Name: Congrégation des Filles du Sacré Coeur de Jésus Mons
Period: 1514-1998
Inventoried scope: 2,25 linear meters
Archive repository: State archives in Mons
Heading : Abbeys, monasteries and commanderies
Authors: Niebes, Pierre-Jean
Year of publication: 2015
Code of the inventory: AEM.02.155
Congrégation des Filles du Sacré-Cœur de Jésus à Mons (après 1851)
Anciens noms:
Association du Sacré-Cœur de Jésus (1820)
Congrégation de la Charité du Sacré-Cœur de Jésus (1821)
Congrégation des Filles du Sacré-Cœur (1824)
Congrégation des Sœurs de la Charité du Sacré-Cœur de Jésus (1834, 1850)
Congrégation et Société des Dames du Sacré-Cœur de Jésus à Mons (1851)
Cette association de filles dévotes devenue congrégation diocésaine a été fondée à Mons en 1814 par le curé-doyen de Sainte-Waudru, Jean-Baptiste De Ruesne (1751-1838) (1). Son objet est l'éducation des jeunes filles pauvres.
En 1807, le doyen De Ruesne (ou Deruesne) crée une fondation pieuse qui accueille une douzaine de petites filles pauvres. Avec l'accord de la Commission des hospices civils, elle est établie à l'hospice des enfants trouvés, situé rue de Houdain et aussi dénommé maison du Saint-Esprit. En 1812, cette association de filles dévotes loue une maison sise rue des Cinq Visages mais revient s'établir à la maison du Saint-Esprit dès juin 1813. En mars 1814, les locaux de la maison du Saint-Esprit sont repris par la ville pour y abriter un magasin de vivres destinés aux armées. L'association sollicite alors la Régence de la Ville de Mons en vue d'occuper l'ancien refuge de l'abbaye de Saint-Ghislain (2) situé rue Fétis. L'école s'installe le 25 mars 1814 dans ce bâtiment occupé ensuite par l'école primaire de l'Athénée royal. Les premières postulantes de la nouvelle congrégation dédiée au Sacré-Cœur, Florence et Charlotte Harmignie, y entrent le 14 juin 1814.
Le 4 décembre 1816, l'association se mue définitivement en congrégation lorsque les cinq premières sœurs prononcent leurs vœux et qu'une supérieure est élue : il s'agit de Florence-Joseph Harmignie, religieuse de la maison des Badariennes à Valenciennes avant la Révolution. Sa nièce, Charlotte Harmignie, fait aussi partie des fondatrices. Les statuts de la congrégation sont approuvés par arrêté royal du 15 mai 1819.
La congrégation des Filles du Sacré-Cœur de Jésus est " un institut spécialement consacré à l'éducation de la jeunesse du sexe féminin, et avant tout, à celle des enfants nées de parens (sic) indigens ou peu fortunés ". En 1823, la supérieure écrit dans une lettre adressée au conseil communal que ces enfants d'adoption sont habituellement au nombre de dix-huit à vingt (3). En 1847, d'après le compte annuel, quatorze petites filles abandonnées sont prises en charge jusqu'à l'âge de 18 ans. Parallèlement, les filles du Sacré-Cœur tiennent aussi, dès 1814, un pensionnat pour l'éducation de jeunes filles issues de la bourgeoisie. Selon leurs statuts approuvés par l'évêque du diocèse de Tournai, Jean-Joseph Delplancq en juin 1833 : " Les Sciences qu'on y enseignera sont (outre la Doctrine Chrétienne Catholique Apostolique et Romaine qui, étant la principale science doit passer avant tout) la lecture, l'écriture, la grammaire française avec l'orthographe et la prononciation, le calcul avec les différents actes ou billets relatifs aux affaires, la bienséance, le style des lettres. Elles donneront aussi à leurs élèves une idée de géographie, et d'Histoire sacrée et profane. Elles leur apprendront en outre tous les principaux ouvrages convenables aux personnes de leur sexe ; spécialement à tricoter, coudre, ressarcir, remailler, faire les différents points, festonner, broder " (4).
