Name: Famille Mazuir
Period: 1690 - 1926
Inventoried scope: 0,58 linear meters
Archive repository: State archives in Arlon
Heading : Families and Persons
Authors: Weber, Jean-Pol
Year of publication: 2019
Code of the inventory: AEA 422
Famille Mazuir de Saint-Hubert
Les gens simples n'auraient pas d'histoire...
Ceux-ci nous ont laissé des écrits qui les révèlent, les trahissent parfois. Ils appartiennent à une dizaine de familles de Saint-Hubert (province de Luxembourg, arrondissement de Neufchâteau) qui n'y sont plus du tout représentées aujourd'hui.
La famille Mazuir se trouve au cœur de ce fonds d'archives. En cinq générations, ses membres ont traversé une période charnière de notre histoire européenne. Ils ont quitté l'Ancien Régime et ont traversé le XIXe siècle si fécond en bouleversements. Nous les perdons de vue à l'aube du XXe siècle.
Simples manouvriers puis petits bourgeois, les Mazuir ont permis à leurs enfants de fréquenter l'école primaire et secondaire, pour qu'ils y conquièrent les rudiments nécessaires à la réussite de concours et deviennent fonctionnaires. L'émancipation sociale par le savoir ! Témoins privilégiés des révolutions qui ont ouvert les portes du monde contemporain, ils ont aussi côtoyé des personnages décrits dans nos livres d'histoire. La saga des Mazuir est tout sauf banale.
Le premier Mazuir connu, Gérard, est charretier. Un de ses fils nous est plus particulièrement connu : Charles Joseph (Saint-Hubert, 1765-1840). Il est dans sa jeunesse orfèvre, fabricant " de béatiles " - c'est-à-dire de ces médailles saintes destinées aux nombreux pèlerins qui rejoignent la ville. Au collège local, il suit les cours de syntaxe en 1778-1779 (UYTTEBROECK (1991), p. 383). Charles Mazuir a trente ans lorsque la nouvelle administration française s'installe à Saint-Hubert ; de chef-lieu de canton en 1795, la ville est élevée au rang de sous-préfecture en 1800, la quatrième du département de Sambre-et-Meuse. La cité ardennaise ne doit son nouveau statut qu'aux vastes locaux de l'ancienne abbaye nationalisée qui vont désormais abriter une kyrielle de fonctionnaires. L'abbaye bénédictine devient maison commune et temple de la Raison. Charles Joseph va connaître là une opportunité de reconversion : sans doute ne sont-ils pas nombreux dans la région à maîtriser la langue française et l'arithmétique. A-t-il fait offre de services ou est-on venu le tirer de son atelier ? Toujours est-il qu'on le voit adhérer, par conviction ou par opportunisme, à la Révolution.
Nous le retrouvons donc secrétaire du canton de Saint-Hubert de 1796 à 1799, puis secrétaire en chef de la sous-préfecture de Saint-Hubert durant quinze années. La chute du Premier empire lui est fatale. En 1814, au départ précipité du sous-préfet Louis Dieudonné Dewez (1760-1834), il demeure certes quelques mois secrétaire en chef et archiviste de la sous-intendance de Saint-Hubert (gouvernorat général du Bas-Rhin et du Moyen-Rhin). Cependant, les centres de gravité se déplacent parfois d'un trait de plume : Marche-en-Famenne détrône la capitale de l'Ardenne. Avec l'appui de l'influent industriel Léopold Zoude (1771-1853) qui se porte caution pour lui, il peut prétendre à une nomination comme receveur particulier des impositions indirectes. Pour avoir fréquenté d'aussi près Dewez et Zoude, Mazuir ne peut ignorer l'existence de la franc-maçonnerie. Mais a-t-il adhéré à la confrérie ?
Les Prussiens sont écartés de notre sol par le congrès de Vienne (1er novembre 1814 - 9 juin 1815). Guillaume Ier est fait roi des Pays-Bas (élargis à nos provinces) et grand-duc de Luxembourg. La ville de Saint-Hubert devient grand-ducale en 1818 et le demeure jusqu'en 1839. Charles Joseph Mazuir vit alors des heures moins glorieuses : entre le 20 novembre 1816 et le 31 décembre 1822, il est receveur à cheval des accises au bureau de Saint-Hubert. Début 1823, il est promu receveur des bureaux de douanes de Junglinster et de Niederauven (Luxembourg). Que fait-il donc là-bas, loin des siens, dans un pays dont il ne domine nullement l'idiome ? Il démissionne mais retrouve un poste de commis de 1re classe de l'administration des droits d'entrée, de sortie et des accises, puis de contrôleur des contributions directes à Saint-Hubert. En 1831, il met fin à sa carrière par une ultime démission qui permet à son fils Clément Joseph de postuler à son emploi. Marie Marguerite Chardome, son épouse sombre petit à petit dans la démence. Il ne se voit octroyer qu'une faible pension, car ses dix-huit années au service de la France ne peuvent être prises en compte. Il décède le 23 janvier 1840. Sa femme meurt un peu plus tard dans la même journée. Une intoxication au monoxyde de carbone ? Deux suicides ? L'Église catholique leur refuse l'ultime bénédiction.
Le fils aîné de Charles Mazuir, Jacques Mazuir (Saint-Hubert, 1799 - Luxembourg, 1872) débute sa carrière au ministère des Finances en 1822. Son attache administrative est la ville de Luxembourg. Il s'y marie avec Jeannette Röhr et ouvre un commerce. Le décès prématuré de son épouse le marque profondément et définitivement.
