la plus ancienne est un acte sur parchemin de 1364, de l'évêque de Cambrai (n°264), la plus récente un état des frais engendrés par des travaux dans les bois appartenant à Albert de Robiano, en 1894 (n°251).
L'essentiel des archives porte sur la branche dont est issu René-Albert-Joseph de Cazier (1753-1833). Il faut cependant noter que le fonds s'est enrichi de pièces postérieures à 1860, date de décès de la seconde épouse de ce dernier, Marie-Anne-Nobertine de Robiano. Cela est bien sûr dû au voisinage des archives de la famille et descendance de Charles de Robiano, légataire du château de Rumillies en 1828.
A contrario, la présence d'archives antérieures au début du XVIIe siècle, date du début des activités tournaisiennes de l'aïeul Pierrre Cazier, s'explique sans doute par le rassemblement de divers héritages au profit de la famille et des branches alliées, ainsi que par l'achat de biens, dont le transfert s'est accompagné de la cession des titres antérieurs.
La caractéristique essentielle du fonds est qu'il s'agit principalement d'un chartrier, composé en grande majorité de titres sur parchemin (actes d'achat de biens immobiliers, constitutions de rentes, actes de partages, testaments). On n'y trouve que très peu de documents sur papier, hormis la correspondance. Comme dit plus haut, cela résulte d'une procédure délibérée de sélection et d'élimination, opérée sans doute au milieu du XIXe siècle. Parmi ces pièces, nombreux sont les chirographes réalisés en double ou en triple et dont la partie conservée ici est la plupart du temps celle à destination de l'acheteur, ce dont atteste une note dorsale souvent libéllée " pour l'acheteur ". Rares sont les chirographes provenant du ferme échevinal et contenant la mention " pour le ferme "; on ne s'explique leur présence dans le fonds autrement que, pour certains d'entre eux, par l'extinction de la rente ou de l'obligation dont ils étaient porteurs.
Les archives ont trait à diverses localités du Tournaisis historique (Blandain, Chin, Froyennes, Helchin, Hollain, Jollain-Merlin, Rumes, Rumillies, Templeuve-en-Dossemer, Tournai, Wez), mais également du nord-ouest du comté de Hainaut (Amougies, Béclers, Braffe, Briffœil, Celles, Deux-Acren, Escanaffles, Forest, Gaurain-Ramecroix, Montrœul-au-Bois, Orroir, Pottes, Russeignies), du comté de Flandre (Cobrieux, Frelinghien, Moorsel, Templeuve-en-Pévèle, Warneton, Wieze, Wulvergem) et du duché de Brabant et de la seigneurie de Malines (Bruxelles, Duffel, Malines).
Les familles apparentées les mieux représentées sont les familles Baulin et de Robiano.
Parmi les pièces les plus remarquables, citons le registre des revenus du secrétaire du Conseil privé Jacques de la Torre (1512-1581 ; n° 277), véritable livre de raison d'un des hauts fonctionnaires les plus en vue du régime espagnol, couvrant près de quarante ans de gestion d'une fortune personnelle ; malheureusement on ne s'explique pas la raison de sa présence dans le fonds.
Langues et écriture des documents
La majorité des pièces est en français. De très nombreux documents sont en néerlandais mais on trouve également certaines pièces en latin, en espagnol et en allemand.
Vu la petitesse du fonds et le caractère historique des documents versés, aucun tri postérieur au versement n'a été effectué.
Comme signalé plus haut, on peut déduire de la nature du fonds qu'une sélection drastique a eu lieu vers le milieu du XIXe siècle et que la plupart des documents sur papier ont alors été éliminés ; le fonds ne contient donc quasi aucune archive de gestion administrative et comptable.
Le désordre complet dans lequel les archives nous sont parvenues et la complexité inhérente aux archives de famille nous ont forcément conduit à adopter les principes en vigueur aux Archives de l'État pour les fonds de ce type.
Les archives ont donc été classées selon le plan suivant :
I. Généralités (nos 1-13)
Généalogie et héraldique
Archives
II. Papiers personnels (nos 14-280)
Famille (de) Cazier
Familles apparentées
Familles non apparentées
III. Documents relatifs aux biens (nos 281-683)
Biens situés en Belgique
Biens situés en France
IV. Documents sans rapport apparent avec le fonds (nos 684-696)
Les membres de la section II.A. ont été classés par ordre chronologique de naissance ; une distinction " Vie publique - Vie privée " a été opérée lorsque le nombre de documents le justifiait. Quelques informations biographiques ont été insérées sous certains titulaires. Les familles de la section II.B. ont été rangées selon l'ordre chronologique de parenté avec la famille Cazier.
Les documents de la section III ont été classés par pays (Belgique, France), puis par ordre alphabétique des communes d'avant la fusion de 1977. Au sein de celles-ci, nous avons opéré une distinction en fonction des différentes seigneuries concernées. Ce classement se justifie par le fait que la très grande majorité des pièces date d'avant 1795. Les pièces qui n'ont pu être placées dans l'une ou l'autre seigneurie, notamment en raison du fait qu'elles étaient postérieures à la suppression du système féodo-vassalique en 1795, ont été mises en tête de la commune. Au sein de chaque seigneurie, une distinction a été opérée selon le tableau suivant :
Seigneurie
Rapports et dénombrements
Droits seigneuriaux
Officiers seigneuriaux
Biens immobiliers
Titres
Arpentage et limites
Rentes
Gestion
Comptabilité
Imposition / cadastre
Conflits relatifs aux propriétés
Lorsque cela a été possible, les pièces au sein de chaque rubrique ont été rassemblées en fonction du bien concerné. On peut ainsi parfois suivre sur plusieurs décennies les dénombrements successifs d'un même fief ou les transferts de propriété d'une même rente ou d'une même terre.
