Inventaire détaillé des archives de la famille Tassier.

Archive

Name: Tassier (Famille) - Tassier (Familie)

Period: 1878 - 1954

Inventoried scope: 0,75 linear meters

Archive repository: National Archives of Belgium

Heading : Families and Persons

Inventory

Authors: E. Lejour

Year of publication: 1994

Code of the inventory: T 162

...

Producteur d'archives

Histoire institutionelle/Biographie/Histoire de la famille

Emile Tassier naquit à Tournai en 1864. Il était fort attaché à sa famille : sa sœur Hortense (épouse 1° N. Librecht, 2° Adolphe Verriest), fidèle à leur ville natale, une autre sœur qui va habiter Schaerbeek avec son mari François Verriez, son frère Félix, établi à La Louvière. Par son oncle Félix Verbist, il était cousin des Caeymaex et des Fasbinder.

Il s'engagea comme simple soldat en 1881, gagna ses premiers galons au 2e régiment de chasseurs à pied, passa au 3e régiment en 1888 comme sous-lieutenant. Il épousa en 1893 Marthe Farcy qui dut quitter son Casteau natal pour suivre son mari dans ses garnisons successives : Anvers en 1894 (lieutenant audit 3e régiment de chasseurs à pied), Tournai en 1902 (capitaine en second, puis capitaine-commandant en 1906), Menin en 1909 (commandant de l'école régimentaire, puis major en 1913), Bruxelles en 1914 (transféré au 2e régiment de carabiniers).

Dès le 1er août 1914, le major Tassier fut chargé de commander effectivement son régiment, d'abord aux environs de Wavre, puis de Lierre, pendant la retraite de l'armée et au cours de la bataille de l'Yser ; il ne quitta plus le front avant mars 1918. Dans un petit carnet de route, il avait succinctement noté les étapes, les ordres de service, des listes de soldats, des appréciations de supérieurs, etc. ; il garda aussi les lettres qu'il échangea fin 1914 avec son beau-frère, l'artilleur Marius Renaux-Farcy, et où l'un narrait son odyssée, tandis que l'autre racontait sa défense du fort de Wavre-Sainte-Catherine en octobre 1914 (cf. n° 11).

Les familles étaient restées sans nouvelles depuis septembre, malgré de multiples et touchantes tentatives faites, de part et d'autre, pour communiquer. Elles y parvinrent enfin en décembre. Dès août 1914, Louise Renaux-Farcy avait fui Anvers avec ses enfants, Andrée et Maurice, pour se réfugier à Schaerbeek chez sa sœur ; elle décida d'émigrer en Angleterre, sur les conseils de son mari. Marthe hésita d'abord à les suivre, de crainte d'interrompre les études de sa fille à l'école normale et d'abandonner sa maison, récemment aménagée, à l'occupant. Elle s'y décida pourtant ; biens les plus précieux confiés au garde-meubles, provision de vin cachée, maison laissée à la surveillance du beau-frère Verriez-Tassier et de la voisine amie Marguerite Sweerts (1)
. Munis d'un " passierschein " de huit jours pour la Hollande, femmes et enfants poursuivirent leur voyage jusqu'à Londres où ils arrivèrent le 27 décembre 1914 (cf. notes de frais et adresses, n° 18). Une correspondance régulière s'établit aussitôt avec les militaires, parfois doublée de retrouvailles à Londres, à l'occasion de congés prolongés. Le comité belge d'aide aux réfugiés et la généreuse hospitalité anglaise permirent aux sœurs d'être accueillies à Granage Hall (Holmes Chapel, Cheshire). Les deux filles furent admises au pensionnat de Grassendale (Southborne-on-Sea, Hantshire) et Maurice Renaux au Collège d'Uttoxeter. Sans doute étaient-ils dispersés, mais ils purent se réunir, aux vacances, à Holmes Chapel.


