Name: Couvent des Frères mineurs (Huy)
Period: 1329 - XVIIIe siècle
Inventoried scope: 2,5 linear meters
Archive repository: State archives in Liège
Heading : Abbeys, monasteries and commanderies
Authors: Archiviste des Archives de l'État — Baetens, Jozef — Jacquemin, Anne — Malherbe, Franck
Year of publication: /
Code of the inventory: T4/13
Couvent des frères mineurs de Huy.
Comme le souligne J. L. Antoine dans sa solide étude (2), on dispose de sources sur les Frères Mineurs à Huy surtout à partir du XVIIe siècle. Pour la période antérieure, on ne peut compter que sur les chroniques et quelques mentions dans des actes notariés, des comptes, etc. Une synthèse de ces données, au moins pour le XIIIe siècle, a été faite par A. Joris (3). L'auteur a cru pouvoir conclure, en s'appuyant sur Gilles d'Orval, Jean d'Outremeuse et la Chronique liégeoise de 1402 (4) que les Frères Mineurs se sont installés hors les murs de Huy, près de l'église ou de la chapelle Saint-Jacques, en 1234, cinquième année de l'évêque Jean d'Eppes, et que ce n'est qu'en 1244 qu'ils s'installent dans l'enceinte de la ville, sur un terrain qui leur a été donné par Hubin de Saint-Martin. J. L. Antoine se montre plus prudent et cite, entre autres, un historien local du XVIIe siècle, Laurent Mélart, qui a très probablement consulté les archives des Frères Mineurs et est arrivé à la conclusion que les Frères Mineurs se trouvaient déjà dans la ville en 1234 (5). Cependant ni Joris ni Antoine ne mentionnent la tradition franciscaine, suivie par Joannes van Brustem, De Saumery, J. Daris, F. Thyrion, J. Gaspard, R. Dubois, A. De Sérent, H. Lippens, M. Luppes et F. Discry (6), qui affirment qu'après leur établissement à Namur, en 1224, les Frères mineurs prêchent bientôt à Huy, s'y installent vers 1228 à l'extérieur de la ville, près de l'église Saint-Jacques, et commencent à construire un monastère en 1234 sur une terre appartenant à Hubin de Saint-Martin, au centre de la ville.
Si l'on réexamine le problème de la date exacte de fondation, il faut tenir compte d'une charte du 23 mars 1241 dans laquelle l'échevin Hubin (déjà syndic ?) et un supérieur des Frères Mineurs de Huy sont mentionnés (7) comme responsable des biens d'un sujet local. La raison pour laquelle L. Wadding, le seul franciscain, affirme qu'ils ne se sont installés au centre qu'en 1244 n'est pas claire (8).
Contrairement à la plupart des autres monastères du 13e siècle, la première résidence des frères mineurs à Huy est assez bien connue : près de la porte Saint-Léonard, à la chapelle (ou église) Saint-Jacques (9). Pour la seconde résidence, dans l'actuelle rue Vankeerberghen, près de la Grand-Place, De Saumery entre autres donne une description détaillée qui peut être complétée par les études de J. Gaspard, S. L. Van Ruysevelt et J. L. Antoine (10). Le monastère, entièrement reconstruit au 17e siècle abrite depuis 1933 le musée communal de Huy et de 1965 à 2007, les Archives de l'État à Huy (11).
En raison du manque de documentation solide, on sait peu de choses sur les activités des frères mineurs durant cette période. Le monastère appartient à la custodie (province) liégeoise de la Provincia Franciae et devient rapidement un centre d'activité pastorale. A. Joris note que leur attitude compréhensive et nuancée à l'égard du commerce est particulièrement favorable aux citoyens et aux patriciens qui préfèrent que leurs proches soient enterrés dans l'église du monastère ou dans la salle du chapitre (12).