La maison de Binche est une succursale établie le 28 mai 1822 dans l'ancien couvent des récollets de Binche (sis Grand-Rue), suite à la donation de Marie-Anne Houzeau devenue Mère Marianne. Cette dernière dirigera cette nouvelle maison qui appartient à la ville de Binche et accueille un pensionnat et un externat jusqu'à sa mort survenue à l'âge de 65 ans, le 18 juin 1837. Selon une chronique de la congrégation, " l'installation de la communauté de Binche fut des plus solennelles : Monsieur de Bousies, Gouverneur de la Province du Hainaut, s'y était rendu ; les habitants étaient en habits de fête, c'était une réjouissance générale. Une cavalcade, des sociétés de musique, les notables de la ville, des groupes de bergères vinrent à la rencontre des religieuses, qu'on faisait entrer par la porte de Bruxelles " (5). En 1879, suite au vote de la loi Van Humbeeck appelée " la loi de malheur " par l'opposition catholique, les sœurs du Sacré-Cœur doivent quitter les lieux où les autorités communales décident d'établir une école publique comme la nouvelle loi les y oblige. Elles fondent alors l'institut du Sacré-Cœur qu'elles installent rue de la Station à Binche (actuelle rue de Robiano). Elles ont acquis leurs propriétés à Binche, comprenant couvent, jardin, cour et maison, du prince de Chimay, Joseph de Riquet, en 1890, outre une parcelle de jardin en tontine de la famille Fontaine de Binche, par acte passé devant le notaire Auguste Derbaix, de Binche, le 23 octobre 1890 (6).
À la mort de Mère Florence-Joseph Harmignie, survenue le 17 février 1823, Mère Marie-Thérèse du Bois lui succède en qualité de supérieure, charge qu'elle remplit jusqu'à sa mort survenue le 17 juin 1867, à l'âge de 75 ans. Née à Mons, rue des Gades, le 6 février 1792, entrée en religion le 16 mars 1817, elle avait fait sa profession religieuse en 1819. Elle financera en grande partie la construction du nouveau bâtiment de la rue des Dominicains.
En 1834, la maison mère de Mons est transférée dans une demeure située rue des Ursulines, n° 1-3 dont l'acquisition a été autorisée par arrêté royal du 15 mai 1834. La congrégation possède, en outre, plusieurs maisons situées rue des Dominicains, dont l'acquisition a été autorisée par arrêté royal du 5 avril 1840 et quelques petites maisons au Mont-du-Parc, par arrêté royal du 29 août 1843.
En 1847 (7), suite au procès intenté par Charles-François-Augustin Houzeau de Le Haie, propriétaire, domicilié à Mons, et Rose-Isabelle-Philippine-Joséphine Houzeau de Le Haie, épouse d'Hippolyte-Joseph Rousselle, les héritiers de Mademoiselle Houzeau, en nullité de l'acte de donation passé par cette dernière en faveur de la congrégation, devant le notaire Harmignies à Mons le 27 avril 1821, et après l'arrêt rendu en leur faveur par la Cour d'Appel de Bruxelles, une transaction intervient entre les parties, approuvée par un arrêté royal en date du 22 juin 1847. La congrégation doit abandonner la moitié des biens et revenus affectés à cette fondation. Le partage des biens est réalisé par le notaire Baudelet à Mons, par acte du 3 septembre 1847 (8). En outre, la congrégation est tenue de payer une somme de 10.000 francs aux héritiers de Marie-Anne Houzeau.
En 1850, la congrégation compte trente-quatre religieuses réparties entre la maison de Mons et celle de Binche. Elles accueillent à cette époque quatorze " enfants abandonnées " ou " enfants d'adoption " dont elles assurent l'éducation. Leur enseignement se partage entre l'éducation rétribuée de demoiselles pensionnaires issues de la bourgeoisie catholique à qui elles dispensent " une éducation soignée " et les classes d'externes, accessibles à des petites filles gratuitement. " On y reçoit pareillement les enfans pauvres et toutes les jeunes personnes médiocrement fortunées qui s'y présentent et on leur y apprend la Religion, la lecture, l'écriture, les principes de la grammaire et de l'arithmétique : on y apprend en outre à celles qui le désirent, quelques-uns des ouvrages de leur sexe ; les réunissant pour cela dans une classe particulière " (9). Enfin, la congrégation distribue des secours aux nécessiteux.