Par des lettres quasi quotidiennes, Emile Tassier rassurait sa femme sur son sort. Il y décrivait la vie au front, alternativement aux tranchées de première, puis de deuxième ligne, puis aux cantonnements de l'arrière - le danger et l'inconfort des unes, le repos coupé de manœuvres et de rares divertissements (sports, conférences, concerts, etc.) des autres. De nombreuses missives signalaient le passage du roi Albert aux tranchées (aussi en première ligne) et aux cantonnements où " le plus démocrate des citoyens " encourageait la troupe, veillait à son logement et à sa nourriture (cf. n° 9 : 3 août 1915, 16 février 1917, 10 et 25 juin 1917, etc.) ; malgré son grand âge, Clémenceau visita les tranchées belges le 25 février 1918 (cf. n° 9). Il y avait aussi les avions, les ballons d'observation, les attaques aux gaz (dès le 25 avril 1915), l'infiltration du flamingantisme au front (cf. n° 9 : 31 décembre 1916, 31 août 1917, 2 septembre 1917, 2 août 1918), les pertes de soldats et d'officiers (cf. n° 25, les éloges funèbres prononcés aux obsèques de son chef le lieutenant-colonel Rademakers tué devant Dixmude le 12 juin 1915). Au début 1916, quelques militaires, lassés de la vie aux tranchées préférèrent s'engager pour la campagne d'Afrique, notamment son sous-lieutenant Crützen (2)
. Pourtant le moral de la troupe et les rapports entre gradés et soldats restaient bons, du moins dans son unité (cf. n° 9 : 31 octobre 1916, 15 et 24 juin 1917, 10 janvier 1918). Tout en émettant quelques considérations sur le cours général de la guerre, il détaillait davantage son action personnelle - notamment dans l'opération du 26-27 mai 1915. Le major Tassier commandait ad intérim son régiment au sud de Dixmude ; étant de garde en première ligne, il fut averti qu'à faveur de la nuit les Allemands venaient de s'emparer de la tête de pont au-delà de l'Yser. Il se mit aussitôt à l'avant de ses soldats et la reprit malgré un feu violent. Cet exploit lui valut les éloges de ses chefs ; le Roi tint à lui remettre en personne la croix d'officier de l'Ordre de Léopold, à La Panne (cf. n° 22) ; sa femme en fut avertie (cf. n° 12, 30 mai et 23 juin 1915), comme de ses promotions et distinctions honorifiques suivantes : lieutenant-colonel en mars 1916, colonel en décembre 1916, officier de la Légion d'honneur et janvier 1918 (3)
, désignation de commandant ad intérim de la 11e division d'infanterie, publiée à l'ordre du jour du 26 janvier 1918. Mais, dès février, il fut appelé à justifier le rapport qu'il avait du combat de " Het Sas " en février 1917 ; trois soldats manquants y avaient été portés déserteurs - or, on venait d'apprendre leur captivité en Allemagne. Certains les disaient flamingants passés à l'ennemi, d'autres capturés là où ils n'étaient pas en service commandé. Toujours est-il que le colonel Tassier fut retiré du front et désigné comme adjoint au Commandant supérieur territorial belge au Havre, en qualité de Directeur du Contrôle du personnel. Au cours de cette pénible épreuve (qui lui coupait tout espoir d'avancement), il reçut maints messages de reconnaissance d'anciens soldats et d'estime de chefs (cf. n° 20, 22, 26) (4)
, sans parler des consolations de sa femme et de sa fille. Le 21 juillet 1918 il assista au Havre à l'hommage rendu au général Leman et au défilé du glorieux 9e de ligne, il en garda de nombreuses photos qu'il ajouta à celles prises au front (cf. n° 29).