Son frère, Clément Joseph Mazuir (Saint-Hubert, 1804 -) suit les pas de son père et de son frère aîné. Il fait toute sa carrière dans l'administration des contributions directes, des droits d'entrée, de sortie et des accises. Il compte et recompte, contrôle et contrôle encore. Sa vie durant, l'argent le préoccupe, l'obnubile. Il sollicite toujours des adaptations barémiques, des coups de pouce pour une mutation plus avantageuse. Entre 1826 et 1831, on le rencontre à Gérouville, à Bastogne et à Marche-en-Famenne. À la démission de son père, il peut revenir s'établir dans sa ville natale qu'il compte bien ne plus quitter.
Mais en 1839 (peu de temps avant le rattachement de la part occidentale du grand-duché de Luxembourg à la toute jeune Belgique), une (malencontreuse) prise de position dans une enquête de commodo incommodo préalable à la construction d'une nouvelle école communale à Saint-Hubert, lui vaut une mesure d'éloignement à Marche-en-Famenne. Le coup vient d'un gouvernement libéral, bien que son propre camp soit résolument libéral et maçonnique. Il n'est pas étonnant de voir quelques " cousins " se préoccuper de son sort. La vexation l'amène à accepter l'année suivante une mutation à Soignies avec mille promesses, jamais tenues. Son épouse, Marie Célestine Joseph Dufour, en appelle même à la reine des Belges Louise-Marie, en " sa qualité de parente de M. P[ierre] J[oseph] Redouté " qui a enseigné le dessin et la peinture à la souveraine... Clément Joseph termine sa carrière à Charleroi. Le couple laisse deux fils et deux filles : Charles et Jules, Aurélie et Léontine.
Charles Mazuir (Saint-Hubert, 1831 -) passe laborieusement ses premiers examens de recrutement qu'il imaginait de pure forme... Il lui faut donc mieux faire. À force de persévérance, il y obtient quelques emplois de surnuméraire puis, le 15 février 1868, une nomination comme receveur des douanes de 7e classe au bureau de Beaubru, entre Bouillon et La Chapelle (France, Ardennes). La forêt ardennaise à perte de vue ! Un contrebandier derrière chaque fourré ! Pour qui aime le calme et la nature... C'était sans compter sur les pieds-de-nez de l'Histoire.
" Le trois septembre 1870, étant comme d'habitude en reconnaissance de ce qui se passait à proximité de mon bureau, j'étais arrivé à trois kilomètres de chez moi quand je vis sur la route de La Chapelle (France, Ardennes) se dirigeant vers la Belgique un régiment de cavalerie prussienne. Je m'approchai d'un officier et lui demandai s'ils allaient en Belgique. Sur sa réponse affirmative qu'ils allaient conduire l'empereur, qui était prisonnier, à Cassel en passant par la Belgique, je m'empressai de retourner à mon poste de peur qu'il n'y arrive quelque chose en mon absence.
De retour à la frontière, près du poteau, à trois cents mètres de chez moi, où les hommes de service à mon bureau étaient venus me retrouver, je les informai de ce qui se passait et je leur donnai l'ordre (malgré la loi) de ne pas visiter les voitures qui feraient partie de la suite de l'empereur.
Un instant après vient le piquet de hus[s]ards de la mort que j'avais devancé et auquel je dis : Halte, Belgique ! en leur montrant le poteau où était écrit le mot Belgique en allemand. Le commandant fit faire la haie à ses hommes. Alors j'ap(p)erçus un convoi de voitures à perdre [perte] de vue. M'étant présenté à la 1[r]e voiture dans laquelle se trouvait l'empereur et un général français en uniforme, on baissa la glace et je leur dis : - Je prends la liberté de venir vous prévenir que vous êtes sur le territoire belge. Si vous avez besoin de mes services, je suis à votre disposition. Le général me demanda à quelle distance ils étaient de Bouillon et s'il y aurait moyen d'y loger ? [avec un point d'interrogation malgré le discours indirect] Je répondis qu'ils étaient à 5 kilomètres de Bouillon mais qu'il serait très difficile d'y loger, huit mille Français des environs s'y étant réfugiés ; s'ils le désiraient, j'irais chez le maire et qu'il était probable qu'il mettrait sa maison à leur disposition ; après s'être // consulté des yeux, le général me dit : qu'ils préfèreraient être à l'hôtel. - Dans ce cas, [leur dis-je,] si j'avais un cheval, je pourrais vous conduire à l'hôtel de la Poste. L'officier, aide de camp prussien qui se trouvait derrière moi, donna l'ordre de m'amener un cheval. Je m'empressai de mettre le pied à l'étrier et de partir quand l'officier prussien me dit d'aller au trot, que nous irions ensemble. Le capitaine de la Maison de l'empereur se plaça au milieu, l'officier prussien à gauche et moi à droite. Nous cheminions depuis dix minutes quand M. le colonel Charmez (1), accompagné d'un de ses officiers, nous rattrapa rejoignit et nous dit en passant : - Je vais faire préparer les logements. À notre arrivée à Bouillon, nous mîmes pied à terre et voyant qu'on [n'] était pas trop disposé à faire sortir les voyageurs pour faire place à l'empereur, je pris l'initiative et, me faisant aider des domestiques de l'hôtel, je pris tous les bagages des voyageurs qui se trouvaient dans la plus belle chambre et je les mis sur l'escalier. (...) ".
Le simple douanier Charles Mazuir est le témoin direct d'un épisode qui suivit immédiatement la capitulation de Sedan et la chute du Second empire français ! Louis Napoléon Bonaparte (l'ex-Napoléon III) conduit par ses soins à l'hôtel des Postes à Bouillon, et qui se rendra dès le lendemain, après s'être restauré à l'auberge Olivier à Recogne, à la gare de Libramont où il prendra le train qui devait le conduire en Prusse.
