Inventaire des archives de la Famille Résibois, Arlon, 1445-1803

Archive

Name: Famille Résibois, Arlon

Period: 1445 - 1803

Inventoried scope: 0,18 linear meters

Archive repository: State archives in Arlon

Heading : Families and Persons

Inventory

Authors: Diderrich, Émile

Year of publication: 1912

Code of the inventory: AEA 116

...

Producteur d'archives

Nom

Famille Résibois

Archives

Historique

En 1912, les documents se trouvaient aux archives du château de Bettembourg (canton d'Esch, Grand-Duché de Luxembourg), quoiqu'ils ne s'attachent en rien à l'histoire de cette seigneurie, ni à celle de ses seigneurs.
Ils semblent y avoir été déposés dans le courant du XIXe siècle seulement et provenir, pour la plupart, de la famille Résibois d'Arlon.
La seigneurie-foncière de Bettembourg appartenait, à la chute de l'ancien régime, aux princes de Hohenzollern-Hechingen-Haigerloch.
Dépouillée des droits féodaux par la Révolution, cette illustre famille est restée néanmoins en possession du château et de ses importantes dépendances. Le 6 mai 1807, par devant le notaire Godfrin, de Luxembourg, Maximilien-Henri-Laurent, comte de Hoen et de Neufchâteau, époux de la comtesse Félicité-Thérèse de Hohenzollern, et Godfroid Hermans de Maastricht, fondé de pouvoirs de Son Excellence le prince Frédéric-François-Xavier de Hohenzollern-Hechingen, lieutenant-général de cavalerie et conseiller intime de S.M. d'Autriche, demeurant à Cracovie, vendirent les propriétés de Bettembourg à Charles-Joseph Collart, maitre de forges à Dommeldange.
François-Auguste-Joseph Collart, propriétaire et maire à Bettembourg, fils de feu Charles-Joseph Collart et de Marie-Thérèse-Françoise de Donnéa (1) épousa, le 25 juillet 1820, Marie-Antoinette Résibois, fille d'Antoine Résibois (2), propriétaire, directeur de la poste aux lettres et bourgmestre-président à Arlon, et de Marie-Joséphine Houstert. Madame Collart-Résibois mourut au château de Bettembourg, le 22 septembre 1870, et c'est son arrière-petit-fils, Auguste Collart, qui a mis les archives à la disposition d'Émile Diderrich en 1912.

Acquisition

Archives données par Auguste Collard, ministre du Luxembourg aux Pays-Bas, le 9 avril 1951 (521/1951/0005/A). Il ne s'agit que d'une partie de l'ensemble inventorié par Émile Didderich en 1912. Les numéros donnés aux Archives de l'État à Arlon sont les 1-7, 11, 14-17, 20, 23-25, 27, 30-34, 36-39, 42-42, 45-52 et 56.

Conditions d'accès

Les archives de plus de 30 ans ne contenant pas de données à caractère personnel sont librement consultables. Pour consulter des archives qui contiennent des données à caractère personnel, le lecteur doit introduire une demande d'autorisation préalable auprès des Archives de l'État. Cette demande d'autorisation doit être introduite au moyen du formulaire " déclaration de recherche " disponible sur www.arch.be ou sur simple demande.

Conditions de reproduction

La reproduction des documents s'opère selon les règlements et tarifs en vigueur.

Existence et lieu de conservations des originaux

Outre les numéros qui n'ont pas été transférés aux Archives de l'État en 1951, l'existence d'une 2e partie pour le fonds est évoquée à la fin de l'inventaire dressé par Émile Didderich. Leur lieu de conservation est inconnu

Bibliographie

DIDDERICH, Émile, Inventaire analytique de quelques documents déposés aux archives du château de Bettembourg, dans Annales de l'Institut archéologique du Luxembourg, t. 48, 1913, p. 353-368.

Contrôle de la description

Inventaire réalisé par Émile Diderrich en 1912. Il a été publié dans les Annales de l'Institut archéologique du Luxembourg, tome 48, en 1913.
Disponible en ligne depuis le 31 mars 2022.