Lassés de leur séjour en pays anglais et désireux de se rapprocher de leurs combattants, femmes et enfants Tassier et Renaux affrontèrent la Manche en avril 1916 et s'établirent à Versailles, moins exposée aux bombardements que Paris. Marthe Tassier continua à veiller à la santé et aux études de sa fille, malgré les difficultés croissantes du ravitaillement (nourriture et chauffage). Elle ménagea au plus juste les mandats envoyés pour son mari, en vue des frais de retour (tant espéré) au pays, (loyer, rachat de meubles, etc.). C'était fête quand Emile Tassier pouvait passer ses congés en famille - lui, apportant comme " douceurs " : cigarettes, beurre, saucissons ; elles, s'ingéniant à lui montrer les beaux environs de Versailles ou à l'entraîner aux représentations parisiennes (cf. n° 37, programmes). Sinon, c'était une correspondance plus rapide et régulière que jamais, où Marthe prodiguait conseils de prudence, de soins de santé et d'habillement, marques d'intérêt pour ses chances de promotion (cf. n° 9). Tous deux se communiquaient les rares nouvelles du pays, filtrées par la Hollande. Les premières à les atteindre furent celles de l'avocat Joseph Caeymaex, leur cousin anversois. Il racontait les trente et une heures passées dans les caves pendant le bombardement de la ville en octobre 1914, l'exode de la population vers la Hollande avant l'occupation ennemie, la recherche d'un abri pour sa famille à Ginneken. Il envoya régulièrement des cigares à Emile et transmit à Marthe les nouvelles reçues de la famille, de la maison restée intacte, des conditions de vie de plus en plus difficiles en Belgique, de l'exécution en octobre 1915 de Miss Cavell et de leur voisin Scharbeekois Philippe Baucq, etc. Quand il retourna à Anvers avec les siens, ce fut le cousin Emile Fasbinder qui prit la relève des cigares et des cartes envoyées par Fr. Verriez et par Marguerite Sweerts. Marthe reçut également, en message clandestin, la doublure en coton d'une patte d'épaule, couverte d'adresses françaises (cf. n° 18).

Les examens de Suzanne réussis fin août 1918, elle et sa mère allèrent rejoindre le père au Havre ; mais pour peu de temps, car elles retournèrent à Bruxelles dès la libération de la ville. Elles retrouvèrent la chère maison intacte, ainsi que les meubles, même si le vin avait disparu et les cuivres et matelas réquisitionnés. Emile Tassier, lui, fut désigné fin novembre comme commandant de la place de Namur, muté en février 1919 à Bruges comme adjoint au Commandant des centres de l'arrière, appelé à Woluwe en septembre 1919 en qualité de Directeur administratif du dépôt des Invalides de guerre.

Bien que pensionné en janvier 1920, il y fut maintenu en service à titre civil jusqu'au 1er août 1921. Il avait - en vain - essayé de faire réexaminer le cas des trois soldats soi-disant " disparus ", ce qui avait provoqué sa mise prématurée à la retraite. Mais il eut la consolation d'apprendre que le Roi avait personnellement approuvé en juillet 1920 sa nomination de général-major (à titre honoraire). Il se fit photographier en grand uniforme, la poitrine constellée de décorations et de médailles (commandeur de l'ordre de la couronne (avec palme), commandeur de l'ordre de Léopold, officier de la Légion d'honneur, croix de guerre (avec palme), croix de guerre française, médaille de l'Yser, médaille de la Victoire, médaille commémorative de la guerre 1914-1918) et la manche garnie de huit chevrons de front. Il resta en rapport avec d'anciens soldats et fut appelé à la vice-présidence de la Société des officiers retraités : en cette qualité il prononça maints éloges funèbres dont ses papiers gardent les minutes.

Emile Tassier mourut en février 1936, entouré de beaucoup d'affection et d'estime (cf. n° 19, condoléances et articles de presse). Il fut inhumé à Casteau dans le caveau des parents et grands-parents de sa femme ; Marthe eut à cœur de renouveler la dalle funéraire pour qu'y figure en tête " le général Emile Tassier, combattant de la grande guerre ". Elle alla l'y rejoindre vers 1949. Elle avait perdu en 1945 sa sœur Louise Renaux-Farcy, inconsolable de la disparition de son fils Maurice Renaux, résistant, prisonnier en Allemagne.

Le petit Raoul Tassier était mort à l'âge de six ans. Ses parents reportèrent toute leur affection sur leur fille Suzanne, née à Anvers en 1898, et veillèrent avec un soin touchant à sa parfaite éducation. Leurs lettres conseillaient sans cesse les soins de santé, la bonne tenue, l'esprit d'observation, la correction de l'orthographe et du langage, la connaissance des langues, l'assiduité aux études en vue de l'avenir, l'exercice du dessin et du piano - la mère était elle-même bonne musicienne.