Les frères mineurs étant les seuls moines à vivre dans l'enceinte de la ville jusqu'au milieu du XVe siècle, ils jouent souvent le rôle de témoins impartiaux ou co-exécuteurs de testaments dans lesquels les frères eux-mêmes sont parfois richement dotés (13). En 1245 déjà, le prieur, aux côtés de l'abbé de Flône, se porte garant d'une rente sur une maison et, peu à peu, on trouve de plus en plus d'exemples de ce genre (14). L'espace du monastère et l'influence du supérieur signifiaient que la justice était également rendue régulièrement dans le monastère (cour jurée) et l'on connaît une multitude d'actes dans lesquels il est explicitement confirmé qu'une certaine décision a été prise dans le monastère des Frères Mineurs et parfois le sceau du monastère était utilisé comme moyen de ratification (15).
En raison de sa situation et de sa forme fermée, le monastère devient rapidement un lieu de rencontre pour les patriciens et, plus tard, pour les artisans. L'origine exacte de cette coutume n'est pas connue, mais en 1298, les patriciens sont entourés dans le monastère par les artisans qui se voient ensuite attribuer des salles pour délibérer. Lorsque, lors de travaux de réfection du monastère, certaines salles sont déclarées inaccessibles par le supérieur, de graves difficultés surgissent (16).
La réforme des Observants et des Coletans, qui a eu une grande influence aux Pays-Bas, ne s'impose pas dans la custodie de Liège où les frères mineurs de Liège, Dinant, Huy et Nivelles refusent d'accepter les Constituties de Martin V (1430) et de céder leurs biens immobiliers (17). Lorsque Léon X, par sa bulle Ite vos du 25 mai 1517, sépare les Observants des Conventuels, les Frères sont isolés de la principauté et forment leur propre province : la Provincia Leodiensis St. Huberti Fratrum Minorum Conventualium. Cette province et le monastère conventuel de Huy subsistent jusqu'à la Révolution française (18).
Nous sommes assez bien renseignés sur l'établissement des récollets à Huy. Nous disposons non seulement des chroniques générales de S. Bouvier ( † 1681) et de J. D. Doyen (fl. 1753), mais aussi d'une chronique spéciale de ce monastère : Historia domus Huensis FF. Minorum Recollect. ab anno 1632 usque ad annum 1678, ex cnertts, seu documentis originalibus in Archivo ejusdem domus asservatis, fideliter descripta per V.A.P. Augustinum Des Mou/ins alias bis Provinc. Diffinitorem. Primariorum conventuum iterate et suprafati Huensis quarto Guardinum (19). Cette chronique fournit une masse de documents qui, cependant, mettent assez fortement en évidence comment les capucins s'opposèrent à cette fondation à Huy (20). Malgré cette vision unilatérale, cette chronique reste une source unique pour la connaissance non seulement de la fondation de Huy, mais aussi de la mentalité de cette époque.
Après que P. Marchant organise la sécession de la province de Saint-Joseph en Comitatu Flandriae en 1628, l'ancienne Provincia Flandriae compte encore 17 monastères. Comme ces frères mineurs, transférés aux récollets, vivent principalement d'aumônes et sont parfois éloignés de leur foyer, le problème d'hébergement se pose. L'insécurité et les guerres du XVIIe siècle accentuent le besoin de patronages propres, et les récollets s'efforcent d'avoir leurs propres hospices dans tous les centres. Comme tous les ordres mendiants sont désormais confrontés au même problème, il est évident que ceux qui sont déjà confirmés quelque part observent attentivement si l'hospice des autres ordres respecte les restrictions imposées par la ville.
