Name: Fabri (Famille) - Fabri (Familie)
Period: 17de - 20ste eeuw
Inventoried scope: 7,2 linear meters
Archive repository: National Archives of Belgium
Heading : Families and Persons
Authors: A. Graffart
Year of publication: 1996
Code of the inventory: I 262
Antoine Fabri fit ses études secondaires (humanités anciennes) au collège Saint-Michel à Bruxelles. A l'instar de son frère Joseph et d'un certain nombre de ses ancêtres, il entra chez les Jésuites en 1916 mais les quitta ensuite. Il obtint des diplômes de candidat en philologie classique (1920), en philosophie et lettres préparatoire au droit (1926) et de candidat en droit (1927). En 1931, il épousa Élisabeth de Pierpont, décédée deux ans plus tard. En 1936, il s'unit pour le meilleur et pour le pire à Simone du Bois de Vroylande. Il fut administrateur délégué des Gîtes d'étapes et maisons de vacances des Jeunesses catholiques belges. Il s'éteignit le 4 juillet 1966, à la suite d'une longue et pénible maladie, sans avoir pu mener à leur terme un certain nombre de travaux historiques et généalogiques qu'il avait entrepris.
Si son ancêtre du côté maternel François-Xavier chevalier de Burtin est connu de tous, d'autres ne connurent pas la même gloire. Citons parmi les ancêtres d'Antoine Fabri du côté paternel, Henri Fabri, né en 1735 et décédé en 1804. Il fut échevin et greffier de Seny, bourgeois de Liège et greffier de Thuin et de Fosteau.
Son fils Arsène, né en 1777 et décédé en 1804, fut maire de Seny et devint membre du conseil d'arrondissement de Huy, des États généraux de la province de Liège puis de la 2ème chambre des États généraux. Il fut également membre de plusieurs commissions ayant compétence non seulement en matière agricole, mais aussi en matière de routes et de détresse publique. Il avait épousé Joséphine de Longrée (1781-1855).
Leur fils Charles, né en 1808 et décédé en 1860, fut inspecteur de l'enseignement primaire de la province de Namur. Il avait épousé Victoire Delvaux, née en 1824, fille du docteur Joseph Delvaux et de Thérèse Moncheur. Sa veuve lui survécut jusqu'en 1888. Ils eurent six enfants parmi lesquels Valentine qui tint un journal et Natalie qui fit la relation de son voyage dans le nouveau monde, dont on a déjà parlé plus haut. Trois d'entre eux, Natalie et ses frères Victor et Adelin entrèrent dans les ordres.
Alphonse Fabri, fils de Charles et père d'Antoine, né en 1853 et décédé en 1910, épousa Alix de Cartier, née en 1868. Elle était fille de Paul et d'Idalie de Burtin. Il fut juge de paix suppléant du canton de Rochefort. Il mourut en 1910 ; sa veuve lui survécut pendant 25 ans.
Le grand-père de Victoire Delvaux, Théodore Delvaux de Fenffe, seigneur de Fenffe et de Hérock, médecin, fils de Philippe et de Catherine Halin, naquit à Behogne en 1731. Il épousa en 1758 Dieudonnée Gendebien, veuve de son oncle Augustin Delvaux. Elle mourut sans postérité en 1777. Deux ans plus tard, il épousait Marie-Élisabeth Bellefroid dont il eut six enfants. L'aînée, Caroline, née en 1781, habita chez son oncle le chanoine Jacques-Louis Bellefroid à Liège. Elle dirigeait le ménage et étudiait sous sa direction. Elle connaissait le latin qu'elle enseigna à son jeune frère Joseph. De même que ses deux jeunes sœurs, Marie-Anne, née en 1790, et Cécile, née en 1798, elle entra en religion chez les Dames du Sacré-Cœur. Deux des fils de Théodore, Jean-Charles, né en 1782, et Joseph, dont il sera question plus loin, embrassèrent la carrière médicale. Le premier avait quitté sa famille à l'âge de huit ans pour aller vivre, comme sa sœur aînée, chez le chanoine Bellefroid, qu'il suivit en émigration en Allemagne. Jean-Charles et Joseph firent tous deux leurs études à la Sorbonne, à Paris. L'aîné, Jean-Charles Delvaux de Fenffe, s'installa à Liège, épousa en 1809 sa cousine Clémence Bellefroid et devint professeur de physique et de chimie générale appliquée aux arts et métallurgie à l'Université de Liège, tandis que Joseph retourna à Rochefort où il reprit le cabinet médical de son père. Le troisième fils, Eugène, né en 1787, entra dans la Compagnie de Jésus. En 1797, Théodore Delvaux de Fenffe, fut élu président de l'Assemblée municipale de Rochefort.