Le 30 mars 1859 a lieu la pose de la première pierre du nouveau couvent par la supérieure Marie-Thérèse du Bois en présence de Gédéon Descamps, doyen de Sainte-Waudru. Le vaste établissement de style classique est bâti dans l'actuelle rue des Dominicains (qui porta le nom de rue Ferrer), à proximité du collège des Jésuites, selon les plans et sous les ordres de l'architecte Pierre Sury (10). En octobre 1862, la congrégation s'y installe. Elle compte alors trente-six religieuses.
En 1892, l'institut Sainte-Julie fondé à Mons en 1882 par Madame Gaspar Demoulin-Derbaix pour l'éducation des jeunes filles pauvres fusionne avec la congrégation. Ce pensionnat, d'abord implanté rue des Dominicains, n° 20 a ensuite été transféré rue des Clercs en 1888, dans une maison plus grande située au pied du beffroi, puis au n° 88 de la rue d'Havré, à partir de juin 1897. Cette propriété, ancien refuge de l'abbaye de Bélian, comprenait une maison d'habitation, une chapelle et un jardin et est actuellement occupé par l'école d'architecture. Gabrielle Petit (11) compta parmi les pensionnaires de l'institution en 1902.
En 1892 et 1905, deux écoles primaires sont successivement ouvertes à Nimy (école du Sacré-Cœur fondée à la demande du curé de Nimy, Lambillotte) et au faubourg Saint-Lazare à Mons (dépendance de la paroisse Sainte-Élisabeth). Les Montois les appellent " le Petit Sacré-Cœur ".
Le pensionnat pour jeunes filles de la rue des Dominicains abrite non seulement une école primaire mais aussi une école moyenne et, de 1911 à 1919, un cours supérieur inspiré des programmes des écoles normales.
En janvier 1917, la communauté doit quitter le bâtiment de la rue des Dominicains (12) réquisitionné par l'occupant et transformé en lazaret ou hôpital pour soldats allemands. Elle se réfugie à l'institut Sainte-Julie où les cours sont dispensés. L'école primaire du n° 1 de la rue des Gaillers doit fermer et sa réouverture n'aura lieu qu'à Pâques 1919. Elle est supprimée en 1928 et son personnel est transféré à l'école du chemin de la procession (faubourg Saint-Lazare) (13). L'internat prospère.
En 1925, à la demande du nouvel évêque de Tournai, Mgr Rasneur, le chanoine Poulet, visiteur des communautés religieuses du diocèse, sollicite le concours de la congrégation en vue de la création à Mons d'un lycée catholique libre où les humanités anciennes sont instaurées. En 1931, les élèves de la première rhétorique du premier collège d'humanités gréco-latines pour jeunes filles de la province du Hainaut sont diplômées. " Désormais, ces privilégiées pourront parler avec leurs maris des chefs-d'œuvre de l'esprit humain en littérature grecque et latine, aider et corriger leurs fils et leurs filles peinant sur les versions grecques ou les thèmes latins. Et elles seront devenues plus femmes et plus mères encore parce que plus humaines ! " (14). Une section commerciale est aussi créée pour l'obtention du diplôme de comptabilité, sténo-dactylographie et secrétariat.
Le 1er juin 1939, on célèbre le 125e anniversaire de l'Institut du Sacré-Cœur. Le chanoine Harmignie, doyen de Charleroi et frère de la supérieure, célèbre une messe à la chapelle de l'Institut, en présence de l'évêque du diocèse de Tournai, Mgr Gaston-Antoine Rasneur. L'après-midi a lieu une séance académique au cours de laquelle les élèves du Lycée interprètent " Esther " de Jean Racine, comme autrefois les jeunes filles de Saint-Cyr.