Les capucins, au détriment des récollets (21), réussissent à s'installer à Huy vers 1607 et réagissent lorsque Matthias Hauzeur, gardien du monastère des récollets à Liège, se voit attribuer par le chanoine liégeois Miche, en 1632, une chaumière située à Huy. L'année suivante, le prince-évêque Ferdinand veut agir contre les calvinistes et il fait appel à Hauzeur pour traiter avec Hotton ; Hauzeur le fait si bien que Hotton perd toute son influence et ses partisans (22). Le prince-évêque ne peut l'oublier et lorsqu'en 1634 Hauzeur devient provincial et demande une maison de frères à Huy, il obtient immédiatement cette permission, avec la restriction que seuls 4 moines peuvent y vivre. C'est donc sans tarder que les Frères occupent cette petite maison, dans la paroisse de Saint-Pierre, sur la rive gauche de la Meuse (23). Lors d'une épidémie en 1636, ils obtiennent la propriété d'un vigneron, Colin le Mangon, mais avec la clause d'y construire un couvent et une église et de rester au service de la paroisse de Saint-Pierre. Les frères s'installent dans cette maison et travaillent si bien dans la paroisse qu'en 1640, les curés et les paroissiens font une déclaration élogieuse, ajoutant qu'il était dommage qu'ils soient obligés d'habiter une si vieille maison. Entre-temps, le 16 février 1638, ils obtiennent d'Érard de Brion une maison et des vignes et à sa mort, le 17 août 1640, une autre maison et des vignes, 1500 patacons supplémentaires, une somme fantastique pour l'époque ! à condition de construire un monastère et de prier chaque jour pour le repos de son âme. Bien que la ville n'accorde pas de permis de construire, les frères s'installent dans cette maison.
Lors d'une inondation en 1641, une partie du pont de la Meuse est détruite, la ville échange le permis contre une forte contribution aux travaux de réparation. Les récollets interprètent cette autorisation de manière assez large et entreprennent immédiatement la construction d'un nouveau grand monastère sur la propriété d'Érard de Brian, dans la paroisse Saint-Pierre, dans la rue appelée depuis longtemps quai des Récollets (24). Malgré toutes sortes d'oppositions, ils obtiennent du prince-évêque Ferdinand, le 4 juin 1647, tous les droits et obligations des autres ordres établis et commencent la construction de leur église ; elle est consacrée le 10 octobre 1649 par le suffragant Richard Pauli-Stravius et dédiée à Saint-Nicolas (25). De Saumery dit de l'église qu'elle attire de nombreux croyants malgré sa simplicité (26).
Les Récollets, convaincus de leur sympathie auprès du peuple, entreprennent de porter le nombre de leurs frères à 23, mendient eux-mêmes auprès des habitants de Huy et enterrent leurs bienfaiteurs défunts dans leur église. Une résistance se manifeste bientôt et le prince-évêque Maximilien-Henri rend un décret le 31 mai 1659 dans lequel il stipule à nouveau clairement que le monastère ne peut compter plus de 12 membres et que les frères ne peuvent pas mendier dans la ville et aux alentours (27).
L'histoire de la fondation du monastère de Huy, déjà complexe, doit être contextualisée dans l'histoire politique de la principauté. La politique de neutralité du prince-évêque se répercute sur sa préférence pour certains ordres monastiques ; les jésuites et les capucins, d'orientation espagnole ou française, sont plus sévèrement traités, tandis que les récollets, qui penchent parfois vers la province de Cologne [Köln, DE] (où le prince-évêque séjourne souvent, par exemple à Bonn), se voient progressivement accorder plus de liberté (28).
Cette politique de neutralité, qui conduit nécessairement à des conflits avec les superpuissances, a pour effet, à certaines périodes, de vouloir faire sortir tous les moines qui ne viennent pas de la principauté et d'inciter les supérieurs liégeois à former leur propre entité (custodia ou province).
Le prince-évêque Maximilien-Henri en particulier soutient cette tendance en 1686, et à Huy, entre autres, 6 récollets sont exilés, dont le gardien Bonaventura Haack (29). Pour d'autres motifs, le chapitre de Saint-Lambert soutient cette politique d'expulsion et obtient en octobre 1686 qu'une fois de plus le nombre maximum de membres de chaque monastère soit clairement défini ; pour les récollets, cela signifie : 60 à Liège, 30 à Verviers et Farciennes, 24 à Florennes et Couvin, 22 à Waremme, 20 à Ciney, 15 à Visé et 13 à Huy (30).
Ces chiffres (en fait des minima !) donnent une image claire de la force des récollets dans la principauté et expliquent en partie la férocité des luttes qui font parfois rage entre la branche liégeoise et la branche dite brabançonne (avec Namur) des Flandriae. Pendant des années, les papes eux-mêmes doivent réaliser dans l'administration provinciale une sorte de tour de rôle et Benoît XIII renouvèle à nouveau en 1726 le décret qui stipule que l'administration provinciale doit être prise à tour de rôle dans les deux groupes.