L'épisode de 1870 lui valut encore quelques menus faits d'armes pour lesquels il réclama une médaille honorifique au tout frais roi de Prusse !
L'essentiel était écrit. Les bureaux d'Athus, de Sterpenich, d'Espain, de Bléharies, de Pâturages résonnent encore de ses exploits.
Peu de choses sont connues de ses frère et sœurs. Jules Mazuir a été comptable à la prison de Namur puis à celle de Gand. Aurélie Mazuir a tenu un commerce à Schaerbeek. Léontine a franchi, comme beaucoup d'autres, l'Océan atlantique. On la retrouve établie à New York (USA) puis à Jersey City (USA).
La cinquième génération est représentée par Georges Jules Clément Mazuir (Grandéglise, 27 mai 1883 -), le fils de Charles, qui a été officier de l'Armée belge.
Le fonds d'archives s'est constitué comme suit : les archives les plus anciennes (XVIIe-XVIIIe siècles) sont principalement des titres de propriété recueillis par Charles Joseph Mazuir. À la chute du Premier empire français, alors qu'il est secrétaire principal de la sous-préfecture de Saint-Hubert (1800-1814), il emporte plusieurs dossiers des archives de son administration, agit de même pour quelques pièces du gouvernorat général du Bas-Rhin et du Moyen-Rhin (1814-1815) et encore pour celles de la commune de Saint-Hubert à l'époque où elle dépendait du grand-duché de Luxembourg (1818-1839).
Le fonds a ensuite été nourri d'archives privées et professionnelles par Clément Joseph Mazuir.
Charles Mazuir a également conservé cet ensemble et y a joint ses propres papiers. Son fils Georges est le dernier détenteur connu ; il a identifié et commenté à la mine de plomb plusieurs pièces. Le plus ancien document date de 1690, le plus récent de 1926.
Les archives sont confiées en 1973 à l'archiviste général Carlos Wyffels (1922-2003) par Victor-Gaston Martiny (1916-1996) qui les a trouvées " dans une mortuaire " (lettre du 16 juillet). Elles sont aussitôt envoyées aux Archives de l'État à Saint-Hubert. Un accroissement (composé uniquement de photocopies) leur parvient le 30 octobre 1973.
Le fonds se compose de papiers privés, de papiers professionnels et de papiers publics.
Le fonds pourrait encore bénéficier de plusieurs accroissements, comme les originaux des photocopies versées en 1973 et les éventuelles archives de Georges Mazuir.
Il serait également heureux de retrouver la matrice du sceau de la " SOUS-PREFECTURE DE SAMBRE ET MEUSE. ARRONDISSEMENT DE ST HUBERT " employé au verso d'un document daté de 1872 (n° 105). Charles Mazuir - le document le désigne sans toutefois le nommer - conservait alors vraisemblablement l'objet.
Les pièces du fonds d'archives se trouvaient en vrac. Elles avaient à peine été classées. L'état de certaines pièces a obligatoirement conduit à leur numérisation.
Le classement a été effectué selon six catégories principales : les papiers privés, les papiers professionnels et les papiers publics, des curiosa, des documents difficilement classables et quelques pièces sans rapport apparent avec le fonds.
Les papiers des trois premières catégories ont été classés en fonction des producteurs d'archives et apparaissent globalement dans l'ordre chronologique.
Suivant la loi sur les archives du 24 juin 1955, modifiée par la loi du 6 mai 2009, et sauf règlementation particulière (lois sur la protection de la vie privée par exemple) qui serait d'application, tous les documents de plus de trente ans conservés aux Archives de l'État sont librement consultables en salle de lecture, sans autorisation préalable, aux conditions fixées par le règlement en vigueur dans les salles de lectures des Archives générales du Royaume et des Archives de l'État dans les provinces.
Pour la reproduction des documents d'archives, les règles et les tarifs en vigueur aux Archives de l'État sont d'application. Seuls les documents en bon état peuvent être reproduits.
En raison de leur état de conservation, certaines pièces précieuses (nos 212 à 269) ne peuvent être données en consultation directe en salle de lecture (sauf dérogation spéciale du responsable du dépôt). Cette documentation est toutefois accessible sous forme de copies numériques.
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La rédaction de cet inventaire a été réalisée par Jean-Pol Weber, dans le cadre de son bénévolat aux Archives de l'État à Saint-Hubert. Le tri, l'encodage, le conditionnement et la description générale du fonds se sont globalement déroulés d'octobre à décembre 2010. Télécharger l'inventaire publié- Download de gepubliceerde inventaris
arr. arrondissement
cap. capitale
ch.-l. chef-lieu
dpt département
EC-SH État civil de la Ville de Saint-Hubert
hydr. hydronyme
RP-SH Registres paroissiaux de Saint-Hubert
RPop-SH Registres de population de la Ville de Saint-Hubert
SH Saint-Hubert
top. Toponyme
Nous avons intégré dans nos tableaux de nombreux compléments fournis par Jean-Marie Duvosquel.