Le docteur Joseph Delvaux, fils de Théodore et père de Victoire, naquit à Rochefort le 18 mai 1785. En 1810, il fut désigné par le préfet de Sambre-et-Meuse comme médecin aux armées napoléoniennes. Trois ans plus tard, en mai 1813, bien qu'ayant en vain tenté d'y échapper, il partit pour la désastreuse campagne d'Allemagne. Dans la partie de son journal se rapportant à l'époque de son passage dans la Grande Armée, il décrit les villes et les villages allemands qu'il traverse et ceux dans lesquels il séjourne. Après la défaite de l'armée française, il rentra au pays et devint en 1815 bourgmestre de Rochefort. Pendant quelques années, il tint au jour le jour un journal retraçant sa vie de médecin de campagne. On y trouve bien sûr des renseignements précieux sur les traitements médicaux en vogue en ce début du XIXe siècle, mais aussi sur l'agriculture - il essaye de faire produire des terres incultes -, l'élevage - notamment du mouton -, la météorologie, la tenderie et les jeux de société pratiqués à l'époque. Il épousa en 1820 Thérèse Moncheur, fille de Pierre, maître de forges au Rieudotte. Le couple s'installa dans la maison paternelle à Rochefort, la propriété de Fenffe revenant à leur frère et beau-frère Jean-Charles. Ils eurent neuf enfants dont quatre filles deviendront religieuses au Sacré-Cœur. Leur fille Victoire épousa Charles Fabri.
Du côté maternel, on a déjà cité François-Xavier chevalier de Burtin. Il naquit à Maastricht le 15 décembre 1743 et vint s'établir à Bruxelles en 1767. En 1772, il y épousa Anne-Catherine Hantonis. Ils eurent six enfants dont cinq moururent en bas âge. Un seul survécut, son fils Jacques-Louis, qui suit. François-Xavier exerça la médecine à Bruxelles pendant 18 ans (jusqu'en 1784). II fut médecin de Charles de Lorraine de 1774 à 1780. En 1784, il se vit confier des missions de prospection (houille, minerais, etc.). En 1786, il devint conseiller du Conseil du Gouvernement général (il prêta serment en 1787) et devint rapporteur de la commission des hôpitaux et des enfants trouvés. En avril 1787, débutent les troubles dans les Pays-Bas. Burtin comptait plusieurs amis parmi les chefs des rebelles mais, pour sa part, il resta fidèle à l'Empereur. Sa prise de position eut pour conséquence qu'il perdit ses amis et devint l'objet de persécutions. On écrivit sur lui des pamphlets sur lesquels le gouvernement ferma les yeux au point qu'on les vendait aussi publiquement que des livres de prières, puis on cassa ses vitres, on fit fuir ses domestiques. Le 23 septembre 1787, il se fit même assassiner dans son vestibule, selon sa propre expression. Il ne ressort pour la première fois que trois mois plus tard. En décembre 1789, le gouvernement est fugitif. La révolte de Bruxelles éclate devant sa porte. Il doit fuir dans une écurie voisine, puis de maison en maison pendant huit jours.