Cette situation perdure jusqu'au 29 novembre 1780, date à laquelle l'empereur Joseph II scinda la Flandriae en 2 provinces : une Flandriae Flandriae ad Mosam et une Flandriae ad Sambram (31).
Nous avons peu de données sur les activités des récollets. Depuis leur fondation, ils sont au service de la paroisse Saint-Pierre (prédication, confession, catéchisme), tâche qu'ils poursuivent probablement après avoir construit leur propre église. Dans cette église, la congrégation de Notre-Dame de Halle a déjà placé en 1649 une grande statue de Marie, qui attire immédiatement de nombreux fidèles. Lorsque la congrégation organise un pèlerinage annuel à Halle, accompagné par des récollets, le prince-évêque dissout la congrégation en 1659 (32).
Le monastère devait être assez spacieux, car en 1753, 18 pères et 5 frères laïcs y vivent, et un chapitre intérimaire (jamais un véritable chapitre provincial) s'y tient à plusieurs reprises : en 1718, 1739, 1751, 1754 et 1757. Dans la première moitié du 18e siècle, un récollet est professeur de théologie morale à l'abbaye de Flône ; le confesseur ou père spirituel des pénitents de Huy est aussi un récollet (33). Avec les capucins, ils sont régulièrement mentionnés pour les services rendus aux pauvres malades de la ville (34). Dans la droite ligne des activités des récollets, ils tentent également de créer une école de latin en 1731, mais ce projet fut contrecarré par les Augustins (35).
La Révolution française met fin aux activités des récollets et le 12 novembre 1797, le couvent est vendu pour 50000 livres à Pommier qui en fait don à un certain Père Jérôme. Plus tard, la famille Donckier s'en empare (36) et en 1910, il appartient à la veuve de Charles Preud'homme (37).
Aucun article n'a été éliminé.
Un registre aux cens et rentes réalisé au début de la 2e moitié du XVe siècle est perdu. Il a été copié au XVIIIe siècle par un notaire à la demande des frères mineurs. Il s'agit du n° 7 du présent inventaire. La collation rédigée par ce notaire permet de savoir que, à son époque, ce manuscrit était couvert de parchemin blanc (38).
Tous les documents sont communicables, s'ils sont en bon état.
Les documents peuvent être reproduits selon les tarifs (39) et règlements appliqués par les Archives générales du Royaume et Archives de l'État dans les Provinces.
(41)J. L. ANTOINE, " L'église des Frères-Mineurs de Huy ", dans Annales du Cercle hutois des sciences et des beaux-arts, t. 30 (1976), p. 11-46.
J. BAETENS, " 34. Hoei", dans Minderbroederskloosters in de zuidelijke Nederlanden. Klooster lexicon, Bruxelles, 2002 (Archives générales du Royaume et Archives de l'État dans les provinces. Introduction bibliographique à l'histoire des couvents belges antérieurs à 1796, 79), p. 355-369.
R. BRAGARD, " Les provinces religieuses des ordres mendiants dans la principauté de Liège ", dans Bulletin de la commission royale d'histoire, t. 117, 1952, p. 231-397.
R. BRAGARD, " Les couvents et les enceintes urbaines à Liège, Huy et Dinant ", dans Bulletin Vieux-Liège, 1954, p. 271-279.
N. J. CORNET, " Notes historiques sur les anciens couvents des Récollets... partie wallonne ", dans Analectes pour servir à l'histoire ecclésiastique de la Belgique, t. 8, 1871, p. 271-272.
J. DARIS, " Note historique sur Huy ", dans Analectes pour servir à l'histoire ecclésiastique de la Belgique, t. 14, 1877, p.70.
A. DESMOULINS et J. FRESON, Histoire du couvent des Frères-Mineurs-Récollets de Huy depuis l'année 1632 jusqu'en 1678 : par le père Augustin Desmoulins, gardien du Couvent et à partir de 1678, Huy : L. Degrace, 1885.