Suzanne commença son instruction à Menin et la poursuivit à l'école moyenne de Courtrai (" l'école sans Dieu " l'appelaient certains) ; une de ses petites camarades, émigrée en 1911 avec ses parents en Amérique, lui décrivit son long voyage jusqu'au Minnesota et lui envoya des modèles de la mode locale. En vue d'études plus poussées, Suzanne fut inscrite à l'école normale, rue des Capucins à Bruxelles, et mise en pension chez les demoiselles Mennig. Ses lettres dominicales aux Parents, déjà fort bien tournées, donnaient des détails sur sa vie quotidienne du père à Bruxelles, permit la réunion de la famille au 45 avenue de Roodebeek, à Schaerbeek, dès janvier 1914. Pour peu de temps, hélas !, car le père partit à la guerre en août et Suzanne suivit sa mère en Angleterre en décembre, interrompant sa deuxième année normale. Au pensionnant de Grassendale dès février 1915, elle maîtrisa si bien la langue anglaise qu'en été elle fut tête de classe, tout en ne négligeant ni français, ni piano, ni dessin - pour lequel elle venait d'obtenir les diplômes de la " Royal Drawing Society of London " (qui permettaient de l'enseigner dans tout le Royaume-Uni). Elle envoyait à ses parents des lettres, émaillées de croquis, qui énuméraient l'emploi des heures, analysaient finement le genre d'éducation forgeant des " caractères ", mais déploieraient le temps perdu aux sports et aux leçons de " maintien ", ainsi que l'indigence des conversations. Après plus d'un an de ce régime, elle aspirait à des études plus sérieuses, en français, préparant mieux son avenir ; aussi influençait-elle ses parents dans le choix de Versailles et de son lycée où elle entra en mai 1916. Elle obtint le brevet simple dès juillet et le brevet supérieur en octobre, en put alors préparer l'entrée à Sèvres. Sur les instances de son père (qui prévoyait la future importance du flamand dans une Belgique déjà divisée par l'occupant), elle suivit assidûment les leçons qu'un émigré (chargé de famille) venait lui donner à domicile (5)
. Elle obtint le baccalauréat en août 1918, suivit quelques cours de philosophie au Havre en automne et rentra à Bruxelles, libéré en novembre. Aussitôt elle s'enquit de l'homologation de ses diplômes français, réussit l'examen du Jury central en mai 1919 et s'inscrivit à la section d'histoire de l'Université libre de Bruxelles (rue des Sols). Dans les archives, il est resté peu de traces de ses brillantes études et de ses multiples publications historiques ; beaucoup, par contre, de ses nombreuses activités estudiantines (et autres).

Dès 1920, elle participa au " Mouvement estudiantin pour la culture morale " et en créa le " Cercle d'histoire et de sociologie " (qu'elle représenta à Prague à Pâques 1921 et où elle accueillit la visite d'étudiants tchèques et polonais) ; elle collabora à la rédaction de " Fumées " et conserva les photos d'excursions en groupe ; elle entretint une correspondance suivie avec des camarades comme J. Baugniet, P. Cornil, N. Descamps, C. Janson, H. Laurent, A. Lilar, etc. (cf. nos 35, 39, 32).

En 1922-1923, elle se dévoua en qualité de vice-présidente du Comité estudiantin d'aide aux enfants affamés de Russie, organisant notamment des fêtes de charité (cf. n° 42, 44 (programmes du Théâtre du Marais)).

La même année académique, elle fut appelée à présider, l'Association des Étudiantes de l'U.L.B. et à inviter, à leur Maison, des conférencières éminentes - telles Marie Delcourt et Marie Vérone ; elle la représenta aussi au Cercle des Étudiants libéraux (cf. n° 35, 41).