1Jean Babbis et Jean " vain der Nah ", échevins d'Arlon, constatent que Catherine " vain Kersse ", veuve de Nicolas de Monderchin, a cédé à Jean Huseman, " furman " et bourgeois d'Arlon, une maison avec grande, sises dans cette ville. 1445.1 pièce
2Jean " von der Nah " et Pierre de Torterait, échevins d'Arlon, constatent que " jongher " Jean, seigneur de " Mechtzich ", Gilles, son fils, et Marguerite, sa fille, ont cédé héréditairement à dame Catherine de Kerschen, veuve de Nicolas de Monderchen, bourgeois d'Arlon, une " hofstade ", sise à Arlon. 1446, le premier dimanche avant la nativité de la Vierge.1 pièce
3Thilman de Busleyden et Pierre de Totteraidt, échevins d'Arlon, constatent que " Juncker " Jean de Messancy, Gilles, son fils et Catherine sa fille, ont cédé à la dame " Kerst ", veuve de Nicolas de Monderchin, bourgeois d'Arlon, une " hostert ", sise dans la ville d'Arlon, à côté de " Manbarsshaus ". 1446, le premier dimanche après la nativité de la Vierge.1 pièce
4Nicolas von Nothem, " strœmeiger " et mayeur à Aldenhoven, et Trynnen Jean, " thornkecht et gericht " à Aldenhoven constatent que Printz Claiss der " peltzer ", bourgeois d'Arlon, et Monbertz Elssgin, conjoints, ont transporté à Jean Borck, boucher à Arlon, et à Marie, sa femme, plusieurs près sis au ban d'Aldenhoven. 19 février 1519.1 pièce
5Par devant le notaire Nicolas von Bastnach, échevin d'Arlon, Bartholomé Hausman, docteur en droit, substitut du procureur général à Luxembourg, pour lui et au nom de son frère Diederich Hausman, aussi au nom de Collin Raeckenthal (?) et Hélène Hausman, conjoint, et Georges Meuchin, échevin à Luxembourg, pour lui et au nom de sa femme Jeanne Hausman, déclarent avoir relaissé héréditairement, en 1567, leur " hobstadt ", sise à Arlon, près du marché, à Henri Beschpach et Marie, conjoints, à Jean d'Aldenhoven et Marguerite, conjoints, et à Nicolas Warck, marchand de fer, et Catherine, conjoints, tous bourgeois d'Arlon, contre une rente annuelle de 12 florins d'or, par ménage, payable le jour de Saint-Étienne. M. Freylinger, échevin d'Arlon et bailli à Guirsch, témoin. 1583 (n.st.), mercredi avant le 30 mars.1 pièce
6Nicolas Bastnach, justicier, et Hans von Nothum, échevins d'Arlon, constatent, que Mathias Breisgin, receveur et échevin à Luxembourg, à cause de Jeanne Haussman, sa femme, et Jacques-François, " fourman " et bourgeois d'Arlon, comme fondé de pouvoirs de Madeleine de Flavigny, épouse en secondes noces de Nicolas vom Plaltz, échevin de Thionville, et tutrice des enfants issus de son premier mariage avec Jean Hausmann, en son vivant secrétaire et greffier du Conseil de Luxembourg, ont relaissé héréditairement leur " hobstadt in Hetzgassen, sise à Arlon, darufl eine behausung gestanden, so jamerlich durch den Frantzosen zu Bodem verbrent und destruiert worden ist ", à Clauss von Weiler et Trine, conjoints, contre une rente annuelle de douze francs, le franc à 12 sols de Brabant. [Vers 1590].1 pièce
7Michel Warck et Jean Schockweiller, " steurmeyer ", échevins d'Arlon, constatent le transport de quelques biens, sis au ban d'Arlon, fait en faveur de Jean Greisch, par Jacques Borck, aussi échevin d'Arlon, au nom de Thierry d'Arlon et de Jeanne, conjoints, ainsi que de Martin Sondag et de Marie, conjoints, à cet effet muni d'une procuration datée de Marsal, im Stifft Metz, 11 mai 1594 et reçue par Pierre Peltermann, tabellion. Arlon. 13 juin 1594.1 pièce
14François-Mathias Simonis, justicier, et Dominique Notomb, échevins d'Arlon, assistés de Georges Gilsdorf, leur clerc-juré, constatent que Jean-Claude Forron, échevin de la même ville, comme fondé de pouvoirs de Mlle Catherine‑Jeanne Coquelet a fait le transport des deux tiers de la maison dite de Guirsch, sise à Arlon, avec écurie, cour, jardin et dépendances, au profit de Jean-Baptiste Henron, directeur des postes à Luxembourg, représenté par Adam Pellot, aussi échevin d'Arlon. Mlle Coquelet avait hérité d'un tiers de la maison de Guirsch de ses parents, et l'autre tiers lui était échu en vertu du testament (11 juin 1692) de sa sœur Mlle Marie-Marguerite Coquelet. La venderesse habite l'" hostellerie ou pend pour Enseigne l'image de Sainct Hubert au dessus des escailliers de chambre paroisse Saint Victor, à Metz ". La vente, faite sans préjudice du droit de la confrérie de Sainte-Catherine en la ville d'Arlon, a été passée à Metz, le 18 novembre 1706, par devant les notaires royaux Guichardt et Damerville. 24 novembre 1706.1 pièce