Le 14 mai 1940, lors du bombardement de Mons par l'aviation allemande, le pensionnat et une partie de l'aile droite du bâtiment de la communauté sont détruits. Quatre religieuses (15) sont tuées, ensevelies sous les décombres, dont la Supérieure générale, Mère Marie-Alphonse Harmignie, arrière-petite-nièce des deux fondatrices (16). L'institut Sainte-Julie, où les religieuses se réfugient, est lui aussi bombardé le 19 mai 1940 et a nouveau touché lors du bombardement allié du 20 mai 1944.
Les toitures du couvent sont partiellement restaurées à partir d'octobre 1941. Mais suite à l'installation, par l'autorité allemande, de deux plates-formes pour la protection aérienne dans la toiture, le pensionnat du Sacré-Cœur est à nouveau touché lors du bombardement allié du 10 mai 1944. Il est ensuite réquisitionné par l'armée belge du 1er janvier 1945 au 30 avril 1946.
En 1955, les sœurs du Sacré-Cœur fusionnent avec la congrégation des Filles de Marie-Paridaens de Louvain, à l'initiative du vicaire général Pierre Carlier.
En 1959, l'institut du Sacré-Cœur ouvre une école normale primaire pour la formation de futures institutrices sous la direction de Sœur Marie-Vianney, décédée en août 2004.
En 1971, l'institut du Sacré-Cœur de Binche fusionne avec le collège épiscopal Notre-Dame de Bon-Secours.
En mars 2009, la communauté des Filles de Marie-Paridaens quitte Mons pour Beaumont.
La congrégation a à sa tête une supérieure élue pour trois ans et rééligible. Son conseiller spirituel est le curé de la paroisse Sainte-Waudru à Mons. La maison succursale de Binche fondée en 1822 a aussi une supérieure, et l'institut Sainte-Julie dispose d'une directrice à partir de 1919.
La postulante est d'abord candidate puis prend l'habit de novice. La période du noviciat de probation dure deux ans. Elle fera ensuite profession temporaire d'une année qu'elle renouvellera trois fois consécutivement durant les trois années que la jeune professe passera au noviciat avant de prononcer ses vœux perpétuels. L'habit est composé d'une longue robe noire et d'une coiffe blanche.
Le 19 mars 1922 est constituée l'ASBL " Institut du Sacré-Cœur " par les 35 religieuses de la congrégation. Le siège de l'association est établi à Mons et elle a pour but et objet : " a) de faciliter à ses membres la vie religieuse en commun, conformément aux prescriptions du droit canonique et à son règlement d'ordre intérieur. b) de procurer, sous toutes ses formes et à tous les degrés, l'instruction et l'éducation religieuses selon la doctrine de l'Eglise catholique, aux enfants de toutes les classes de la société, soit dans leurs écoles libres, adoptables ou adoptées soit dans leurs maisons d'éducation en recevant des élèves tant externes qu'internes " (17).
Le 4 octobre 2000, Francine Sergeys, supérieure de la communauté des Filles de Marie-Paridaens, Institut du Sacré-Cœur, sis rue des Dominicains, n° 9 à Mons confie des documents anciens et parchemins à la paroisse Sainte-Waudru à Mons. Le 29 novembre 2007, cette dernière dépose ces documents aux Archives de l'État à Mons. Cette entrée d'archives, enregistrée le 21 décembre 2007, porte le numéro 1913. Un contrat de dépôt en bonne et due forme relatif à ces documents ainsi qu'à un versement complémentaire d'archives de la congrégation du Sacré-Cœur en provenance du couvent de Beaumont a été conclu le 17 juin 2011 entre les Archives de l'État et l'ASBL Filles de Marie-Paridaens.
Dans la première partie de cet inventaire, on retrouve des documents spécifiques à toute communauté religieuse : ils ont trait à son organisation (statuts, règles et cérémonies), son personnel et sa spiritualité. La congrégation s'est penchée sur sa propre histoire à travers une chronique, particulièrement détaillée pour la période de la Première Guerre mondiale (18).
La seconde partie de l'inventaire rassemble des documents relatifs aux biens fonds et à la gestion financière de la congrégation. Elle contient de nombreux rétro-actes d'Ancien Régime relatifs à des propriétés dévolues à la Congrégation, en particulier suite à la donation de Marie-Anne-Louise-Joseph Houzeau.