Sa maison est pillée. Le neuvième jour, il se rend chez van der Noot (1)
qui le fait emprisonner aux Alexiens, où il est traité en criminel. Il compose en latin un poème sur la Révolution. Il ne sera relâché qu'au bout de huit semaines. Il fuit alors à Maastricht avec son fils, sa femme restant à Bruxelles. Après le retour des Autrichiens, rentré au pays, il ne reçoit aucune récompense et il est mis à la retraite forcée avec diminution de ses gages. En 1794, au retour des Français, Burtin reprend le chemin de l'exil et des Pays-Bas. Voyageur infatigable, il visita de nombreux pays tels que l'Allemagne, l'Autriche, la Bohême, la Moravie, la Styrie, la Haute Italie, la France, la Prusse, la Pologne et la Hongrie, ainsi que Prague et Vienne. Il fut membre de l'Académie impériale des sciences et belles-lettres de Bruxelles, de l'Institut royal des Pays-Bas et de la Société royale de médecine à Paris. Dans son journal, on peut lire : on trouvera toujours marqué l'argent comptant que j'ai avec moi et tout ce que je pourrois devoir sous un titre quelconque de même que mon testament. Par apostille sur la requête qu'il adressa à la Chambre aulique des Finances, il obtint de pouvoir s'absenter pendant deux ans à partir du 1er mai 1798 des États héréditaires pour aller arranger ses affaires aux Pays-Bas. Son épouse décéda à Bruxelles en 1807. Quant à lui, il s'éteignit dans la même ville le 6 août 1818.
Son fils Jacques-Louis de Burtin d'Esschenbeek, né à Bruxelles le 17 mai 1775, épousa à Malines, le 25 septembre 1814, Barbe-Catherine-Thérèse de Bernard de Fauconval (1767-1858), fille d'Herman et de Marie-Thérèse de Burlet. Il fut avocat au Conseil souverain de Brabant et bourgmestre de Strombeek.
Jacques-Louis mourut en 1838. L'un des deux fils du couple, Rodolphe chevalier de Burtin d'Esschenbeek, né en 1806, épousa Pauline van den Nest (1807-1883). Leur fille Idalie épousa Paul de Cartier, fils d'Amour. Rodolphe occupa le poste de juge de paix du canton de Mol. Il mourut en 1865. Son fils Léon chevalier de Burtin d'Esschenbeek fut bourgmestre de Strombeek de 1870 à 1873.
Le père de Paul, Amour de Cartier, né à Marchienne-au-Pont le 16 août 1803, docteur en droit, épousa Pauline Garnier, née le 29 octobre 1812. Il fut conseiller provincial de Brabant. En 1842, il succéda à Pierre-Théodore Verhaegen (2)
comme bourgmestre de Watermael-Boitsfort. Il se vit conférer le titre de baron en 1857. En 1861, Amour avait fait installer sur ses terres, à Auderghem, une fabrique de minium de fer, à laquelle son fils Paul adjoindra une fabrique de céruse en 1872. Il avait acquis le château de Val Duchesse à Auderghem, que son fils mettra en vente après sa mort survenue en 1869, un an après celle de son épouse Pauline. Le père de cette dernière, Paulin Garnier, né à Trélon en France le 12 février 1785, licencié en droit, succéda à Heuschling comme conseiller à la Cour impériale de Bruxelles. Il fut aussi conseiller à la Cour de Cassation. Le 21 août 1811, il épousa sa cousine Adèle Despret de Leschelle, qui perdit la vie le 5 novembre 1812, sept jours après la naissance de leur fille Pauline.