15Dominique Nothomb et Pierre Perle, échevins d'Arlon, assistés de G. Gilsdorff, clerc-juré, constatent le transport d'un tiers de la maison dite de Guirsch et sise à Arlon, fait par Marie-Madeleine Coquelet, veuve de feu le Doux, au profit de Me Jean-Mathias Pratz, avocat au Conseil de Luxembourg et échevin d'Arlon. 3 mars 1708.1 pièce
16François-Mathias Simonis et Jean-Claude Forron, échevins d'Arlon, assistés de G. Gilsdorf, clerc-juré, constatent le transport de la propriété de deux tiers de la maison dite de Guirsch, sise à Arlon entre la maison de la veuve Grosjean et celle de Jean Saucy, fait par Jean-Adam Pellot, échevin d'Arlon, comme fondé de procuration de J.-B. Henron, directeur des postes à Luxembourg, son gendre, au profit de Jean-Mathias Pratz, avocat au Conseil de Luxembourg et échevin de la ville et prévôté d'Arlon. L'acte de vente a été reçu le 21 novembre 1707, par le notaire Taffler, de Luxembourg. 12 avril 1708.1 pièce
17Jean-Henri Eumeringen, maître de poste à Steinfort, a vendu à Jean‑Baptiste Henron, directeur des postes à Luxembourg, un onzième de la seigneurie d'Autel, provenant de la dot de sa première femme, Catherine Dubois, pour la somme de 1000 écus, argent fort d'Espagne. Cette part et la maison du vendeur, sise à Steinfort, sont hypothéquées pour une somme de 1600 écus envers Jean Perlé, maître de la poste d'Arlon, lequel a cédé ses prétentions par acte du 25 août 1688 au sieur Pellot, demeurant à Arlon ; celui-ci a recédé l'hypothèque à Jean Beyer, échevin et banquier en cette ville par acte du notaire Gilstroff, d'Arlon, d. d. 20 août 1699. Par devant François Pierret, notaire royal à Luxembourg. 11 mai 1711.1 pièce
23François-Louis-Guillaume, baron de Hinderer, lieutenant-colonel de S.M.I. et C., seigneur d'Autel, Wourmeldange et autres lieux, et Marie-Charlotte de Ryaville, conjoints, relaissent à titre de bail et admodiation, pour neuf années consécutives, à commencer à la Saint-Georges 1740, à Jean Richard leur admodiateur moderne, plusieurs revenus seigneuriaux d'Autel, y compris le logement au château. 17 août 1738.1 pièce
24Fr.-Louis-Guillaume, baron de Hinderer, seigneur d'Autel, vend au sieur Adam Lapierre, admodiateur des forges de Lasauvage, y demeurant, " toutes les cordes du bois de Heckbous, lesquelles le seigneur vendeur s'oblige à livrer au seigneur acheteur toutes façonnées et pour raison desquelles cordes le dit acheteur s'oblige à payer au seigneur vendeur 5 escallins de chaque corde, à raison de 7 sols l'escallin au cours de Luxembourg, dont la livraison se fera au premier mars prochain et sera permis au Sr acheteur de charbonner les dites cordes dans le bois ". Notaire Pierret, Arlon. 13 décembre 1738.1 pièce
25W. Scheer, seigneur d'Autel en partie, relaisse au sieur Richard, pour la présente année qui a commencé depuis la Saint-Georges dernier (23 avril) sa part à la seigneurie d'Autel avec le droit de pêche et de chasse. Luxembourg. 13 juin 1742.1 pièce
27Par devant Jean-Antoine Notomb, notaire à Differdange, contrat de mariage entre François-Christian Gerden, conseiller au Conseil provincial, fils légitime de feu Jean-François Gerden, et de dame Marie-Sydoine Haack, assisté de la dite dame, sa mère et des desmoiselles Marie-Catherine et Marie Hack, ses tantes, - et demoiselle Ludovine Scheer, fille légitime de Willibrord Scheer, avocat au dit Conseil et d'Erneste-Marguerite Adamy, conjoints, seigneur et dame en partie d'Autel, Sterpenich, Schüttringer, Munsbach, Obersiren et autres lieux. Les parents cèdent à la future leur seigneurie de Sterpenich et d'Autel. Luxembourg 24 septembre 1750.1 pièce