Les archives décrites dans cet inventaire sont publiques et librement accessibles.
Les règles en vigueur aux Archives de l'État sont d'application.
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La description générale du fonds et l'inventaire ont été réalisés par Florian MARIAGE en 2009 d'après les règles en vigueur aux Archives de l'État depuis la fin de l'année 2007. Les règles générales de description suivies dans ce travail s'appuient sur les Directives relatives au contenu et à la forme d'un inventaire d'archives, Bruxelles, 2008. Nous tenons à remercier chaleureusement Baudouin D'Hoore, Claude de Moreau de Gerbehaye et Bernard Desmaele pour les conseils judicieux qu'ils ont bien voulu nous prodiguer dans l'accomplissement de ce travail.
Le plan de classement adopté a été établi selon :
BERVOETS J.-A.-A. e.a., Het conglomeraat ontward. Aanwijzingen voor het inventariseren van familiearchieven, dans Nederlands Archievenblad, 1984, p. 193-233.
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Le conditionnement matériel du fonds a été effectué par Astrid Maillard et Marleen De Block.
Généalogie simplifiée ne mentionnant que les membres de la famille pour lesquels des archives sont présentes.
Dans l'ordre de parenté à la famille (de) Cazier:
Dennetières (Pierre Cazier x Jeanne Dennetières en 1607)
De Madre (Pierre Cazier x Madeleine-Marguerite De Madre en 1664)
Rasson- Delafosse - du Chambge (Adrien Cazier x Marie-Anne Rasson, fille d'Anne Delafosse, en 1669 ; Anne Delafosse était la fille de Marie du Chambge)
Le Sellier (Philippe-Albert de Cazier x Madeleine-Élisabeth Le Sellier en 1703)
De Guerrieri (Jaspard-Joseph Cazier x Marie-Madeleine de Guerrieri, avant 1710)
de Flines (Philippe-Albert de Cazier x Marie-Anne de Flines en 1710)
Baulin- Schaepcooman - Coustelier - Van Oost - Gilles (Jean-Baptiste de Cazier x Jeanne-Catherine-Joseph Baulin, fille de Marie-Jeanne-Françoise Schaepcooman, en 1716 ; Jeanne-Catherine-Joseph-Baulin était la petite-fille de Nicolas Baulin x Catherine Coustelier en 1663 ; elle était l'arrière-petite-fille de Nicolas Baulin x Philippine Van Oost en 1637 ; elle était l'arrière-arrière-petite-fille de Nicolas Baulin x Marie Gilles vers 1608)
du Bois de Harnes- de Forest - Dursens (René-Albert-Joseph de Cazier x Marie-Françoise-Eulalie du Bois de Harnes, fille de Marie-Claire-Antoinette de Forest, en 1777 ; elle était la petite-fille de Jean-Baptiste du Bois de Harnes x Jeanne Dursens avant 1663)
de Robiano (René-Albert-Joseph de Cazier x Marie-Anne-Norbertine, comtesse de Robiano, en 1820)
1 - 11 | Tableaux généalogiques. [XVIIe - début du XIXe siècle]. | ||||||||
Fragment. Sur papier toilé. En néerlandais. Contient une note relative au testament de Maria De Smit, décédée en 1615. | 1 | Famille De Smit. [Après 1615]. | 1 pièce | ||||||
Familles de Baeust, de Berlo, de Cortenbach, de Ghistelle, de Glimes, de Liere, de Liminghen, de Romerswale, de Thiaut et Van der Gracht. | 2 | Ascendants de François Van der Gracht et Philippine de Liminghen. [XVIIe siècle]. | 1 pièce | ||||||
Fragmentaire. | 3 | Familles Aerts, Maré, Mosselman, Van der Borcht et Van Parys. [Après 1733]. | 1 pièce | ||||||
4 | Preuve de la parenté de Pierre-Paul Le Sellier avec René-Albert-Joseph de Cazier et Barbe-Louise Cambier. [Après 1760]. | 1 pièce | |||||||
5 | Descendants de Jérôme Dennetières et Marie Villain, jusque René-François de Cazier. [Après 1767]. | 1 pièce | |||||||
6 | " Partie ou fragment de la généalogie des Dennetières pour Mr de Cazier, descendant de damoiselle Jeanne Dennetières, par alliance 1607 avec Pierre Cazier, seigneur d'Hautighem ". Descendants de Jérôme Dennetières et Marie Villain. [XVIIIe siècle]. | 1 pièce | |||||||
7 | Dessins d'armoiries " pour faire preuve des quartiers ". [XVIIIe siècle]. | 2 pièces | |||||||
8 | Descendants de Pierre Cazier, seigneur d'Hautighem. [XVIIIe siècle]. | 3 pièces | |||||||
En double; un exemplaire sur parchemin et l'autre sur papier toilé. Concerne les familles (de) Cazier, de Cavin, de Flandres, Dennetières, Godebry et Le Clercq. | 9 | Descendants de Sébastien Godebry, jusque Nicolas Cazier, seigneur de Camphain, mort en 1646. [XVIIIe siècle]. | 2 pièces | ||||||
Fragment. Sur parchemin. | 10 | Familles indéterminées. [XVIIIe siècle]. | 1 pièce | ||||||
Familles (de) Cazier, de Flines, de Guerrieri, Delafosse, de Madre, du Bois de Harnes, du Chambge, Le Sellier, Rasson et Van Dael. | 11 | Descendants de Jean du Chambge et Jossine Clau jusque René-Albert-Joseph de Cazier. [Fin du XVIIIe ou début du XIXe siècle]. | 1 pièce |