1. RENARDY (Jean-) François († SH, 14.02.1758, " enterré in l'église "), orfèvre
× SH, 24.01.1714
BALNAY / BAY(E)NAY Marie Thérèse (b. SH, 31.07.1695- † SH, 10.12.1777)
1.1. RENARDY François (b. SH, 05.04.1718 - † SH, 26.09.1801), orfèvre
× SH, 18.10.1780
CHARDOME Élisabeth (b. SH, 02.10.1732 - † SH, 16.10.1808) > crayon n° 3
1.2. RENARDY Gaspard (b. SH, 16.06.1720 - † 17.05.1782),
notaire à Neufchâteau et échevin de la Haute cour de justice de Saint-Hubert
1.3. RENARDI Jacques (b. SH, 26.11.1722 - † SH, 07.11.1750 ?)
1.4. RENARDI Louis (b. SH, 23.01.1725)
1.5. RENARDY Jeanne Thérèse (b. SH, 08.08.1727)
1.6. RENARDY Anne Marguerite (b. SH, 03.01.1731 - † Sedan, 27.10.1784),
" pensionnaire au couvent des Filles de la Charité de Sedan "
1.7. RENARDY Hubert Joseph (b. SH, 17.01.1733), orfèvre
1.8. RENARDY Hubert Joseph (b. SH, 20.05.1736 - † Awenne, 1790), études de théologie
1.9. RENARDY Marie Gertrude (b. SH, 06.05.1740)
Sources : RP-SH.
Bibliographie : HECTOR (1956).
SION Hubert († SH, 03.11.1704 ?)
×
POLET Marie
Dix enfants dont :
1. SION Hubert (b. SH, 28.10.1670)
×
N.
1.1. SION Marie (° SH, 06.12.1665 - † SH, 22.04.1700)
×1
HEN(N)IN Quentin alias QUET(T)IN (b. SH, 14.06.1719 ou 1720)
1.1.1. HENIN Hubert (b. SH, 01.07.1690)
1.1.2. HENIN Jean (b. SH, 14.02.1692)
1.1.3. HENIN Anne Catherine (b. SH, 26.12.1696)
1.1.4. HENIN Élisabeth (b. SH, 01.02.1698)
ײ SH, 12.06.1700
JANDIN (JADIN ?) Catherine
1.1.5. HENIN Jeanne (b. SH, 07.04.1702)
1.1.6. HENIN Anne (b. SH, 06.06.1705)
׳
SCOTTE Catherine
1.1.7. HENIN Marie Jeanne (b. SH, 23.11.1706)
1.1.8. HENIN Marie Anne (b. SH, 15.09.1709)
1.1.9. HENIN Jeanne (b. SH, 21.03.1712)
1.1.10. HENIN Marie Thérèse (b. 21.02.1717 - inh. SH, 10.10.1786 sous le nom de QUETTIN Thérèse ?)
2. SION Élisabeth (° SH, 25.01. 1674 - † SH, 18.11.1737)
× SH, 09.02.1698
CHARDOME Jean Henri († SH, 07.02.1753) > crayon n° 3
1. CHARDOME Jean Henri († SH, 07.02.1753)
× ?, 1698
SION Élisabeth (° SH, 25.01. 1674 - † SH, 18.11.1737) > crayon n° 1
2. CHARDOME Jean Pierre (° SH, 02.04.1699 - † SH, 11.09.1756), orfèvre
× SH, 17.02.1727
PIETTE Marguerite (° SH, 10.06.1701 - † SH, 31.07.1773)
2.1. CHARDOME Jeanne Françoise Catherine (° SH, 29.11.1727 - † SH, 01.05.1754)
2.2. CHARDOME François Joseph (° SH 02.11.1729 - † SH, 07.11.1797)
2.3. CHARDOME Élisabeth (b. SH, 02.10.1732 - † SH, 16.10.1808)
× SH, 18.10.1780
RENARDY François (b. SH, 05.04.1718 - † SH, 26.09.1801) > crayon n° 1
2.4. CHARDOME Nicolas Joseph (° SH, 02.12.1734 - † SH, 12.12.1734)
2.5. CHARDOME Jean Jacques (° SH, 15.03.1737 - † SH, 02.01.1799), orfèvre
×
SCHORTGEN Françoise (° Arlon, 15.03.1741 - † SH, 28.12.1799)
2.5.1. CHARDOME François Joseph (° SH, 09.04.1767 - † SH, 25.06.1813)
2.5.2. CHARDOME Marie Élisabeth (° SH, 26.06.1768 - † SH, 14.07.1778)
2.5.3. CHARDOME Nicolas Joseph (° SH, 04.07.1769 - † SH, 21.06.1836), orfèvre
2.5.4. CHARDOME Marie Marguerite (° SH, 04.04.1771 - † SH, 23.01.1840)
× SH, 01.08.1791
MAZUIR Charles Joseph (b. SH, 22.03.1765 - † SH, 23.01.1840), orfèvre, fonctionnaire > crayon n° 6
2.6. CHARDOME Anne Marie Ursule (° SH, 21.10.1739 - † SH, 08.07.1772)
Sources : CHARDOME : http ://gw5.geneanet.org / ; MAZUIR : EC-SH, RPop-SH.