Dans les actes relatifs aux biens immobiliers situés à Mons rue des Telliers, est mentionnée une lignée de personnages importants : Jean-François, marquis du Chasteler, de Courcelles et de Moulbaix, seigneur de Carnières, Ansermont, Bois de Louvignies, Conseiller d'État d'épée puis président du Conseil souverain de Hainaut, mort le 24 août 1764 qui acquiert un hôtel à Mons revendu en 1770 par son fils François-Gabriel-Joseph, chambellan de l'impératrice Marie-Thérèse, lieutenant de la compagnie des Hallebardiers, membre de l'État noble de Hainaut (19).
La série formée par les comptes annuels des recettes et dépenses permet d'identifier des petits revenus tels que le produit du jardin, de la filature et de la couture, et fournit des détails au sujet des dépenses ordinaires, alimentaires notamment.
Nous avons structuré cet inventaire selon le cadre défini en 1974 (20) par Charles Molette, président de l'association des archivistes de l'Église de France, pour les congrégations féminines de vie active créées au XIXe siècle. Ce cadre définit différentes séries : série A : fondation ; série B : archives anciennes jusqu'à la Révolution ; série C : congrégations intégrées et fondations fermées ; série D : relations avec les autorités ecclésiastiques ; série E : relations avec les Unions de religieuses et les autres instituts ; série F : relations avec les autorités civiles ; série G : administration générale ; série H : relations à l'intérieur de la congrégation ; série J : personnel ; série K : formation ; série L : spirituel ; série M : activités de l'Institut ; série N : rayonnement spirituel de la congrégation ; série P : bulletins et publications à usage externe ; série Q : temporel ; série R : varia ; série S : objets et souvenirs.
Seuls les documents sensibles du point de vue de la vie privée ou relatifs à des personnes en vie ne sont consultables qu'avec l'autorisation du déposant. Les autres sont librement consultables. En outre, le chercheur qui désire consulter des archives contenant des données à caractère personnel remplira préalablement une déclaration de recherche (21).
Pour la reproduction des documents, les règlements et tarifs en vigueur aux Archives de l'État sont d'application.
CLÉMENT P., L'enseignement secondaire catholique en Belgique, particulièrement dans le diocèse de Tournai depuis 1830,volume 3 : de 1945 à 1985, 1986 (syllabus).
Le présent inventaire a été achevé en juin 2013.
Original et photocopies. | 1 | Notice biographique relative à Marie-Thérèse Du Bois, supérieure générale de la congrégation de 1823 à 1867. 3 mars 1880. | 1 cahier | ||||||
Contient la liste des supérieures des maisons de Mons et Binche depuis 1814, 79 folios. Avec photocopies. | 2 | Copie de la chronique de la congrégation de ses origines à 1862. 31 mai 1890. | 1 cahier | ||||||
Original et photocopies. | 3 | Notices biographiques consacrées aux premières religieuses de la congrégation. [XIXe siècle]. | 1 cahier | ||||||
4 | Notes consacrées à l'histoire de la congrégation et de l'institution Sainte-Julie. [XIXe siècle]. | 1 cahier | |||||||
5 - 6 | Chronique du couvent débutée à l'occasion du centenaire de la congrégation. 1914-1922. | ||||||||
5 | 15 avril 1914-3 novembre 1918. | 1 cahier | |||||||
6 | 9 novembre 1918-17 août 1922. | 1 chemise | |||||||
7 | Poème rédigé à l'occasion du centenaire de la congrégation du Sacré-Cœur. 15 avril 1914. | 1 pièce | |||||||
8 | Programme de la fête patriotique organisée en l'honneur du roi Albert. 16 novembre 1916. | 1 pièce | |||||||
9 | Coupures de presse relatives au 125e anniversaire de la congrégation. Mai-août 1939. | 3 pièces | |||||||
10 | Discours prononcé par R. Lenaerts, s.j., à l'occasion de la bénédiction du mémorial dédié aux victimes du bombardement du 14 mai 1940. 1949. | 3 pièces | |||||||
11 | Copies d'articles et de documents relatifs à la congrégation des Filles de Notre-Dame à Mons. [1980]. | 1 chemise |