Paul baron de Cartier, né le 14 novembre 1835, fils d'Amour et de Pauline Garnier, fit des études commerciales et industrielles à Malines, à Paris ainsi qu'à Wiesbaden où il travailla dans le laboratoire du professeur Frésénius. C'est de cette dernière ville que, le 26 mai 1855, il écrivit une lettre à sa mère dans laquelle il relate la consécration de l'église grecque de Wiesbaden et la translation des cendres de la princesse Élisabeth, fille du tsar Nicolas 1er et première femme du duc régnant Adolphe. Paul épousa à Bruxelles, le 27 février 1867, Idalie, fille de Rodolphe de Burtin d'Esschenbeek, née en 1836. Le couple eut trois filles, parmi lesquelles Alix de Cartier, épouse d'Alphonse Fabri et mère d'Antoine. Paul de Cartier fut bourgmestre de Strombeek-Bever.
Last but not least, citons parmi les parents plus éloignés d'Antoine Fabri, Émile de Cartier de Marchienne, qui embrassa la carrière diplomatique. Nommé en 1896 chargé de la légation belge à Rio de Janeiro puis secrétaire à Tokyo, il occupera divers postes dans les ambassades ou légations belges à Pékin, à Paris, à Londres et à Washington. En 1910 il est nommé Ministre résidant, puis plénipotentiaire (1914) de S.M. le Roi des Belges en Chine. De 1917 à 1927, il dirige la légation, puis ambassade (1919) belge de Washington. Nommé en 1927 ambassadeur à Londres, il y exercera ses fonctions jusqu'à la fin de la Seconde Guerre mondiale (3)
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En ce qui concerne la partie de l'inventaire consacrée aux biens, elle se rapporte en grande partie à la seigneurie puis domaine de Cens. Cette seigneurie comprenait quatre villages : Cens, Très Fontaine, Wimbay et Wyompont, tous les quatre sis sur le territoire d'Erneuville, dans la province de Luxembourg. On trouve dans les archives relatives à Cens divers documents originaux, nombreux surtout à partir du XVIIIe s. Voyons comment cette seigneurie finit par échoir aux ancêtres paternels d'Antoine Fabri pour, de génération en génération, faire de ce dernier le propriétaire du domaine. En 1709, Pierre-Emmanuel d'Huart, chanoine de Saint-Denis à Liège alors seigneur du lieu, vend la seigneurie de Cens à Pierre de Moustier. à sa mort, en 1726, son fils Pierre-Joseph lui succède. En 1771, c'est le fils de ce dernier, Pierre-Stanislas de Moustier qui est seigneur de Cens. En 1778, ce dernier vend la seigneurie à Joseph Piron, jurisconsulte et avocat à Liège, époux de Marie-Barbe Bourguignon. Deux ans plus tard, Piron la cède pour 30.600 florins à son beau-frère François-Guillaume Bourguignon, conseiller du prince évêque de Liège. Au décès de François-Guillaume Bourguignon, survenu en 1794, la seigneurie passa aux de Longrée, Charles de Longrée ayant épousé Jeanne Valentine Bourguignon. Après son décès en 1818, le domaine de Cens fut attribué à Gustave Piron, fils de Joseph François et de Marie-Françoise de Longrée. Après la mort en bas âge de Gustave Piron, survenue en 1819, le domaine fut partagé par moitié entre Joseph François Piron et les de Longrée, oncles et tantes du défunt. Suite à divers accords passés entre les de Longrée, les biens dont ils avaient hérités à Cens furent réunis entre les mains de leur sœur Joséphine de Longrée et de son époux Arsène Fabri, arrière-grands-parents d'Antoine. Après le décès de Joséphine en 1855, le bien passe par héritage à leur fils Charles, époux de Victoire Delvaux. Veuve depuis 1860, Victoire fera en 1874-1875 l'acquisition du domaine de Roumont, proche de Cens, mais dépendance de Flamierge et non d'Erneuville. Les deux domaines seront réunis sous une même gestion. Les biens passeront à la mort de Victoire à son fils Alphonse Fabri et à son épouse Alix de Cartier. En 1911, l'année suivant le décès d'Alphonse, la propriété de Roumont sera vendue. Après la mort en 1935 d'Alix de Cartier, son fils Antoine vendra à son frère Paul Fabri la moitié des biens qu'il possédait en indivision dans la commune d'Erneuville. La famille Fabri qui, à partir du moment où elle entra en possession des biens sous Erneuville, y fit encore de nombreuses acquisitions de terres, était représentée sur place par des gardes particuliers, qui veillaient à l'entretien de leurs propriétés.