1. DUFOUR Jacques, cultivateur à Rondu
×
MACHUREIT Anne Marie
1.1. DUFOUR Jean Louis (° Rondu, ca. 1774 - † SH, 22.07.1843), receveur des contributions puis rentier
× SH, 19 germinal VI (03.04.1798)
CHALON Jeanne Marie (° SH, 21.04.1768 - † SH, 23.06.1833)
1.1.1. DUFOUR Louis Joseph (° SH, 23.03.1799), d. Cherain, receveur communal
× SH, 06.10.1829
LAMBIN Marie Thérèse Françoise (° SH, 08.09.1802)
1.1.1.1. DUFOUR Émile (° SH, 24.04.1833)
1.1.2. DUFOUR Jacques Joseph Narcisse (° SH, 23.07.1801 - † SH, 15.07.1870), receveur des contributions
× SH, 30.09.1833
SULEAU Marie Joseph Sophie (° SH, 22.09.1812 - † SH, 19.06.1897)
1.1.2.1. DUFOUR Eulalie (° SH, 14.01.1836 - † SH, 14.07.1915)
1.1.2.2. DUFOUR Euphrasie (° SH, 19.02.1838 - † SH, 28.10.1917)
1.1.2.3. DUFOUR Marie Thérèse Émilie (° SH, 14.09.1839 - † SH, 02.05.1881)
1.1.2.4. DUFOUR Alexandrine Eugénie (° Houffalize, 22.05.1841 - † SH, 11.02.1902)
1.1.2.5. DUFOUR Léopold Narcisse Jean Louis Joseph (° Houffalize, 25.02.1843), directeur d'école
1.1.2.6. DUFOUR Narcisse Antoine François (° La Roche, 21.02.1847 - † SH, 16.03.1928),
percepteur des postes
1.1.2.7. DUFOUR Léonie (° SH, 30.01.1849 - † SH, 10.08.1856)
1.1.2.8. DUFOUR Jean Eugène Narcisse (° SH, 13.04.1851 - † SH, 14.03.1928), commis aux accises
1.1.3. DUFOUR Marie Célestine Joseph (° SH, 03.06.1803 - † avant 1880)
× SH, 05.10.1831
MAZUIR Clément Joseph (° SH, 29.01.1804), contrôleur des
contributions > crayon n° 6
1.1.4. DUFOUR Henri Joseph (° SH, 12.08.1805)
1.1.5. DUFOUR François Xavier Eugène (° SH, 02.12.1807 - † SH, 16.05.1877), percepteur des postes puis commissaire de police
× SH, 06.12.1843
CHALON Marie Henriette (° SH, 14.01.1823 - † Wasmes, 06.02.1877)
1.1.5.1. DUFOUR Louis Antoine (° SH, 06.02.1844), commissaire de police
1.1.5.2. DUFOUR Constant Félix (° SH, 31.03.1850 - † SH, 19.05.1850)
1.1.5.3. DUFOUR Évariste (° Gaichel-Guirch, 25.10.1855), percepteur des postes, d. Wasmes
× SH, 25.09.1888
GEOFFROY Marie Laure (° SH, 23.03.1855) > crayon n° 7
1.1.5.3.1. DUFOUR Robert Fernand (° SH, 25.07.1889), photographe à Jette
1.1.5.3.2. DUFOUR Alice (° SH, 18.02.1891 - † Bruxelles ?, 02.12.1939)
×
CROSS Stanley (° 13.08.1884 - † 01.01.1950)
1.1.6. DUFOUR Marie Thérèse (° SH, 12.03.1810 - † Bouillon, 12.11.1869)
× SH, 24.11.1835
D'ORJO DE MARCHOVELETTE Antoine Henri Eugène Louis (° Namur, 22.12.1806 - † ?, 09.04.1865), rentier > crayon n° 5
Sources : EC-SH, RPop-SH.
1. D'ORJO DE MARCHOVELETTE Antoine Henri Eugène Louis
(° Namur, 22.12.1806 - † ?, 09.04.1865), rentier, " un enragé catholique " (L. 13.04.1862)
× SH, 24.11.1835
DUFOUR Marie Thérèse (° SH, 12.03.1810 - † Bouillon, 12.11.1869) > crayon n° 4
1.1. D'ORJO Évariste Louis (° SH, 24.08.1836), surnuméraire forestier
1.2. D'ORJO Eugène Charles (° SH, 09.01.1838)
1.3. D'ORJO Constant Alphonse (° SH, 14.12.1839)
1.4. D'ORJO Louis Ferdinand (° SH, 14.06.1841 - † SH, 04.09.1841)
1.5. D'ORJO Marie Élisa (° SH, 14.07.1842 - † SH, 26.09.1842)
1.6. D'ORJO Émile Adrien (° SH, 18.09.1844)
1.7. D'ORJO Marie Henriette Louise Charlotte (° SH, 04.02.1846)
× SH, 08.07.1862
DE MEREN Regnier (° Marche-en-Famenne, 06.07.1830), percepteur des postes,
" un enragé libéral " (L. 13.04.1862)
1.8. D'ORJO Thérèse Delphine (° SH, 22.09.1847)
1.9. D'ORJO Alexandre Charles (° SH, 09.01.1850)
1.10. D'ORJO Valérie Marie Constance (° SH, 11.09.1852 - † ?, 01.05.1857)
Sources : EC-SH, RPop-SH.
1. MAZUIR / MAZURE Gérard (° Auffe), charretier et cocher de l'abbaye
×
FRÉMOLLE Nicole († SH, 08.10.1781)
1.1. MAZUIR Jacques Gérard Joseph (b. SH, 09.11.1760), prêtre
1.2. MAZUIR Marie Louise (b. SH, 16.01.1763)
1.3. MAZUIR Charles Joseph (b. SH, 22.03.1765 - † SH, 23.01.1840)
× SH, 01.08.1791
CHARDOME Marie Marguerite
(° SH, 04.04.1771 - † SH, 23.01.1840) > crayon n° 3
1.3.1. MAZUIR François Joseph (° SH, 16.03.1792 - † SH, 16.03.1793)
1.3.2. MAZUIR Anne Joseph (° SH, 11.02.1794)
× SH, 16.02.1816
GRAM Henri Jean (° Rotterdam, 09.11.1778), veuf d'Adrienne Kerstens
1.3.2.1. GRAM Charles (° Herenthals, ca. 1817)
1.3.3. MAZUIR Marie Louise (° SH, 13.10.1795)
1.3.4. MAZUIR Clémence Joseph (° SH, 14.05.1799 - † SH, 06.07.1806)
1.3.5. MAZUIR Jacques (° SH, 19.05.1799 - † Luxembourg, 15.03.1872)
× Luxembourg ?, avant 3.12.1837
RÖHR Jeannette Ch. († Luxembourg ?, 11.11.1850)
1.3.6. MAZUIR Clément Joseph (° SH, 29.01.1804 - † SH, 22.02.1878),
contrôleur des contributions > Soignies (1840)
× SH, 05.10.1831
DUFOUR Marie Célestine Joseph
(° SH, 03.06.1804 - † SH, 24.09.1878) > crayon n° 4
1.3.6.1. MAZUIR Aurélie (° SH, 06.05.1832)
1.3.6.2. MAZUIR Charles (° SH, 02.07.1835 - † SH, 10.09.1835)
1.3.6.3. MAZUIR Charles (° SH, 06.01.1839 -), contrôleur des contributions, douanes et accises
× public. Anderlecht, 25.02.1880
BONNARDEAUX / BONARDO Léocadie (° Signeulx-Bleid, 23.11.1848), divorcée de BERTRAND Alexis Paul Marie
1.3.6.3.1. MAZUIR Georges Jules Clément (° Grandéglise, 27.05.1883)
×
MIROIR Denise
1.3.6.3.2. MAZUIR Robert
1.3.6.4. MAZUIR Léontine
×
NESS G.