30Jeanne-Françoise Emering, veuve sans enfants du sieur Wangen, clerc-juré de la seigneurie d'Useldange, fille de feu Henri Emeringer, en son vivant maître de poste à Steinfort, et de Catherine Dubois, sa première femme, demeurant à Steinfort, cède par donation entre vifs à François-Christian Gerden, conseiller de S.M. au conseil provincial, la moitié du douzième aux château, terre et seigneurie d'Autel. Témoins Paul Wiltz, prêtre, directeur du rosaire de l'église paroissiale d'Arlon, et Jean-Baptiste Kieller, notaire résident à Luxembourg. Réalisation au siège des nobles à Luxembourg, le 25 janvier 1752. Par devant le notaire François Didier, d'Arlon. 1er mars 1751.1 pièce
31Jeanne-Françoise Eumering, veuve de feu Nic. Wangen, clerc d'Useldange, demeurant à Steinfort, donne procuration à l'avocat de Mignon pour la représenter dans le procès au sujet de la seigneurie d'Autel dont elle réclame la moitié d'un douzième qui lui a été laissée par sa mère. Paul Wiltz, prêtre, directeur du rosaire de l'église paroissiale d'Arlon, témoin. Steinfort, notaire Didier. 1er mai 1751.1 pièce
32La même cède, par donation entre vifs, à François-Christian Gerden, conseiller de S.M. à Luxembourg, la moitié d'un douzième dans la seigneurie d'Autel, dont elle a hérité de sa mère Anne-Catherine Dubois, première femme de feu Henri Eumeringen, maître de poste à Steinfort. L'autre moitié du douzième appartient à la sœur de la donatrice, mariée au sieur Masson, lequel demeure en Lorraine. Réalisation au siège des nobles, Luxembourg, le 25 janvier 1752. Steinfort, notaire Didier. 2 mai 1751.1 pièce
33Mémoire concernant un douzième dans la seigneurie d'Autel. 168[0 ?], 1711, 1727, 1746, 1751.1 volume
34Érection du nouveau signe patibulaire de la seigneurie d'Autel au lieudit " underacht " (Lauterbusch) (l'ancien signe ayant été abattu par " l'impétuosité des vents ") et en présence de Dominique Pals, mayeur haut-justicier d'Autel et de Sterpenich, demeurant à Hagen, Nic. Tockert, demeurant à Bettingen, Henri Joachim, demeurant à Sterpenich, Dominique Heintges, demeurant à Sterpenich, Jean Kuntsch, demeurant à Hagen, et Jean Thilmany, demeurant à Sterpenich, tous échevins de la haute-justice. 14 juin 1752.1 pièce
36Fr.-Louis-Guillaume, baron de Hinderer, seigneur d'Autel, vend au baron d'Huart, maître de forge à Lasauvage, seigneur de Sosne, 2000 cordes de bois à prendre à front de taille dans le bois de Grasse, seigneurie d'Autel ; la corde de 6 pieds de long sur 4 pieds de haut, et la branche de 3 pieds et demi de long entre les tailles, le tout pieds d'Espagne ou de Saint-Lambert, pour la somme de 24 sols au cours de notre province pour chaque corde. 28 mai 1760.1 pièce
37Transaction au sujet du dégagement des trois dixièmes dans un sixième de la seigneurie d'Autel (vendus devant le notaire Ordt, les 8 mai 1698 et 2 mars 1699, par Gérard-Mathieu baron d'Huart et Jean-Baptiste de Mailly, ce dernier agissant au nom de Marie-Marguerite baronne d'Huart, sa femme) entre Jean-François-Henri-Gérard baron d'Huart, chevalier du Saint-Empire, colonel d'infanterie et capitaine aux Gardes wallonnes, maitre-propriétaire des forges de Lasauvage et de Herserange, seigneur de Sosne, d'une part, et François-Louis-Guillaume baron de Hinderer lieutenant-colonel au service de S.M. l'Impératrice et Reine, seigneur d'Autel, d'autre part. Château d'Autel. 20 novembre 1764.1 pièce
38Déclaration du président François-Chrétien Gerden, lequel prétend posséder " une juste quarantième part " dans les château, terre et seigneurie d'Autel. 31 juillet 17661 pièce