Le fonds Fabri contient aussi quelques pièces relatives au château de Blommendael à Strombeek-Bever qui fut acheté en 1768 par Herman de Bernard de Fauconval et son épouse Marie-Thérèse de Burlet, ancêtres d'Herman Otto de Mentock. Il passe ensuite par héritage aux de Burtin qui l'occupèrent de 1805 à 1911, puis à Herman Otto de Mentock. Le château fut détruit par un incendie en 1917 et n'a pas été reconstruit. En 1956, Herman Otto de Mentock cède le terrain et les ruines du château à l'association sans but lucratif Notre-Dame de Laeken qui s'occupe des œuvres paroissiales de Strombeek sous certaines conditions : celle de ne jamais le vendre, de rappeler sur la nouvelle façade le nom de Blommendael et de faire célébrer une messe annuelle à Strombeek pour le donateur.
Le fonds comprend aussi quelques documents relatifs à Laval et à Remagne, Amour baron de Cartier ayant hérité des biens d'Hyacinthe de Bossy, dont le père, Lambert-Joseph avait épousé Marie-Hyacinthe de Cartier, fille de Pierre-Robert.
Le fonds d'archives de la famille Fabri fut déposé aux Archives générales du Royaume suite à la convention, passée le 18 décembre 1986, entre Madame Alix Fabri et Monsieur Carlos Wyffels, alors Archiviste général du Royaume. Le contrat prévoyait que l'inventoriage du fonds et la publication de l'inventaire seraient terminés pour le 1er janvier 1995. Mais vu la réduction du nombre des archivistes et la multiplicité autant que la diversité des tâches incombant à ces derniers, l'entreprise ne put être menée à bien dans les délais prévus.
Ce fonds comprend tant des originaux que des copies et photographies d'actes divers relatifs à la famille Fabri et aux familles alliées ainsi qu'aux biens, sis principalement en Belgique. Il était la propriété d'Antoine Fabri (1898-1966), père de la donatrice, qui l'a enrichi par de nombreuses notes de travail prises dans le fonds lui-même mais aussi par le fruit de ses patientes recherches dans de nombreux dépôts d'archives et bibliothèques situés tant en Belgique qu'en France ainsi dans des fonds d'archives privés. Une part importante des documents originaux lui furent cédés par son parent, le baron Herman Otto de Mentock, et concernent principalement les familles de Burtin, de Bernard de Fauconval et de Burlet, auxquelles ce dernier était allié. Antoine Fabri était lui-même petit-fils d'Idalie de Burtin d'Esschenbeek, fille de Rodolphe, petit-fils du célèbre académicien François-Xavier de Burtin. L'original de l'un des journaux de voyages de ce dernier, contenant son testament, est conservé dans le fonds (4)
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Autres pièces intéressantes : le journal de Valentine Fabri, qui mourut célibataire à l'âge de 24 ans (5)
, et la correspondance adressée par Natalie (sic) Fabri à ses frères Victor et Alphonse (6)
, relatant par le menu son voyage vers Chicago où elle se rendit dans une mission et où elle décéda en 1892, toutes deux filles de Charles Fabri et tantes d'Antoine ; les copies du journal tenu par le docteur Joseph Delvaux (7)
; les passeports, laissez-passer, carnet de visas, que l'on trouve dans les archives de l'arrière-grand-père d'Antoine Fabri, Amour de Cartier, et dans celles de son fils Paul de Cartier.
1 | Commission de facteurs, procureurs et mambours, délivrée par le maire et les échevins de Couvin à Nicolas et Jean Fabri, frères, 12 mai 1594 (copie). | 1 pièce |