1.3.6.5. MAZUIR Jules, comptable à la prison de Namur puis à celle de Gand
1.3.7. MAZUIR Charles François Joseph (° SH, 24.07.1807 - † SH, 17.01.1815)
1.3.8. MAZUIR François Joseph (° SH, 24.07.1809)
1.4. MAZUIR Marie Marguerite (b. SH, 24.04.1768)
Sources : EC-SH., RPop-SH.
1. GEOFFROY Henri (Étalle, 1753 - † Poix-Arville, 28.11.1829), maître de forges
× Charleville, 1789
MIGEON Madeleine (Saint-Laurent - Charleville, France, 1766 - † Poix-Arville, 21.02.1829)
1.1. GEOFFROY Louis Albert (° Poix-Arville, 31.03.1790 - † Liège, 31.12.1864)
× Liège, 1816
CLOSSET Henriette Françoise (° Liège, 1790 - † Liège, 1874)
1.2. GEOFFROY Victoire (° Poix-Arville, 12.04.1791)
× Arville, 10.10.1813
BERTRAND Pierre Joseph, maître de forges à Chatimont (Illy, France, Ardennes)
1.3. GEOFFROY Marie Françoise Henriette Mélanie (° Poix-Arville, 18.06.1792 - † 22.10.1875)
× Arville, 01.06.1836
DECHESNE Michel André Joseph (° SH, 23.07.1786 - † SH, 18.10.1855), inspecteur général des Forêts
1.4. GEOFFROY Anne Élisabeth Constance (° Poix-Arville, 07.1793 - † SH, 24.12.1859)
× Arville, 24.11.1819
MOTUS Louis Albert, régisseur des forges de Chauvency-Saint-Hubert (France, Meuse)
1.5. GEOFFROY Henri Théodore (° Poix-Arville, 04.07.1795 - † SH, 28.06.1876), officier de l'Armée
1.6. GEOFFROY Nicolas Édouard (° Poix-Arville, 25.04.1797), maître de forges
1.7. GEOFFROY Henri Léopold (° Poix-Arville, 04.02.1799 - † SH, 23.12.1857), maître de forges
× SH, 16.08.1841
WAUTHIER Marie Louise Isabelle Nathalie (° Wellin, 27.07.1813 - † SH, 18.12.1894), rentière
1.7.1. GEOFFROY Mathilde (° Poix-Arville, 24.12.1842 - † SH, 04.04.1873)
× SH, 16.01.1860
CASTILHON Félix Henri Arsène (° Paliseul, 17.01.1832 - † SH, 01.03.1884), notaire
1.7.2. GEOFFROY Nicolas Édouard (° Poix-Arville, 01.02.1844)
×
BERGH Marie, de Neufchâteau
1.7.3. GEOFFROY Marie Laure (° SH, 23.03.1855)
× SH, 25.09.1888
DUFOUR Évariste (Gaichel-Guirch, 25.10.1855), percepteur des postes,
d. Wasmes > crayon n° 4
1.7.3.1. DUFOUR Robert Fernand (° SH, 25.07.1889), photographe à Jette
1.7.3.2. DUFOUR Alice (° SH, 18.02.1891 - † Bruxelles ?, 02.12.1939)
×
CROSS Stanley (° 13.08.1884 - † 01.01.1950)
1.8. GEOFFROY Marie Élisabeth (° Poix-Arville, 10.12.1801 - † Arville ou SH, 25.08.1887)
× Arville, 24.12.1837
JULLIEN Nicolas Joseph (° Hamipré - † SH ?, 12.09.1846)
1.9. GEOFFROY Louise Joséphine Adèle (° Poix-Arville, 22.11.1804)
× Arville, 19.05.1824
LALLEMAND Pierre Julien, négociant à Stenay (France, Meuse)
Sources : EC-SH, RPop-SH.