39Mémoire pour servir au procès que soutien Antoine Toully, bourgeois et boulanger de la ville d'Arlon, appelant contre trois autres bourgeois et boulanger de la ville d'Arlon, appelant contre trois autres bourgeois et boulangers de la même ville Jean-Georges Brémond, Pierre Grendel et Dominique Thill. Il s'agit de l'interprétation de l'article premier des privilèges et statuts accordés au métier de boulangers d'Arlon par S.M., le 27 mars 1764 et du droit dit " Brodfermette ". La question soumise à la décision du conseil provincial est de savoir si la ferme du droit dit " Brodfermette " soit payée à la baumaîtrie hors de la caisse de ce métier, ou si le droit doit se lever à charge seulement de ceux des confrères qui exercent le métier et sur la proportion des fournées qu'ils font par année, ainsi que de la qualité ou poids des pains qu'ils cuisent et débitent. [Vers 1770].1 pièce
41Par devant J.-B. Didier, notaire à Arlon, Dominique Heitz, possesseur de la maison " Crompes " à Hobscheidt, cède quelques biens situés près du moulin de Saint-Pierre, à François Perle, maîtres de poste et échevin à Arlon. Le 23 mai suivant, François-Laurent Forron, et Augustin Bochholtz, échevins de la ville, prévôté et marquisat d'Arlon, assistés de J.-B. Kieller, greffier, constatent le transport ; le vendeur est représenté par Nicolas Simonis, sergent de la ville d'Arlon. Le transport est inscrit sur les registres de " Kellerey Wolckringen zu Arle. 18 mai 1775.1 pièce
42Rapport de la seigneurie d'Autel possédée par le baron de Hinderer. [Vers 1775].1 pièce
45Mémoire concernant la seigneurie d'Autel, par Collard, à ce commis par décret de la Cour du 20 avril 1782. [Vers 1789].1 pièce
46L'abbé Pagès, prêtre, docteur de la Sorbonne, prieur de Saint Aubin, procureur du marquis du Pont d'Oye, laisse la " Peteschmühlen " en bail héréditaire à Pierre Schmit. Témoins : Sire Henri Guillaume, prêtre demeurant à Pont d'Oye ; Nicolas Siebenaler, marchand à Arlon. 12 avril 1759.1 pièce
47Le duc de Corswarem-Looz, demeurant à son château de Sainte-Marie, laisse en bail héréditaire le moulin dit " Petersmühle " avec dépendances, qu'il avait acquis du marquis du Pont d'Oye, à François Perlé, échevin de la ville d'Arlon, et de Jeanne de la Chapelle, conjoints. Témoins : Jean-François André, curé de Sainte-Marie, et Joseph Canon, demeurant à Lenclos. Réalisation, le 28 mai 1776. Arlon, Jean-Baptiste Papier, notaire. 11 avril 1763.1 pièce
48Henri André, meunier au moulin de Saint-Pierre à Frassem, et Barbe Theis, conjoints, vendent à Emmanuel Gillet et à Jean-Baptiste Gillet, directeurs du fourneau de Luxeroth, le dit moulin, que les vendeurs avaient acquis de François- Hyacinthe Dumont (époux d'Anne-Louise-Henriette Perlé), capitaine et prévôt d'Izel, par acte du 22 juin 1784. Transport devant la justice d'Arlon, 8 janvier 1790. Arlon, Jean-Baptiste Richard, notaire. 5 janvier 1790.1 pièce
49Jean-Baptiste Gillet, propriétaires du moulin de Saint-Pierre près de Frassem, y demeurant, et Emmanuel Gillet, facteur à Laclaireau, frères, vendent le bail héréditaire du dit moulin, qu'ils avaient acquis des époux André Theis, aux citoyens Jacques et Pierre Kieffer, meuniers au moulin de Clairefontaine. Arlon. 2 avril 1802 (12 germinal an X).1 pièce
50Jacques Kieffer, meunier au moulin de Saint-Pierre à Heckbous, et Angélique Billing, conjoints, ainsi que Pierre Kieffer, meunier à Clairefontaine, vendent le bail du dit moulin à Willibrord Reding et Thérèse de Mallaise, de Bettembourg. Arlon, G.-M. Schmit, notaire. 12 janvier 1808.1 pièce
51Jean-Baptiste Goris, homme d'affaires, demeurant au château de Steen, commune d'Ellwyt, vend, en sa qualité de fondé de pouvoirs de Mme Auguste-Joseph Delapuente, veuve Dehorman, rentière à Bruxelles, la propriété du moulin de Saint- Pierre, détenu actuellement par Willibrord Reding, ainsi que le " Mühlenbusch " à Charles-Alexandre De Marches, rentier à Guirsch, représenté par Antoine Résibois, maire d'Arlon. Arlon, notaire Jean-Nicolas Rossignon. 14 mai 1808.1 pièce
52Les époux Reding-de Mallaise, de " Petersmühl " vendent le bail du dit moulin à Antoine Résibois, d'Arlon. Arlon, G.-M. Schmit, notaire. 12 février 1809.1 pièce
56Deux dossiers contenant la correspondance des familles de Hinderer et de Gerden au sujet d'Autel. 1731-1766, 1798-1803.1 liasse