A. DESSART, " L'ancien couvent des Frères-Mineurs à Huy ", dans Messager de St. Franc. Ass., t. 47, 1925-1926, p. 195-196.
R. DUBOIS, Les rues de Huy. Contribution à leur histoire, Huy, Mignolet, 1910.
F. DISCRY, Archives et institutions hutoises de l'Ancien Régime, Heule, 1965.
J. FRESON, " Histoire du couvent des Frères mineurs récollets de Huy... ", dans Annales cercle hutois des sciences et des beaux-arts, t. 6, 1884-1885, p. 55-100, p. 144-210 et p. 219-280.
J. FRESON, " Notice historique sur l'ancien monastère des Frères Mineurs Franciscains de Huy ", dans Annales du Cercle hutois des sciences et des beaux-arts, t. 7, 1886, p. 200-263.
R. FURNEMONT, Huy, fille de Meuse, Huy, 1971.
J. GASPARD, " Notice sur le couvent des Frères Mineurs de Huy ", dans Annales du Cercle hutois des sciences et des beaux-arts, t. 16, 1909, p. 107-115.
A. JORIS, La ville de Huy au Moyen Age. Des origines à la fin du XIVe siècle, Paris, Belles Lettres, 1959 (Bibliothèque de la Faculté de Philosophie et Lettres de l'Université de Liège, fasc. CLII).
M. LUPPES, ofm. conv., Schets van de geschiedenis der Minderbroeders-Conventuelen in de beide Nederlanden, Hoensbroek, 1954.
L. MELART, Histoire de la ville et chasteau de Huy, Liège, 1641.
F. THYRION, " Promenades dans le jardin séraphique en Wallonie ", dans Messager de St. Franc. Ass., 32, 1906-1907, p. 141-142.
S. VAN RUYSEVELT, De Franciscaanse kerken in België ... dertiende eeuw, mémoire de licence inédit KUL, 1946. Huy, p. 155-170.
R. VAN DER MADE, " Les chartes des cours de tenants hutoises conservées aux Archives de l'Etat à Liège ", dans Annuaire d'histoire liégeoise, t. 6, 1958, p. 239-353.
N. VERPEAUX, Répertoire des cartulaires d'institutions religieuses médiévales sises dans l'espace wallon (Belgique), disponible sur : https://paths.unamur.be/prame/cartulaires-de-wallonie/repertoire-cartulaires.
Le présent inventaire a été réalisé par un archiviste des Archives de l'État et publié en 1989 (42). En 2022, Franck Malherbe, assistant en archivistique aux Archives de l'État à Liège l'a mis en conformité avec les directives suivantes : H. COPPENS, (revues et complétées par) L. HONNORÉ et E. PUT, Directives relatives au contenu et à la forme d'un inventaire d'archives, Bruxelles, 2014 (Archives générales du Royaume. Miscellanea Archivistica. Manuale 67). En 2023, Anne Jacquemin, chef de travaux aux Archives de l'État à Liège a complété l'inventaire avec les informations contenues dans l'article de Jozef Baetens, le guide de Bruno Dumont et la base de données de Nathalie Verpeaux (43) .
Sur parchemin. Sceaux manquants. | 1 | 27 novembre 1434. | |||||||
Sur parchemin. Sceaux manquants. | 2 | 10 avril 1436. | |||||||
Sur parchemin. Sceaux manquants. | 2 /bis | 29 juillet 1439. | |||||||
Sur parchemin. Sceaux manquants. | 3 | 1449. | |||||||
Sur parchemin. Sceau manquant. | 3 /bis | 1487. | |||||||
Sur parchemin. Sceaux manquants. | 4 | 1491. | |||||||
Sur parchemin. Sceaux manquants. | 4 /bis | Acte par lequel le couvent transporte devant la cour féodale de Durbuy, un cherwage au profit de Jean de Berlaimont, dit de Floyon, seigneur de Bomal, ancien bourgmestre de Liège, celui-ci acceptant au nom de Juliane de Guckoven, veuve de Jacques de Glimes. 18 février 1527. | |||||||
Sur parchemin. Sceaux manquants. | 5 | Rendage fait par Pirlot. 1567. |