Suzanne Tassier conquit en 1923 le titre de docteur en philosophie et lettres, groupe d'histoire. Elle fut nommée professeur au Lycée communal de Schaerbeek en juillet 1924 ; elle cumula son enseignement avec la préparation de l'agrégation universitaire ; la publication d'études historiques, la participation active à des sociétés savantes et congrès, ainsi qu'à l'Association des femmes universitaires et à celle des Femmes Libérales (cf. n° 43, 35 (notamment lettres de M. Boël et E. Flagey)). Elle restait en correspondance avec ses amis, avec des chercheurs et des savants, tant étrangers que belges (C. Block, G. Dept, Espinas, Espérandieu, P. Rogghé, etc.), avec des professeurs - notamment G. Des Marez (qui la remerciait, la veille de sa mort, d'une visite reçue en clinique), L. Leclère et M. Huisman (dont elle prépara les manifestations d'hommage), Henri Pirenne, Jacques Pirenne (chez qui elle était fréquemment reçue), G. Smets, etc. (cf. n° 35, 40).

En effet, elle était peu à peu devenue leur collègue, car après l'obtention du grade d'agrégé de l'enseignement supérieur en 1934, elle avait organisé des cours libres à l'Université de Bruxelles, avant d'y devenir professeur attitré. En août 1934, elle épousa le professeur Gustave Charlier qui respecta ses vœux, quant à la conservation de ses archives.

Contenu

Peu volumineuses (7 portefeuilles), l'intérêt de ces archives réside surtout dans les témoignages de la participation du militaire Emile Tassier à la guerre de 1914-1918, subsidiairement, dans ceux relatifs aux études de sa fille Suzanne.

Ces archives ont été classées dans un ordre correspondant à leur nature assez particulière.

On a mis à part les photographies hors format qui sont remplacées dans leur dossier respectif par une fiche de renvoi.

On a rangé chronologiquement les papiers d'Emile et de Marthe Tassier dans les liasses intitulées : identité (cartes et portraits), mariage, correspondance, finances, menus (6)
, notes et souvenirs : les dossiers reflétant la carrière d'Emile Tassier viennent ensuite, sous les rubriques : brevets de promotions et de désignations, distinctions honorifiques, propositions d'avancement et appréciations de supérieurs, ordres militaires, carnets de route, discours et écrits, correspondance reçue de militaires, papiers financiers, menus régimentaires (7)
, photographies, " souvenirs " militaires.

Le petit Raoul Tassier n'a laissé qu'un portrait et un livre de lecture.

Les dossiers de Suzanne Tassier, et quelques rares papiers de son mari Gustave Charlier, sont rangés sous les titres : identité, mariage, correspondance ; études secondaires et universitaires, ainsi qu'activités de Suzanne ; " Souvenirs " de Suzanne et de Gustave Charlier.

Quelques documents (8)
relatifs à la famille Farcy se suivent par ménage ; celui de Jules Farcy et de Mathilde Wittemberg (parents de Marthe et de Louise) ; et celui de Louise Farcy et Marius Renaux, avec leurs enfants.

Une grande photographie des Caeymaex termine l'Inventaire.

Conditions d'accès

Ayant trié les archives de sa famille, Suzanne Tassier souhaita qu'elles fussent déposées aux Archives Générales du Royaume et que leur consultation fût autorisée à partir de 1985.



1 /1Photographies d'Émile Tassier cf. n° 29 - marqué d'une croix, dans une compagnie du 3e bataillon du 2e régiment de chasseurs à pied, au camp de Beverlo, en 1886.3 exemplaires
1 /2Photographies d'Émile Tassier cf. n° 29 - en tenue de général3 exemplaires
2Photographies de Marthe Tassier, née Farcy cf. n° 74 exemplaires
3Photographies de Suzanne Tassier cf. n° 324 exemplaires
4Photographie de Gustave Charlier cf. n° 321 exemplaire
5 /1Photographies de la famille Renaux cf. n° 47 - de Louise Renaux, née Farcy1 exemplaire
5 /2Photographies de la famille Renaux cf. n° 47 - du dîner de noces d'Andrée Renaux (avec au mur le portrait du docteur Jules Farcy, son grand-père)1 exemplaire
6Photographie de la famille Caeymaex - les sept enfants de l'avocat Joseph Caeymaex1 exemplaire