Bibliographie : DUVOSQUEL (1994)
1. BOCHKOLTZ Louis Joseph († avt 1820), juge de Paix du canton de Wiltz
×
SERVAIS Suzanne, tanneur et propriétaire à Wiltz [sic]
1.1. BOCHKOLTZ Frédéric Damien (° Wilwerwiltz, ca. 1781 - † SH, 23.10.1864), maire et propriétaire à Wiltz, tanneur et scieur
× Saint-Hubert, 17.05.1820
PIROTTE Marie Agnès Joseph (° SH, 25.03.1789 - † SH, 02.11.1856),
négociante > crayon n° 9
1.1.1. BOCHKOLTZ monsieur (° & † SH, 06.07.1822)
1.1.2. BOCHKOLTZ Marie Suzanne Apolline (° SH, 03.09.1823 - † Gembloux, 31.12.1891), religieuse
1.1.3. BOCHKOLTZ Marie Françoise Cécile (° SH, 15.09.1825)
1.1.4. BOCHKOLTZ Louis Jacques Prosper Frédéric (° SH, 31.07.1827- † SH, 21.10.1896),
tanneur, meunier, bourgmestre de Saint-Hubert
× Neufchâteau
DEHANNE Zélie (° Neufchâteau, 12.02.1835 - † SH, 22.08.1919)
1.1.4.1. BOCHKOLTZ Paul Eugène Frédéric (° SH, 08.06.1856), tanneur > Namur, 22.06.1911
× Fleurus, 19.11.1884
STAQUET Maria Clémentine Ghislaine (° Fleurus, 10.07.1860 - † Namur, 15.08.1937)
1.1.4.1.1. BOCHKOLTZ Madeleine Charlotte Frédéric Émilie Pauline Marie Joseph Ghislaine
(° SH, 02.11.1885)
× SH, 07.07.1909
GODIN Jean (° Gembloux, 01.04.1883 - † ?, 17.04.1942), candidat notaire
1.1.4.1.2. BOCHKOLTZ Frédéric Alexandre Paul Émile Marie Joseph Ghislain (° SH, 17.01.1887 - † Ixelles, 13.07.1976)
× Liège, 19.01.1911
BRILLEMAN Éva Anna Sophie Louise Émilie
1.1.4.1.3. BOCHKOLTZ Jean Paul Charles Louis Marie Joseph Ghislain (° SH, 12.06.1893)
× Namur, 13.06.1921
THIRION Céline
1.1.4.2. BOCHKOLTZ Georges (° SH, 27.02.1859) > Charleroi, 07.12.1911
1.1.4.3. BOCHKOLTZ Victoire Appoline (° SH, 11.05.1861)
1.1.4.4. BOCHKOLTZ Maurice Gustave Frédéric (° SH, 22.12.1871 - † SH, 16.11.1908),
tanneur, marchand d'écorces à tan
1.1.5. BOCHKOLTZ Charles François Auguste (° SH, 22.05.1830 - † SH, 22.07.1903), négociant
× Arlon
DEHANNE Victoire (° Neufchâteau, 26.12.1837 - † SH, 08-12.1922)
1.1.5.1. BOCHKOLTZ Marie Agnès (° SH, 03.07.1860 - † SH, 26.10.1928)
1.1.5.2. BOCHKOLTZ Henri (° SH, 20.03.1862 - † SH, 07.03.1928), échevin de la ville de Saint-Hubert
1.1.5.3. BOCHKOLTZ Albert Louis (° SH, 25.01.1864 - † SH, 23.03.1881)
1.2. BOCHKOLTZ François Joseph (° Wilwerwiltz ?, Luxembourg, ca. 1786), tanneur à Wilwerwiltz
1.3. BOCHKOLTZ Thérèse Caroline (° Wilwerwiltz, Luxembourg, ca. 1796)
×
? PIROTTE Jacques François Auguste (° SH, ca. 1795), tanneur, marchand de
bois > crayon n° 9
Sources : EC-SH, RPop-SH.
1. PIROTTE Jacques (° Chanly, ca. 1758 - † Charleville, F, 01.12.1833), bourgmestre de Saint-Hubert
× SH, 31.03.1788
BIRON Marie Joseph (b. SH, 13.04.1767 - † Givonne, France, Ardennes), 17.09.1839)
1.1. PIROTTE Marie Agnès Joseph (° SH, 25.03.1789 - † SH, 02.11.1856), négociante
× SH, 17.05.1820
BOCHKOLTZ Frédéric Damien (° Wilwerwiltz, Luxembourg, ca. 1781 - † Saint-Hubert, 1866)
Descendance> crayon n° 8
1.2. PIROTTE Catherine Joseph (° SH, 05.05.1791)
×
LAMOTTE Pierre, maître de forges à Givonne (France, Ardennes)
1.3. PIROTTE Jacques François Auguste (° SH, 04.08.1795), tanneur, marchand de bois > Liège, 20.06.1849
×
BOCHKOLTZ Thérèse Caroline (° Wilwerwiltz, Luxembourg, ca. 1796) > crayon n° 8
1.3.1. PIROTTE Émilie Joséphine (° SH, 29.05.1820 - † SH, 01.03.1843)
1.3.2. PIROTTE Marie Suzanne Florentine (° SH, 09.04.1822 - † SH, 17.04.1824)
1.3.3. PIROTTE Damien François Félix (° SH, 27.12.1823 - † Mons, 01.06.1850), militaire
1.3.4. PIROTTE ♂ (° † SH, 20.03.1826)
1.3.5. PIROTTE Marie Françoise Caroline alias Fanie (° SH, 22.03.1828)
1.3.6. PIROTTE Louis Prosper (° SH, 19.12.1830)
Sources : EC-SH, RPop-SH.
Charles BERGH (1821-1905) est notaire à Neufchâteau. Il mène une carrière politique à l'échelon communal et provincial. Il représente l'arrondissement de Neufchâteau de 1867 à 1884. Il est élu sur la liste libérale.
Bibliographie : DE PAEPE & RAINDORF-GERARD (éds) (1996), p. 23-24. - LEJEUNE (1999). - LEJEUNE (2000), p. 93-126.
Frédéric Damien BOCKHOLTZ (Wilwerwiltz (Luxembourg), 1781 - Saint-Hubert, 1866) inaugure une lignée de tanneurs actifs sur la Lomme. Son épouse, Marie Agnès Pirotte, est la fille d'un autre tanneur local. Un de leurs fils deviendra bourgmestre de Saint-Hubert.
Bibliographie : EVRARD, HIERNAUX & WEBER (2000), p. 90-91.
Pierre Louis Clément CASAQUY est membre des États provinciaux de 1816 à 1822 et de 1825 à 1830. Il est aussi juge de paix du canton de Sibret.
Bibliographie : D'HOFFSCHMIDT (1889), p. 909. - DU BUS DE WARNAFFE (1943), p. 136-140.
Au décès d'Édouard de Moor (1821-1869), Camille CASTILHON (1836-1904) est notaire à Paliseul et représente l'arrondissement de Neufchâteau. Il est élu sur la liste libérale. - Félix Henri Arsène Castilhon est, quant à lui, notaire à Saint-Hubert.
Bibliographie : DE PAEPE & RAINDORF-GERARD (éds) (1996), p. 59. - LEJEUNE (2000), p. 93-126.
Louis Augustin FALLON (Namur, 28 août 1749 - 16 juillet 1829) est nommé membre de l'administration générale du département de Sambre-et-Meuse le 4 fructidor an II (21 août 1794) puis secrétaire général en application de la constitution de l'an VIII.
Bibliographie : DOUXCHAMPS-LEFEVRE (1995), p. 39-40. - DOUXCHAMPS-LEFEVRE (2003).
Walthère FRÈRE-ORBAN (1812-1896) est ministre des Finances de 1848 à 1852, puis de 1857 à 1870.
Bibliographie : DE PAEPE & RAINDORF-GERARD (éds) (1996), p. 312.
L'avoué GOOSSE est franc-maçon. Il pourrait être apparenté à Guillaume Goosse, nommé en 1814 procureur d'État près le Tribunal de première instance de Neufchâteau et qui en est le président à partir de 1821.
Bibliographie : [VERMER] (1972), p. 102. - PIRLOT (2008), p. 38.
Jules LE JEUNE (1828-1911) est ministre de la Justice sous le gouvernement catholique d'Auguste Beenaert (1887-1894). De tendance libérale, il est imposé par le roi Léopold II et le premier ministre qui le compte parmi ses amis.
Bibliographie : BOURGUIGNON (1970). - GHISLAIN (1999). - DUPONT-BOUCHAT (2003), p. 209.
François Joseph LAMBIN (1799-1869) est juge de Paix à Saint-Hubert et est le fils de de Jean Joseph (1763-1841) qui fut procureur sous l'Ancien Régime, juge de Paix à Saint-Hubert (à partir de l'an IV), greffier au Tribunal de Police correctionnelle, puis juge au Tribunal de première instance (à partir de 1810).
Bibliographie : VERMER (1964). - LOGIE (1998), p. 243. - EVRARD, HIERNAUX & WEBER (2000), p. 89. - SCHOLTES (2008).
Jérôme LEJEUNE est le père du ministre de la Justice Jules Le Jeune (1828-1911).
Bibliographie : DUPONT-BOUCHAT (2003), p. 209.
En 1853, Édouard DE MOOR (1821-1869) achète le domaine du Neupont à Halma ; il y fait construire une scierie. Il représente l'arrondissement de Neufchâteau de 1854 à 1869. Il est élu sur la liste libérale.
Bibliographie : DE PAEPE & RAINDORF-GERARD (éds) (1996), p. 190. - LEJEUNE (2000), p. 93-126.
Emmanuel PÉRÈS DE LA GESE (Boulogne-sur-Gesse, 22 mai 1752 - 11 juillet 1833) est nommé préfet du département de Sambre-et-Meuse le 11 ventôse an VIII (2 mars 1800).
Bibliographie : LEMPEREUR (2001).
François Auguste PIROTTE était bonapartiste. En 1818, il conduisit un début de rébellion contre les autorités orangistes.
Bibliographie : CHARNEUX (1992).
Victor TESCH (1812-1892) représente l'arrondissement d'Arlon de 1848 jusqu'à son décès. Il est élu sur la liste libérale. Il est ministre de la Justice de 1850 à 1852, puis, une seconde fois, de 1857 à 1865.
Bibliographie : DE PAEPE & RAINDORF-GERARD (éds) (1996), p. 531-532. - BOURGUIGNON (1967). - LEJEUNE (2000), p. 93-126.
Léopold Joseph ZOUDE (1771-1853) est nommé receveur des contributions directes à Saint-Hubert en 1796. Il achète divers biens nationalisés dont le Fourneau Saint-Michel qu'il exploite avec son frère Victor Xavier Joseph. Il mène une longue carrière politique : successivement membre des États provinciaux, du Congrès national, de la Chambre des représentants et du Sénat.
Bibliographie : DE PAEPE & RAINDORF-GERARD (éds) (1996), p. 631-632.
Le dossier contient également des copies. Familles apparentées : Sion, Henin, Séverin et Chardome. | 1 | Fragments d'un procès démené devant la Justice de Saint-Hubert puis, en appel, devant le Conseil provincial de Luxembourg par Hubert et Jean Henin au sujet de la propriété d'une " maison, place et dépendance [située] dessus la rue du Marché jusque à la muraille de l'abaÿ au Trefois ". 14 août 1690 - 2 octobre 1731. | 15 pièces | ||||||
Il s'agit d'une copie authentique par Joseph Peraux, échevin et greffier de Saint-Hubert. | 2 | Acte de vente à l'abbé de Saint-Hubert de " deux [morceaux de] terrain à prendre le long des masures (...) Sur le Marché de ce [bou]rg pour y (...) construire [une] muraille ", passé devant la cour scabinale de Saint- Hubert. 19 mai 1736 - [28 avril] 1775. | 1 pièce |